Rachid ben Chérif

…………………………………………………………… 17 – «Une si douce dictature» …………………………………………………………………. 18 – Arbitraire, concussion et corruption ………………………………………………………. 19 – Un trou de près 18 milliards de dollars ………………………………….……………… 20 – L’irrésistible ascension de Leïla Ben Ali …………………………………………………. 21 – L’insatiable Belhassen Trabelsi ………………………………………………………… 22 – Imed, un plouc endimanché ……………………………………………………………… 23 – Sakher El Materi rafle tout ……………………………………………………………….. 24 – La mise au pas des réfractaires : le cas Bouebdelli

justement les faire entrer. Jusqu’en 1986, ils n’avaient même pas besoin de visa pour venir en France. Le viatique, document hérité des accords bilatéraux signés en 1968, leur permettait de séjourner sur le sol français quand ils le souhaitaient. Rachid C. se souvient de cette époque bénie. « Je venais en moyenne une fois par an à Paris, ­raconte-t-il, je prenais le bateau pour Marseille, ensuite le train pour Paris. Je payais tous mes billets de transports en dinars dans une agence algérienne, même

Aly Zmerli Ben Ali le ripou ■ □ ■ 2    * Quand nous voulons anéantir une cité, nous ordonnons aux opulents d’entre eux, d’obéir à nos prescriptions. Mais ils se livrent à la perversion, et justifient ainsi la sentence prononcée contre leur cité. Aussi la saccageons-nous de fond en comble. Le Coran, le Voyage nocturne (V. 16) * La rédaction de ce livre a été achevé le 31 décembre 2010. Les manifestations déclenchées dans tout le pays suite au suicide par immolation de Mohamed Bouazizi

Almoravides au Maghreb23. [modifier] Dynastie Aghlabide 800 à 909 Articles détaillés : Aghlabides et Histoire de la Tunisie. Aghlabides vers l'an 820 de l'ère chrétienne, apparition des Rostémides en 776. En 800, le calife abbasside Haroun ar-Rachid délègue son pouvoir en Ifriqiya à un gouverneur arabe du Zab, Ibrahim ibn Al-Aghlab, qui obtient le titre d'émir37. Al-Aghlab établit la dynastie des Aghlabides, qui règne durant un siècle sur le Maghreb central et oriental. Le territoire bénéficie

et huit mois captif au Maroc, à Taroudant, Tlemcen, Fez et Tunis. Ce fut alors qu’à la suite du chérif Mohammed il traversa les déserts de Libye jusqu’à Acequia el Hamara (Saguit el Hamra), ligne de fond qui forme la limite méridionale ____________________ (1) V. l’élude biographique sur Jean Léon l’Africain, 2e volume de la Revue africaine, p. 353 et suivantes. — 13 — du Maroc, alors que ce chérif se rendit maître des provinces de l’Ouest. Il a couru toute la Barbarie et toute l’Égypte. Il possédait

noms de ceux qui allaient conduire la Révolution algérienne. Le 11 juin 1951, l’audience commença au tribunal correctionnel de Annaba. Les juges coloniaux examinaient d’une part l’Organisation secrète dite «OS», notamment le cas des prévenu «Belhadj, Ben M’hidi, Didouche, Boudiaf, les autres chefs n’ayant pu être identifiés, d’autre part l’activité déployée par tous les autres au sein des différentes sections». Sur l’OS et ses responsables, le compte rendu donne aux historiens un véritable matériau

les Aghlabides lorsqu'il prend pouvoir au Maghreb. Extenstion maximale de la dynastie Idrisside (788 et 985), allié aux Zénètes et aux Awarbas Histoire de l'Algérie 28 Dynasties Aghlabide 800 à 909 En 800, le calife abbasside Haroun ar-Rachid délègue son pouvoir en Ifriqiya à l’émir Ibrahim ibn Al-Aghlab.langue et culture. Al-Aghlab établit la dynastie des Aghlabides, qui règne durant un siècle sur le Maghreb central et oriental. Le territoire bénéficie d’une indépendance formelle tout

sa ville natale où il est enterré, des contacts étroits avec les leaders du mouvement national, dont Messali Hadj, de la même manière qu’il entretenait des relations avec des personnalités politiques et intellectuelles connues comme Si M’hamed Ben Rahal Nédroumi, lettré et homme politique, Abdelkader Midjaoui, professeur et homme de lettres, précurseur du mouvement de la réforme, Abdelaziz Zenagui, lettré, répétiteur à l’Institut des langues orientales à Paris, le faqih Harchaoui, le professeur

de ses chefs, les généraux Mohamed Médiène dit "Toufik" et Larbi Belkheir, et avec le consentement des généraux Khaled Nezzar, Mohamed Lamari, Abdelmalek Guenaizia, Mohamed Touati, et des deuxièmes couteaux comme Kamel Abderrahmane ou Brahim Fodhil Chérif, tous d'anciens "déserteurs de l'armée coloniale française" qui ont réussi à prendre le contrôle de l'armée. Ce n'est pas un hasard si le général Mohamed Betchine, dans une déclaration publiée dans le quotidien Le Matin daté du 17 octobre 1998, a

El Fath, dirigée par un certain Omar Ben Titraoui, éliminé en janvier 2009 au centre-ville de Boumerdès. Depuis, l’activité terroriste a sensiblement diminué. Mais la donne a changé à partir de mai dernier, après l’attaque ayant coûté la vie à un lieutenant-colonel et à un commandant de l’Armée nationale populaire (ANP). Les victimes avaient, pour rappel, reçu des tirs de mortier artisanal au moment où elles s’apprêtaient à rejoindre leur campement, sis à Ben Hachlaf, à bord d’un véhicule banalisé