Raoul Walsh

raconté par des enfants». Et pourtant : • il s’agit peut-être du plus grand rôle de Robert Mitchum (lui l’a dit en tout cas). Il a débuté en 1942 et a surtout tourné dans des films de série B. En 1947 première grande reconnaissance dans le film de Raoul Walsh LA VALLEE DE LA PEUR. C’est grâce à sa présence dans le casting que le film pourra se tourner. C’est à partir de celui-ci qu’il exploitera les deux facettes des personnages qu’il incarne : redoutable mais aussi avec une certaine innocence. Document

de l'Ouest, la bravoure des pionniers, la sauvagerie des Indiens... Mais ces idées sont remises en cause après 1945 : le héros est moins viril et sûr de lui, ses motifs moins nobles et l'ambiance parfois crépusculaire ( la Vallée de la Peur de Raoul Walsh-1947-).L'image de l'Indien est revalorisée,ce qui rend plus difficile la justification de son extermination ( La flèche brisée de Delmer Daves -1950- ). Certains westerns font même allusion au climat de lâcheté et de fanatisme qui règne alors aux

Adaptations successives : du théâtre au cinéma… de l’opéra au cinéma – Le cinéma muet : dès 1909, le réalisateur français Calmettes est le premier à tourner un long métrage sur Carmen ; le succès est immédiat. En 1915 deux réalisateurs américains, Raoul Walsh et Cecil B. de Mille, tournent simultanément leur version de Carmen. Puis en 1918, c’est au tour d’un autre américain, Ernest Lubitsch. Enfin, c’est en 1928 que Jacques Feyder adapte Carmen dans l’une des premières grande production du cinéma muet

journaliste poursuit sa mue "héroïque" au XXe siècle. Les romans de Conan Doyle et la bande dessinée Tintin lui assurent une réputation d'aventurier casse-cou mais vertueux. Le cinéma prend le relais, avec des films tels que La Femme à abattre de Raoul Walsh et, beaucoup plus proche de nous, les Hommes du président d'Alan Pakula. Ces fictions immortalisent la figure du journaliste déterminé et libre qui, s'affranchissant souvent des mises en garde de sa hiérarchie, se transforme presque en détective

1939 : Gunga Din de George Stevens (non-crédité) * 1939 : Sur la piste des Mohawks (Drums Along the Mohawk) de John Ford (non-crédité) * 1943 : Air Force d'Howard Hawks (non-crédité) * 1943 : Intrigues en Orient (Background to Danger) de Raoul Walsh (non-crédité) * 1943 : Northern Pursuit (non-crédité) * 1944 : Le Port de l'angoisse (To Have and Have Not) d'Howard Hawks (scénario) * 1945 : God Is My Co-Pilot (non-crédité) * 1945 : L'Homme du sud (The Southerner) de Jean Renoir (non-crédité)

de la corruption (Force of Evil) d'Abraham Polonsky 1948 : La Dame de Shanghai (The Lady from Shanghai) de Orson Welles 1949 : Pour toi j'ai tué (Criss Cross) de Robert Siodmak 1949 : L’enfer est à lui (White Heat) de Raoul Walsh 1949 : Le Démon des armes (Gun Crazy) de Joseph H. Lewis 1949 : Les Amants de la nuit (They Live by Night) de Nicholas Ray 1949 : Le Troisième homme (The Third Man) de Carol Reed 1949 : Nous avons gagné ce soir

Il tente de figurer les images hypnagogiques et représente littéralement le monde. Le zoom est apparu dans les années 1950, en photographie il apparaît en 1925. Sa première utilisation fût en photographie aérienne et au cinéma, en 1945 par Raoul Walsh dans White heat. Rossellini se précipite dessus pour ses films historiques, véritable mode entre 1960 et 1970. Dès sont apparition le zoom st considéré comme grossiers, trop proche des émissions télévisées. Lubtchansky nous dit que le zoom serait

courant artistiques, apparaît, le « cinéma underground », largement lié aux mouvements sociaux et qui, à l‘opposé des superproduction d‘Hollywood, se caractérise souvent par un budget minime, un genre et un style particuliers. Des réalisateurs tels Raoul Walsh, Howard Hawks ou William Wellman utilisèrent largement ce mouvement dés la fin des années 1950 qui jouait selon Manny Farber, critique, « un rôle d’anti-art à Hollywood ». Ce modèle cinématographique, en opposition avec le cinéma professionnel

qu'ils mettent en scène sont toutes les deux des « femmes enfants ». En 1957, l'étau se desserre dans l'est. Le monde est entré dans une période de dégel. Trois films forts et dénonciateurs, en cette année, font scandale. L'esclave libre de Raoul Walsh, Le jugement des flèches de Samuel Fuller et les Sentiers de la gloire de Stanley Kubrick. Penchons-nous sur ce dernier film. Paths of glory dénonce la conduite des officiers français, qui ont choisi de faire exécuter, au hasard, des hommes d'un

producteur et le directeur de la photographie devaient être les mêmes, et Spencer Tracy, Montgomery Clift et Burt Lancaster devaient y jouer. Mais l'échec financier de La Nuit du Chasseur marqua irrémédiablement l'abandon de ce projet, et ce fut Raoul Walsh qui s'empara du projet en 1958[14]. A cette époque, dans le pays où le film a été tourné, c'est à dire aux Etats-Unis, le son était déjà très élaboré. Effectivement, le son, est synchronisé depuis le milieu des années 1920' grâce à de nombreuses