Rap West Coast

« roadie » et un danseur pour le groupe de hip-hop alternatif Digital Underground[5],[6],[7]. Il a ensuite fait partie des groupes Outlawz, Digital Underground et Thug Life. Son succès a largement contribué à l'explosion commerciale mondiale du rap au cours des années 1990. Son charisme, son « flow », ses paroles travaillées et sa mort prématurée en ont fait l'une des icônes majeures de ce genre musical : il est l'un des artistes qui a sorti le plus d'albums après sa mort et est classé 8e célébrité

Le début des années 1990 est riche pour le rap français avec la sortie d'une dizaine d'albums francophones dont les artistes se réclament explicitement du rap. L'artiste le plus connu est alors MC Solaar, « qui par son style frais et nouveau, basé sur la poésie, contribua à crédibiliser et à populariser le rap en France, aussi bien au niveau du public que des médias5. » Son album Qui sème le vent récolte le tempo commercialisé en 1990 est un succès vendu à plus de 400 000 exemplaires. D'autres artistes

a milité tout au long de sa carrière pour l'égalitarisme racial4. Shakur fut d'abord un « roadie » et un danseur pour le groupe de hip-hop alternatif Digital Underground5,6,7. Son succès a largement contribué à l'explosion commerciale mondiale du rap au cours des années 1990. Son charisme, son « flow », ses paroles travaillées et sa mort prématurée en ont fait l'une des icônes majeures de ce genre musical et une franchise rentable : il est l'un des artistes qui a sorti le plus d'albums après sa

d'abord un « roadie » et un danseur pour le groupe de hip-hop alternatif Digital Underground5,6,7. Il a ensuite fait partie des groupes Outlawz, Digital Underground et Thug Life. Son succès a largement contribué à l'explosion commerciale mondiale du rap au cours des années 1990. Son charisme, son « flow », ses paroles travaillées et sa mort prématurée en ont fait l'une des icônes majeures de ce genre musical : il est l'un des artistes qui a sorti le plus d'albums après sa mort et est classé 8e célébrité

de Sen Dog, Mellow Man Ace forment le groupe DVX en 1986. Lorsque Mellow Man Ace quitte le groupe en 1988, ils décident de se renommer Cypress Hill (d'après le nom d'une rue de South Gate) et poussent B-Real à délaisser définitivement la rue pour le rap. DJ Muggs, producteur originaire de New York, renforce le son sombre déjà propre à Cypress Hill. Début du groupe[modifier] Le groupe joue principalement devant le public latino de Los Angeles et enregistre des démos de chansons comme Phuncky Feel

[pic] Le hip-hop fait ses débuts aux Etats-Unis vers la fin des années 70. Cette musique est née dans les ghettos[1] noirs américains à l'époque des Black Panthers. En 1979, "Rapper's Delight" de Sugarhill Gang devient le premier tube rap dans le monde et notamment en France où le mouvement hip-hop touche la jeunesse des cités. Au début des années 80, le mouvement prend son envol avec de grands rassemblements "bloc party" où s'affrontent danseurs, grapheurs[2], DJ[3] et MC[4]. Des stars commencent

Un rappeur tatoué jusqu'aux yeux, avec un passé de membre actif dans les gangs les plus radicaux (lire « dangereux ») de Los Angeles, prétend remettre le rap du cru à la place qu'il occupait dans les années 1990 : la première ! Avec l'aide de Dr. Dre et de 50 Cent, The Game réussit cette mission, quand un premier album explosif, The Documentary en 2005, l'intronise star immédiate. Mais, séparé de ses mentors, l'homme poursuit l'aventure en réussissant deux autres disques et en se maintenant au sommet

d'abord un « roadie » et un danseur pour le groupe de hip-hop alternatif Digital Underground7,8,9. Il a ensuite fait partie des groupes Outlawz, Digital Underground et Thug Life. Son succès a largement contribué à l'explosion commerciale mondiale du rap au cours des années 1990. Son charisme, son « flow », ses paroles travaillées et sa mort prématurée en ont fait l'une des icônes majeures de ce genre musical : il est l'un des artistes qui a sorti le plus d'albums après sa mort et est classé 8e célébrité

désir de suivre son père dans la musique. Quittant l'école très jeune, il traîne dans les rues de son quartier, Queensbridge, et commence à s'intéresser au hip-hop. Il s'adonne un temps au breakdance et prend alors le surnom de Nas. Il commence à rapper et se fait remarquer pour ses rimes et sa voix. Il sort ainsi son premier album, 'Illmatic', en 1994, qui présente des paroles très travaillées tandis que son deuxième album, 'It Was Written' (1996), a des accents plus pop qui élargissent son auditoire

les rangs des Black Panthers (mouvement révolutionnaire afro-américain formé en Californie en 1966 ), il a vendu plus de 75 millions d'album dans le monde entier. Il a influencé énormément de rappeur et contribué a l'explosion commerciale mondiale du rap au cours des années 1990. Son charisme, son « flow » (la façon dont un rappeur pose les syllabes par rapport au rythme) ses paroles travaillées et sa mort prématurée en ont fait l'une des icônes majeures de ce genre musical. Il est l'un des artistes