Réacteur à neutrons rapides

échéance: assurer un développement économique/garantir la survie de l'espèce. >>concept de « développement durable »: énergies nécessaires à la croissance. Or, c'est une contrainte:temps limité + une nécessité: besoin croissant en énergie >>PENSER NEUF AGIR VITE. INTRO: Depuis le XIX°, travail + chaleur = deux formes de transfert de l'énergie. Énergie vitale à notre développement. Les sociétés industrielles en sont dépendantes. Nous la tenons pour acquise or il faut la produite, la transporter

travail de recherche bibliographique fait le point sur les différents problèmes et solutions utilisées dans la conception et le dimensionnement des composants face au plasma destinés aux machines de fusion contrôlée (ITER). Ces composants sont soumis à des cycles de flux thermique de forte intensité, ce sont des multi-matériaux composés de tuiles réfractaires en composite Carbone/Carbone et d’une structure activement refroidie en alliage de cuivre. Lors du fonctionnement et pendant la fabrication,

INTRODUCTION Le XXIe siècle est confronté à un défi énergétique sans précédent. La demande mondiale, croît de façon massive et inéluctable. Les énergies fossiles tirées du pétrole, du gaz, du charbon issu de la transformation d’organismes vivant ayant vécu il y des millions d’années, ne pourront y répondre indéfiniment; mais il n'existe pas pour autant d'autres énergies susceptibles de les remplacer rapidement et massivement. Pour donné un ordre de grandeur de la vitesse d’utilisation des combustibles

NUCLEAIRE DE TCHERNOBYL ET ANALYSE EPISTEMOLOGIQUE 24 ans après, le bilan. [pic] PLAN INTRODUCTION 1. DE LA COMMUNICATION…A LA DESINFORMATION …..p.3 A LA GESTION DE LA CRISE EN URSS ET EN FRANCE………………………………p.3 B LES MEDIAS FRANÇAIS FACE A LEUR RESPONSABILITE…………………………. p.5 2. APPROCHE EPISTEMOLOGIQUE ET HISTORIQUE….. p.9 A TCHERNOBYL, ERREUR « HUMAINE » ? ………………………………………… p.9 B LA FIABILITE HUMAINE ET LE RISQUE NUCLEAIRE…………………………………p.11 C

Energie : définition et histoire a) Définition b) Histoire 2) Les formes d’énergies a) Les énergies non renouvelables i) Le pétrole : ii) Le charbon : iii) Le gaz naturel : iv) La fusion nucléaire b) Les énergies renouvelables i) L’énergie solaire ii) L’énergie éolienne iii) L’énergie hydraulique iv) La biomasse v) L’énergie géothermique 3) Les grands enjeux  et gestion des énergies: quel avenir pour les énergies ? a) Les enjeux économiques b)

Foiry pour les renseignements et l’aide qu’ils nous ont apportés pour ce TPE. Sommaire 1 Histoire 2 1.1 Les origines 2 1.1.1 Henri Becquerel 2 1.1.2 Ernest Rutherford 3 1.1.3 Pierre Curie, Marie Curie, Frédéric Joliot et Irène Curie 4 1.2 La course a l’arme nucléaire 5 1.2.1 Les recherches allemandes 5 1.2.2 Les allemands et la bombe durant la seconde guerre mondiale 5 1.2.3 Le projet Manhattan 6 1.3 Trinity, Hiroshima et Nagasaki 7 1.3.1 Premières bombes atomiques de l’histoire, origine de grandes

Document de référence 2010 Document de référence 2010 Le présent document de référence a été déposé auprès de l’Autorité des marchés financiers le 30 mars 2011, conformément à l’article 212-13 de son règlement général. Il pourra être utilisé à l’appui d’une opération financière s’il est complété par une note d’opération visée par l’AMF. Ce document a été établi par l’émetteur et engage la responsabilité de ses signataires. Sommaire 1 PERSONNE RESPONSABLE 8 1.1. Responsable du

de l'an 1300 avant notre ère, on a retrouvé une poutre en bois. Sachant que l'activité moyenne du carbone 14 dans 1 kg de bois vivant en l'an 2000 est 225 Bq, quel est le nombre de désintégrations du carbone 14 attendu dans un gramme de cette poudre durant une heure, si elle date bien de la construction du temple ? (150, 540, 753, 1215, 13000) Demi vie du carbone 14 t½ = 5600 ans.corrigé La loi de décroissance radioactive s'écrit : A= A0 exp(-t) ou bien ln(A0/A) = t relation ente la demi-vie t½

1 La nouvelle concurrence sur le marché mondial des réacteurs nucléaires Dominique FINON Directeur de recherche CNRS, CIRED (EHESS et CNRS) Publié dans Revue de l’Energie, n°5, mai-juin 2005 Résumé. A l’amorce de la reprise des commandes nucléaires dans le monde, on analyse les forces concurrentielles en présence dans l’industrie mondiale des réacteurs, industrie totalement bouleversée depuis vingt ans par l’étroitesse du marché et les restructurations de l’industrie électromécanique. La

est la mission dévolue à ITER. Ce tokamak, qui commencera à fonctionner en 2016 sur le site de Cadarache (Bouchesdu-Rhône), constituera une étape essentielle vers la mise au point d’un réacteur de fusion électrogène. De par son savoir-faire acquis avec Tore Supra au sein de son association avec Euratom, le CEA s’est fortement impliqué dans la conception des trois grands systèmes supraconducteurs qui généreront les champs magnétiques intenses indispensables au confinement et à la stabilisation du plasma