Refroidissement climatique

parce que nous sommes à l’heure de la mondialisation et que la question environnementale ne se limite pas aujourd’hui à un territoire donné, des accords doivent être trouvés à l’échelle mondiale. L’enjeu le plus urgent étant celui du réchauffement climatique : en attendant de nouvelles sources d’énergie moins polluantes, il devient en effet indispensable de réduire l’émission des gaz à effet de serre. C’est l’objet du protocole de Kyoto établi en 1998 en abaissant entre 2008 et 2012 de 5,2% les émissions

Copenhague : l'échec d'une pensée L'accord de Copenhague est un échec flagrant : il est sans avancée pour la lutte contre le réchauffement climatique. A qui la faute ? Au ''développement'' semble-t-il ! aliénation pour les uns, leitmotiv pour les autres. Jusqu'où de telles illusions nous mèneront-t-elle ? Copenhague : l'échec d'une pensée Il n'y a pas d'accord de Copenhague, seulement une déclaration politique indigente de quelques dizaines de chefs d'Etat et de gouvernement,

régional : mondialisation de l'économie et mise en compétition des grandes métropoles, inégalités sociales et territoriales, changement climatique et crise énergétique, etc. Le SDRIF mis en révision, se veut axé sur la densification et le transport collectif. La ville compacte est présentée comme la réponse à l’étalement urbain, à l’anticipation de la mutation climatique et au renchérissement des énergies fossiles. L’objectif est de densifier autour de Paris plutôt que de renforcer la périurbanisation

stopper leur consommation et faire attention à notre environnement parce que leurs intérêts, leurs idées et leurs niveaux de développements divergent. Malgré cela, les nappes phréatiques, les rejets agricoles, la pollution de l’air, le réchauffement climatique continuent de causer une remise en question de la mondialisation. De plus, les pays les plus producteurs de gaz à effet de serre correspondent à des Empires avec les Etats-Unis en premier, la Chine et la Russie. S’ajoutent à la longue liste des

Actualité mondiale de l’industrie du voyage L’avenir de l’aérien dans le monde Sofia Boukhanef L’avenir de l’aérien dans le monde Il existe quelques facteurs pouvant influencer grandement l’avenir de l’aérien dans le monde et laissant planer sur celui-ci un grand doute : * La problématique liée à la consommation de kérosène Cette problématique engendre deux questions : * La première est le fait que le domaine de l’aérien est celui entrainant le plus d’émission de gaz à effet

développement adopté (capitalisme, consommation de masse, systèmes « énergivores ») suivant celui des pays anciennement industrialisés produit actuellement menaces sérieuses sur l’écosystème mondial ( dégagement de gaz à effet de serre, réchauffement climatique, déforestation à outrance, désertification etc.) .On peut se demander si la mondialisation actuelle a de l’avenir .Ne faut-il pas trouver une autre sorte de mondialisation , axée plutôt sur un développement durable ?

quantités de méthane. Le méthane, étant un gaz à effet de serres 20 fois plus puissant que le dioxyde de carbone, a des effets nocifs sur l’environnement. L’augmentation de leur concentration dans l’atmosphère est directement lié au réchauffement climatique ce qui vient, par la suite, déstabiliser l’écosystème. La modification des écosystèmes menacera plusieurs espèces, car la terre est un équilibre lui-même et que tout être vivant est lié (chaîne alimentaire) Inondation des terres : Les Installations

qui  circule  entre  les  hautes  et  basses  terres,  mais  également  empêche  le  dioxyde  de  carbone  et  le  méthane  de  se  libérer  dans  l’atmosphère,  deux  gaz  qui  sont  directement  en  relation  avec  les  inquiétants  changements climatiques observés depuis plusieurs années. La forêt boréale représente  l’un  des  seuls  écosystèmes  encore  indemnes  sur  la  planète,  d’où  l’importance  de  la  préserver.  Plusieurs  entreprises  forestières  comme  AbitibiBowater  exploitent  abondamment 

La biodiversité La biodiversité désigne la diversité du monde vivant au sein de la nature. Le terme biodiversité est entré dans le langage courant à l’occasion du sommet de la terre de rio de janeiro en 1992. Selon les scientifiques, elle est la totalité de toutes les variations de tout ce qui est vivant. Elle se décline en diversité écologique (les milieux), diversité spécifiques (les espèces), et diversité génétique. L’homme fait partie intégrante de la biodiversité

guerre en Irak : il perturbe la vie des soldats, mais également celle des civils irakiens. Il n'y a que l'ours blanc qui s'étonne que sa banquise fonde Ça ne surprend plus personne, de notre côté du monde ( On nous parle souvent du réchauffement climatique, c’est devenu habituel (voire banal) mais on ne pense pas à la faune et à la flore qui vit sur la banquise et qui est entrain de perdre son territoire. De notre coté puisque le Pole Nord nous semble impraticable, et peut-être pensons nous qu’il