Rabbin

quitta le ghetto, les gendarmes hongrois frappant les juifs sans distinction ni raison. Éliezer, dont la famille ne devait partir qu'avec le dernier convoi, était là «sur le trottoir, à les regarder passer, incapable de faire un mouvement. Voilà le rabbin, le dos voûté, le visage rasé, le balluchon sur le dos. Sa seule présence parmi les expulsés suffisait à rendre cette scène irréelle. Il me semblait voir une page arrachée à quelque livre de contes, à quelque roman historique sur la captivité de Babylone

quitta le ghetto, les gendarmes hongrois frappant les juifs sans distinction ni raison. Éliezer, dont la famille ne devait partir qu'avec le dernier convoi, était là «sur le trottoir, à les regarder passer, incapable de faire un mouvement. Voilà le rabbin, le dos voûté, le visage rasé, le balluchon sur le dos. Sa seule présence parmi les expulsés suffisait à rendre cette scène irréelle. Il me semblait voir une page arrachée à quelque livre de contes, à quelque roman historique sur la captivité de

ghetto, les gendarmes hongrois frappant les juifs sans distinction ni raison. Éliezer, dont la famille ne devait partir qu'avec le dernier convoi, était là « sur le trottoir, à les regarder passer, incapable de faire un mouvement. Voilà le rabbin, le dos voûté, le visage rasé, le balluchon sur le dos. Sa seule présence parmi les expulsés suffisait à rendre cette scène irréelle. Il me semblait voir une page arrachée à quelque livre de contes, à quelque roman historique sur la captivité de Babylone

tomba gravement malade. Il mourut à Paris, le 2 septembre 1903. Il avait trente-huit ans. Alors qu'il avait expressément écrit dans son testament : "En ce qui me concerne je désire si je meurs, être enterré sans aucune cérémonie religieuse", deux rabbins récitèrent le Kadish sur la tombe de cet athée. De même avait-il écrit: "Il y a dix ans que je travaille à un livre sur les juifs dont le titre devrait être : Le Fumier de Job. On trouvera toutes mes notes à peu près classées dans mon coffre.

particulièrement dans les constructions urbaines juives absentes du paysage byzantin. Ainsi, c’est dans ce contexte particulier que Benjamin de Tudèle nous fait une description détaillée de la Constantinople du milieu du XIIe siècle. Benjamin de Tudèle st un rabbin espagnol, né à Tudela en Navarre au commencement du XIIe siècle et mort en 1173. C’est aussi un célèbre voyageur qui, au milieu du XIIe siècle, fit un grand voyage en Europe, en Asie et en Égypte pour partir à la recherche des communautés juives.

jamais été mû par une idéologie fasciste et La Rocque dénonçait d'ailleurs la religion d'État, le racisme et la lutte des classes comme les principaux obstacles à la « réconciliation nationale » tant souhaitée (discours du 23 mai 1936). Le Grand Rabbin Jacob Kaplan, encore profondément marqué par la Première Guerre mondiale, organise le 14 juin 1936 avec les Croix-de-feu une cérémonie religieuse à la mémoire des anciens combattants juifs, faisant suite aux cérémonies organisées chaque année depuis

principe selon lequel « nul n’est censé ignorer la loi » que les époux mettent en avant l’ignorance de la législation concernant une cause de nullité du mariage. Elle a par exemple considéré que constituait un mariage putatif un mariage célébré par un rabbin en Algérie entre deux époux dont l’un Français (Civ., 5 janvier 1910) et aussi celui célébré par un consul et un étranger entre deux époux dont l’un était Français (Civ. 30 juillet 1900). La définition extensive de la notion de bonne foi dans cette

est extrait de l’oeuvre de E. Durkheim, sociologue, philosophe et moraliste français de la fin du XIXème siècle qui va s’intéresser à la question du lien social. Né à Épinal en 1858, Durkheim appartient à une lignée de rabbins de 8 générations mais refusant de devenir rabbin, il enseignera le droit et la philosophie et sera ensuite, le premier professeur de sociologie, à Bordeaux, puis à la Sorbonne. Il aborde dans ces cours les thèmes du suicide, de la solidarité sociale, du fait moral et religieux

religions considèrent que l'homme ne dispose pas de sa vie, qu’elle est un don (christianisme, judaïsme et islam par exemple). Cependant, d'une manière générale, on constate une certaine ouverture des membres du clergé, des pasteurs et parfois même des rabbins et des imams à l'égard de cas très particuliers. Manifestation 24 mars 2012 Environ 500 personnes se sont rassemblées à midi au Trocadéro sur la place de Droits de L'Homme à l'initiative de l'Alliance Vita pour dire non à l'acharnement thérapeutique

prescriptions religieuses et juridiques. Le droit est donc immuable, seul Dieu a le pouvoir de le modifier. Cela se retrouve chez les musulmans et les chrétiens. En revanche, les hommes ont le droit d’interpréter la règle. Ce sera le devoir des Rabbins. De nombreuses institutions juridiques hébraïques vont survivre dans le droit médiéval, comme l’institution du sacre. Le roi devient le représentant de Dieu sur terre. Dieu désigne directement celui qui le représentera.