Raison De La Foi

vérités sont démontrées par la raison et l’expérience. Elles peuvent être remisent en questions. Se sont des lois qui expliquent le fonctionnement du monde. On peut définir la compatibilité par le fait de s’accorder sur un même sujet. La science et la religion sont elles en opposition sur la manière de diriger le monde ? On peut se demander aussi, si la religion et la science sont elles toujours en conflit ? Où la religion et la science n’ont-elles pas raison toutes les deux dans des domaines

même religion forment une communauté spirituelle, qui peut éventuellement se ‘’matérialiser’’ en une institution spécifique (par ex l’Eglise catholique). Toute religion comporte ainsi un aspect ‘’subjectif’’ et intérieur (le sentiment religieux, la foi) et un aspect ‘’objectif’’ et extérieur (cérémonies, institutions …) ; il s’agit donc d’un phénomène ‘’culturel’’ et non seulement ‘’spirituel’’, c’est pourquoi le programme de terminale place le chapitre sur la religion ds le chapitre général sur la

répondre à ses aspirations les plus profondes. [Plan :] Pour répondre, il faudra d’abord dégager ce qui permet à l’homme de refuser les croyances propres à la religion. Par la suite, il s’agira de montrer dans quelle mesure la foi est nécessaire à l’homme, même si cette foi est illusoire, et même si elle n’est pas tout à fait religieuse. Enfin, nous pourrons déterminer le rôle moral et social que la religion est amenée à jouer et si cela peut être véritablement indispensable à l’homme. [Enjeu :] Ce

fois la place de la raison dans le champ de la foi. Alors que certains théologiens de l'époque considèrent comme inutile, voire nuisible, toute tentative de la raison pour comprendre les vérités de la foi, Anselme pense, quant à lui, que la foi doit être " en quête d'intelligence " (Fides quarens intellectum), c'est-à-dire que, sans dépendre de l'intelligence (la foi reste supérieure à la raison), elle doit en être éclairée et ne lui est pas contraire. La foi donne à la raison la matière de sa réflexion

Selon Freud, la position religieuse relève d’une position infantile, en un sens pré rationnelle. La définition commune de la raison est la capacité que l’homme à de ce poser les bonnes questions, de chercher ses réponses et de distinguer la nuance entre Bien et Mal. La religion repose sur une croyance ou une véritable foi en une divinité au quelle viens se mêler à un ensemble de rites et appartenances à une Église, une communauté. La création de la religion s’explique par une volonté existentielle

que les vilains garçons essayaient de dérober, mais non. Ensuite j’ai imaginé que c’était une sorte de force morale, une ligne de conduite un peu rigide qui ne sentait pas la joie de vivre. Plutôt un code pour psychorigide. Ou alors une notion de foi révélé à l’usage de nonnes enfermées dans un obscur couvent, ou de grenouilles de bénitiers vielles et médisantes. En fait, j’ai toujours imaginé que la vertu est féminine parce que noble, majestueuse, admirable et un peu chiante.. Mais non En fait

MONOTHEISTE La croyance se manifeste extérieurement par des rites, série de médiations. Les fidèles n’entrent en rapport avec le divin que par des intermédiaires, une conscience collective. Hegel : la conscience intérieure, personnelle : la ferveur, la foi qui serait un lien direct avec le divin. Source d’une tension : la révélation intérieure ne formule par les mêmes exigences que ce que dit la croyance collective. Priorité de l’une sur l’autre ? Qu’est ce qui fait la véritable religiosité ? Semble

parfois violent de la raison (Platon). b. La foi religieuse renonce à donner une explication rationnelle de ce qu'elle tient pour la vérité. II. La croyance est un fait humain pénétré de pensée (Hegel). a. L'irrationalité de la croyance correspond à une rationalité inconsciente (Jung). b. Il n'est pas absurde de faire confiance aux autres, d'avoir, foi en eux. III. La croyance est en réalité complémentaire de la raison. a. Si la « foi » renonce à prendre appui sur la raison, elle l'utilise

conscience lucide de la réalité. Puis que les croyances religieuses ont indéniablement joué un rôle important dans l'émergence de la rationalité économique capitaliste, ce qui ferait de l'irrationalité des croyances religieuses une sorte de "ruse" de la raison.. Et enfin, le paradoxe d'une irrationalité qui mènerait à la rationalité prouve qu'il n'y a pas de société sans croyances religieuses, et donc que le problème de l'irrationalité des croyances religieuses n'est qu'un faux problème d'origine métaphysique

Le changement de circonstances économiques, entrainant un déséquilibre financier entre les parties, peut il permettre une révision du contrat ? Après avoir observé l’impossibilité de réviser un contrat déséquilibré entre les parties en raison du principe de l’immutabilité du contrat, garante de la permanence des obligations (I) ; nous verrons qu’il existe des tempéraments à ce principe, tolérés par la Cour de cassation, comme en témoigne l’arrêt présent (II). I] L’immutabilité du contrat