Rappelle Toi Alfred De Musset

Bertrand VAC (Québec) : Médecin, il fut aussi, sous ce pseudonyme, romancier et nouvelliste :www.comptoirlitteraire.comAndré Durand présente ‘ ’La confession d’un enfant du siècle’’(1836)roman d’Alfred de MUSSET (320 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 3) l’intérêt de l’action (page 4) l’intérêt littéraire (page 5) l’intérêt documentaire (page 7) l’intérêt psychologique (page 11) l’intérêt philosophique (page 15)la

mais aussi Rimbaud, Apollinaire, suivi de Hugo, d'Eluard, d'Aragon ou encore de Char. "Ce thème inquiète souvent les lycéens, notamment par sa brièveté. Comment écrire 2 copies doubles pour commenter 12 ou 14 vers ?", ironise Sophie Saulnier, qui rappelle que pour s’en sortir, l’essentiel est d’avoir un bagage technique solide, c’est-à-dire de savoir parler de versification, de métaphore, d’image, de rythme… "Il faut entendre un poème, souligne Caroline Reys, du lycée Ribeaupierre à Ribeauvillé. C’est

poétique de G. Molinié. L’anacoluthe n’est au fond que la rupture d’une habitude. Rarement pratiquée, elle peut ménager de fort beaux effets de surprise. Dictionnaire de poétique et de rhétorique de H. Morier. Il faut également rappeler que ce qui peut actuellement, au XXIe siècle, nous apparaître comme une figure de style ne l’était pas forcément à certaines époques, baroque et même classique, où les règles de coordination étaient plus souples ou d’avantage soumises aux impératifs

lyrisme est associé au thème puisqu'il permet à l'auteur de témoigner de ses joies, de ses peines, ou encore de sa colère. Par exemple Les larmes de Louise Labé, sonnet témoignant du lyrisme, qui glorifie la personne aimée et révèle la peine. On rappelle alors la personne aimée dans son souvenir, comme Hugo l'a fait avec sa fille Léopoldine, morte accidentellement, dans Les contemplations. « Ô mon enfant, tu vois, je me soumets. Fais comme moi ; vis du monde éloignée... » « Voyez la grande sœur et

œuvre se caractérise par un verbe fort et ample, ainsi que par une grande puissance de vision. Alfred de MUSSET (1810-1857) s’illustre également dans des genres différents : la poésie (Les Nuits), le récit (Confession d’un enfant du siècle, 1836) et le théâtre (Lorenzaccio, 1834; On ne badine pas avec l’amour, 1834; Il ne faut jurer de rien, 1836). Les ROMANTIQUES MINEURS sont nombreux. On peut rappeler les noms d'Alfred de VIGNY (1797-1863; Les Destinées); Gérard de NERVAL (1808-1855; Les Chimères)

Acte 3 scène 3 : « On ne badine pas avec l’amour », Alfred de Musset Plan : I) Le théâtre dans le théâtre 1) Perdican metteur en scène 2) La double énonciation 3) Un discours à plusieurs niveaux II) Perdican : entre duplicité et sincérité. 1) Un lieu et des accessoires ambigus  2) Une profession de foi lyrique 3) Une célébration  III) Un jeu pervers et dangereux. 1) Une scène de souffrance. 2) Un jeu cruel 3) Une scène décisive. Introduction : Situation : Perdican lut la

INTRODUCTION : Comme le définit B., la poésie est marqueé par une opposition. D’une part , « le but de la poésie est un enseignement (…) elle doit (…) fortifier la conscience » . D’autre part, « la poésie (…) interroger son âme, rappeler ses souvenirs d’enthousiasme » Selon Baudelaire, poète parnassien du 19ème siècle et prosélyte de l’art pour l’art , la poésie n’est concue que pour sa beauté. Cependant cette idéologie n’est pas partagée par l’ensemble des poètes. La vision de Baudelaire

d'autres transforment un point jaune en soleil. Pablo Picasso Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil. Jacques Mesrine Les grandes choses peuvent se manifester par de petits signes. Sigmund Freud En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux. Marc-Aurèle Faire pipi dehors est une des joies de la vie à la campagne, un vrai moment de poésie. Stephen King Aujourd'hui rien d'extraordinaire, rien que le train-train

......................14   Guillaume Apollinaire, « Nuit rhénane » ........................................................14   Alfred de Musset, « La Nuit de décembre » ...................................................15   Aragon, « Le cri du butor » (extraits)..............................................................16   Alfred de Musset, « Lucie » (1835) ................................................................18   Aragon, « Vingt ans après » .................

d'eaux" et annonce la personnification du pin par l'attribution d'une partie du corps humain qu'est le "flanc". Mais il s'agit d'un flanc blessé qui porte une "plaie". Cette personnification tend à confondre l'homme et l'arbre. Et plus précisement rappelle la condition du poète. En effet, ce dernier se sent en marge de la société et du monde, seul face à lui, identique au pin des Landes qualifié de "désertique". Le poète est à l'image de cette nature à la fois solitaire, replié sur lui-même mais en