Realisme De Berthe De Maupassant

l'influenceront beaucoup. Émile Zola échoue à deux reprises au baccalauréat en 1859. Ses échecs vont l'affecter, il est désespéré d'avoir déçu sa mère. Sans son diplôme, il est conscient qu'il va devoir faire face à de nombreuses difficultés matérielles. Berthe fut le premier amour d’Émile Zola, qu'il a rencontré durant l'hiver 1860-1861. Cette jeune fille était une prostitué, et Émile Zola en tenait compte. Zola voulait sortir sa bien aimée de sa mauvaise passe, et de lui redonner goût au travail, mais

poste dans le service des pubs. Début dans le journalisme en tant que critique littéraire chez plusieurs journaux comme L'Evènement, le Figaro ou encore Le Gaulois. Puis finalement Emile ZOLA => romancier. Liaison avec une prostituée, une certaine Berthe en 1861 1er mariage avec Alexandrine MELEY en 1870, reconnaissance de leurs enfants après la mort de Zola. 2nd mariage avec Jeanne ROSEROT, une jeune fille de 20 ans, en 1888. Deux enfants connus, une fille Denise et un garçon Jacques. Initiation

tiennent à l’histoire du roman qui est somme de toute la critique d’un mode de vie bourgeois provincial. Sur le plan littéraire, il est aussi le signe d’une confrontation, d’un entre deux, d’une transition, de deux mouvement : le romantisme et le réalisme. Flaubert, dont le livre fétiche est Don Quichotte, a certainement voulu faire de Madame Bovary à Don Quichotte au féminin : personnage, exalté par une intériorité, sentimentale, excessive, qui se heurte à la réalité sociale, notamment la condition

Table des matières Introduction…………………………………………………………………p.3 Chapitre I – Le Realisme.......................................................................p.4 A. Commentaire sur Madame Bovary.......................................p.5 B. Contenu.................................................................................p.7 Chapitre II – Madame Bovary..............................................................p.8 A. Madame Bovary vue par Baudelaire..................

s'entretenaient de l'exercice de la médecine, Emma engagea une conversation romantique avec Léon Dupuis, clerc de notaire et habitué de l'auberge, qui dîna avec eux. Ils se confièrent leurs goûts communs. Emma donna naissance à une fille, qui fut prénommée Berthe, ce qui la distraya un peu. Pourtant, la petite fut mise en nourrice chez Mme Rollet. Emma étant allée la voir au bras de Léon, Mme Tuvache, la femme du maire, trouva qu’elle se compromettait. La vie passait avec une monotone régularité dans la platitude

s'entretenaient de l'exercice de la médecine, Emma engagea une conversation romantique avec Léon Dupuis, clerc de notaire et habitué de l'auberge, qui dîna avec eux. Ils se confièrent leurs goûts communs. Emma donna naissance à une fille, qui fut prénommée Berthe, ce qui la distraya un peu. Pourtant, la petite fut mise en nourrice chez Mme Rollet. Emma étant allée la voir au bras de Léon, Mme Tuvache, la femme du maire, trouva qu’elle se compromettait. La vie passait avec une monotone régularité dans la platitude

Une vie de Maupassant ou « l’écriture du vide » dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 Mémoire de Lettres modernes Sous la direction de Mme Aline MURA-BRUNEL par Mlle Aurore LOISON. Université de Pau et des Pays de l’Adour, 2006-2008. UNIVERSITE DE PAU ET DES PAYS DE L’ADOUR UFR DES LETTRES, LANGUES ET SCIENCES HUMAINES dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 Master 2 : « Discours et représentations » Parcours : « Poétique et histoire littéraire » LOISON Aurore Une vie de Guy

qu’il ne veuille pas exposer chez un photographe, comme le prétendent les esprits mal intentionnés, mais parce qu’il ne souhaite pas s’opposer au Salon officiel où il expose. Parmi les participants, figurent Boudin, Cézanne, Degas, Guillaumin, Monet, Berthe Morisot, Pissarro, Renoir, Sisley ; La désagrégation du groupe sera consommée en 1886. Entre ces deux dates, une révolution de la peinture est dite. Paul Durand-Ruel est un marchand d’art français détenant plusieurs galeries d’art à Paris, Londres

des idées reçues, qui constitue une espèce de collection de propos, de pensées qu’il considère comme des bêtises révélatrices de son époque. De ce point de vue, l’étiquette de « réaliste » que lui ont notamment attribué les naturalistes (Zola et Maupassant, entre autres…), s’inspirant de son œuvre, est exagérée, voire faussée : il est resté en partie romantique, mais un romantique désabusé, nostalgique et contradictoire. C’est ainsi qu’il a tendance à manquer d’objectivité dans la façon d’accentuer

répétitive, rythmée, telle la dernière : «Et hue donc ! bourrique ! Sue donc, esclave ! Vis donc, damné !», on constate que le rapport entre l’univers prosaïque et l’univers poétique se fait ici au détriment de ce dernier, par un retour violent au réalisme le plus saisissant. ________________________________________________________________________________ VI ‘’Chacun sa chimère’’ Une page et demie Passe un cortège d’hommes dont chacun porte «une énorme Chimère». Ils marchent sans se plaindre