Radiodiffusion française

SÉANCE 5 : DÉNONCER LA GUERRE Objectifs : étudier des procédés de dénonciation implicite de la guerre à travers la peinture et la poésie. Langue : Revoir une forme poétique fixe, le sonnet. Versification et figures de style : rejet, contre-rejet, métonymie, anaphores…… Aborder l’argumentation implicite. Support :Manuel p.125 et 137. 1. Dénoncer la guerre à travers l’image Support : Guernica de Picasso (p.125)

leur naissance, les États-Unis ont été en guerre avec la France, qui avait pourtant été l’alliée des colonies américaines contre les Anglais ! C’était en 1798 : la France était en guerre avec l’Angleterre, notamment dans les Caraïbes. La Révolution française rencontrait une certain soutien dans les couches populaires des États-Unis et une hostilité comparable chez leurs dirigeants, qui choisirent bientôt le camp britannique. Ils firent voter une législation permettant d’expulser les Français, censés

de l’ordre. Pendant une période d’état de siège, la vie de la nation et les différentes libertés des citoyens sont suspendues. C’est donc une situation d’urgence dans laquelle les libertés sont limitées voir stoppées. Or en 1873, la révolution française est terminée , il y a eu une consécration des droits individuels prévue dans la DDHC du 26 aout 1789. C’est pourquoi M Pelletier veut sa liberté, il a l’impression d’être oppressé et a du mal a supporter ce suspend de liberté d’opinion de travail

interdit la liberté de religions et d'opinion, là ou l'Angleterre par exemple donnait déjà une alternative au catholicisme, un retard qui sera pénalisé à la France. Dans quelle mesure alors, le roi absolu, chef de l'Etat de la monarchie de droit divin française, est-il en mesure de régner de manière suprême? Nous aborderons premièrement que le roi absolu par nature a un pouvoir très important autant spirituel que temporel puis nous analyserons que malgré des limites à son règne le roi a un pouvoir fort

système de gouvernement basé sur les principes des « idées napoléoniennes », c'est-à-dire celles de l'empereur - l'élu du peuple, représentatif du peuple, de la démocratie - et de lui-même, le représentant du grand Napoléon Ier, héros de la Révolution française, et donc gardien de l'héritage révolutionnaire. Napoléon III montra rapidement que la justice sociale ne signifiait pas la liberté. Il agit de telle sorte que les principes de 1848 qu'il avait préservés deviennent une simple façade. Il paralysa

nord les communautés des Tzarfatim[1] Le XVIe siècle voit l'arrivée à Bordeaux des Juifs portugais. Si certains ont effectivement adopté le catholicisme, la plupart d'entre eux pratiquent le judaïsme en secret. Au XVIIIe siècle, la Révolution française est suivie d'une mutation profonde et décisive pour le judaïsme mondial : la France est le premier pays d'Europe à émanciper et intégrer les Juifs dans la nation. Cependant, cette acquisition de l'égalité légale suscite une reviviscence d'un antisémitisme

les décisions et ses ministres exécutent ce qu’il veut. Il a l’Etat en main. A la fin du 17e siècle, les systèmes politiques sont différents. En Angleterre, seul le peuple a le droit de choisir son gouvernement, alors que la monarchie absolue française est désignée par Dieu. D’un coté, c’est le Parlement élu par le peuple qui décide les lois et a le droit de révocation des ministres. Il y a également la séparation des pouvoirs : l’exécutif et le législatif sont traités par des pouvoirs différents

MOLOZAY Pauline HK1 11/02/2011 Commentaire d'histoire Gambetta et le suffrage universel, Paris, Cirque du Château d'Eau, 9 octobre 1877 Ce discours est prononcé par Léon Gambetta, républicain modéré, qui après l'expérience de la Commune de Paris et l'installation de la III ème République en 1871, mènera une longue action de propagande en faveur de la République et dans un but de rassurer les français. Il prononce ce discours lorsqu'il est député, le 9 octobre 1977 lors d'une réunion

société, demande une plus grande place accordée au père. La part trop grande donnée aux mères aurait contribué à un tel état de confusion familiale. Ainsi, on remonte une des pièces idéologiques du XIXe siècle. En effet, les opposants à la Révolution française estimaient qu'en tuant le roi on avait tué le père, et que la société était sur le déclin. Ils réclament alors que l'autorité du père soit rétablie, espérant que, derrière le retour du père, puisse avoir lieu le retour du roi et le retour de Dieu

1936 à mai 1940 la France est officiellement en guerre alors qu’aucune opération militaire n’a lieu : C’est la « drôle de guerre ». Le 10 mai, les allemands déclenchent la guerre éclair contre l’Ouest de l’Europe. En moins de six semaines l’armée française est mise en déroute. P. Pétain, alors vice-président du conseil depuis le 18 mai 1940, s’oppose à la continuation de la lutte et à une capitulation militaire. Il est en faveur de l’armistice. Pour cette raison, le président du conseil Paul Reynaud