Râle des prés

plusieurs familles parisiennes tous milieux confondus. Par une série de petit portraits, des gens du peuple, des bourgeois, l'auteur réussit une magistrale évocation de cette époque du chacun pour soi et du sauve qui peut, où, à de rares exceptions près, la lâcheté et la mesquinerie dominent. Les Péricand, famille bourgeoise, se dirigent vers Nîmes où ils ont de la famille. Ils y parviennent mais non sans dommages collatéraux, la mère, Charlotte Péricand, oublie son beau-père sénile pendant un

vérité, de peur d'affoler les passagers. Ainsi, elle descendit à l'étage le plus bas, où le personnel logeait. L'intensité sonore augmentait au fur et à mesure que l'ascenseur s'enfonçait dans les profondeurs du monstre. Des bruits sourds de pas pressés ainsi que des claquements de portes répétés se faisaient entendre. Lorsque les battants automatiques s'ouvrirent, une vague de chaleur l'assaillit. Des dizaines de marins en sueur, manches retroussées, se hâtaient dans tous les sens, hurlant çà et

– par habitude – “En voiture, les voyageurs !” tandis que la lourde machine lança un hululement sinistre, la vapeur fusant des cylindres… Qui est Tiphaigne Hoff ? L’homme s’essuyait les mains à son bleu. Bien sûr, il comprenait que le client fût pressé. Mais, du menton, il indiqua le fond de l’atelier encombré d’une bonne vingtaine de véhicules… Qui est l’homme ? Chaque jour, il venait en ville et attrapait quelques enfants, en chantonnant “J’ai tellement faim ce matin que je ferais bien un festin

. 3.3.1 Un peu d’histoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.2 Pression en un point d’un fluide en ´quilibre thermodynamique e 3.3.3 Notions de statique des fluides . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.3.1 Expression g´n´rale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e 3.3.3.2 Cas des liquides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.3.3 Transmission de la pression ; th´or`me de Pascal . . . e e 3.3.3.4 Cas des gaz. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

brisait à cette besogne impossible de faire tenir toute la nature sur une toile, épuisé à la longue dans les perpétuelles douleurs qui tendaient ses muscles, sans qu'il pût jamais accoucher de son génie. Ce dont les autres se satisfaisaient, l'à-peu-près du rendu, les tricheries nécessaires le tracassaient de remords, l'indignaient comme une faiblesse lâche ; et il recommençait, et il gâtait le bien pour le mieux, trouvant que ça ne « parlait » pas, mécontent de ses bonnes femmes, ainsi que le disaient

. . . 3.3.1 Un peu d’histoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.2 Pression en un point d’un fluide en ´quilibre thermodynamique e 3.3.3 Notions de statique des fluides . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.3.1 Expression g´n´rale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e e 3.3.3.2 Cas des liquides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.3.3 Transmission de la pression ; th´or`me de Pascal . . . e e 3.3.3.4 Cas des gaz. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.4

voulait être poète, tandis que Zola désirait être peintre. Zola met en scène son (ancien) ami dans son roman L’Oeuvre. 3. Zola fut d’abord directeur du service de la publicité de la librairie Hachette, puis journaliste, rédigeant des « campagnes de presse », des critiques littéraires, dramatiques, artistiques, ainsi que des chroniques d’actualité. 4. On peut dire que Zola fut un écrivain engagé car, grâce à son métier de journaliste, il participa de façon active à la lute contre le Second

sa cuirasse. Alors Patrocle, dompté par la lance et par le coup du dieu, se retira parmi la foule de ses compagnons, afin d'échapper à la mort. Mais Hector, lorsqu'il vit le magnanime Patrocle reculer, blessé d'un fer aigu, s'avança tout près de lui jusqu'au milieu des rangs, et le frappa de sa lance dans le bas du flanc, et le fer le transperça jusqu'au fond. Et Patrocle s'abattit avec un grand bruit : et une grande tristesse accabla le peuple des Grecs. Tel un lion qui a vaincu

Elsa » SEQUENCE I : QUAND LE POETE COMBAT LA GUERRE… Lectures analytiques : Texte 1 : Arthur RIMBAUD, « Le Mal », Poésies, 1870 Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts ! dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes

alors je ne vois pas comment je pourrais lui dire non. Ça, il n’a pas de problème de thunes, Fred. Une BM 6-35 et une Porsche Cayenne, un hôtel particulier de trois étages en plein cœur du quartier Saint-Paul, un yacht de 34 mètres dans une marina près de Saint-Tropez où il a une villa de 600 m² avec vue sur le golf, on peut dire que ça va pour lui. Pour ne pas montrer que je roulais en Dacia, je suis venu en métro. De toute façon, je comptais me barrer juste après minuit, quand tout le monde serait