Quinquennat Chirac

Touvier (1994), ou encore celui de Maurice Papon (1997-1998). b) La reconnaissance officielle  Parallèlement aux procès, on a pu observer une certaine reconnaissance officielle de la part du gouvernement français. En 1995, le président Jacques Chirac reconnait le rôle de l’État français dans la rafle du Vel’d’Hiv’ le 16 juillet, reconnaissance réaffirmée par le président François Hollande en 2012.  De même, pour lutter contre les négationnistes, des lois mémorielles ont été votées en 1990, punissant

rassemblements dans les halls d'immeubles, les menaces, le hooliganisme, l'homophobie ou le commerce des armes. Il dénonce en plus quelques-unes de ses paroles comme «D’ailleurs si l’Église de France n’a pas le soucis des plus pauvres, qui l’aura?». Jacques Chirac, Président de la République Française à l’époque, est également cité. Il fit passer une loi en mars 2007 visant à garantir un droit au logement pour les SDF (ils pourraient exiger à l’État qu’il les loge). Mais cette loi resta théorique, elle ne

toute initiative à ce sujet. Il faudra donc attendre l’élection à la présidence de Jacques Chirac, en 1995, pour voir les choses évoluer. Entre-temps, grâce aux travaux des historiens anglo-saxons comme Raul Hilberg, la Shoah est devenue un sujet d’étude et 17 Sujet 1 | Corrigé d’analyse, et son ampleur est désormais mieux appréhendée. Dans un célèbre discours prononcé peu après son élection, Jacques Chirac reconnaît l’implication de l’État français dans la déportation de juifs et donc sa complicité

aux responsabilités du régime de Vichy dans la déportation des juifs a beaucoup évoluée. En effet la mémoire de la Shoah a été mise à l'écart de très nombreuses années. Pour appuyer nos dires, nous allons utiliser un discours prononcé par Jacques Chirac lors de la commémoration de la rafle du Vel' d'Hiv', en 1995 ( l'année de son élection en tant que président). Les différents présidents qui se sont succédés de 1945 à 1995 n'ont jamais reconnus officiellement les responsabilités de Vichy, certes

Résistance, plus ou moins active ; d'autres, à l'inverse, se radicalisent et basculent dans l'antisémitisme et la collaboration. Il a fallu attendre le 16 juillet 1995 pour qu'à la faveur d'un très beau et très émouvant discours, un président, Jacques Chirac, reconnaisse officiellement « que ces heures noires souillent à jamais notre histoire, et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'Etat français ».

le chef du gouvernement, c’est moi ». Concernant le droit de révocation : Lette de démission de Michel Debré. Doc 3 : « avoir été le premier collaborateur », « collaboration sans réserve », « confiance et amitié ». Lette de démission de Jacques Chirac, doc 4 « cela supposait évidemment un renforcement de l’autorité du premier ministre ». Démission de Michel Rocard en 1991 conséquence de sa mésentente avec F.Mitterrand Convention constitutionnelle contraire à la Constitution. En période de concordance

II.Musée du quai Branly A Le musée du quai Branly est situé quai Branly dans le 7e arrondissement de Paris, au pied de la tour Eiffel. Projet ambitieux porté par Jacques Chirac et réalisé par Jean Nouvel, il a été inauguré le 20 juin 2006. C’est un musée national. Le genre des collections sont ethnologie. B C’est Jacques Chirac qui a eu l’idée d’un tel projet. Ce dernier qu'on dit passionné par les « arts premiers », est élu président de la République en 1995. Dès son arrivée à la tête de l'État

"oublier ces temps troublés." Mais l'avocat Serge Klarsfeld, veut faire justice aux victimes de la Shoah, et arrive à le faire condamner en 1994, pour "crime contre l'humanité." C'est le premier français à être condamner pour cet intitulé. Jacques Chirac, président durant l'année 1995, prononcera enfin, en mai, que la France a commi des "fautes" et que « La France, patrie des Lumières et des droits de l’Homme, terre d’accueil et d’asile, la France, ce jour là, accomplissait l’irréparable » en

Un soir, à un dîner chez des amis, où se fait sentir une certaine ironie à l’égard de l’improbable journalisme féminin et de ses vaticinations, le téléphone sonne. La maîtresse de maison vous fait un signe : c’est pour vous. Au bout du fil, Jacques Chirac qui vient d’être désigné comme Premier ministre par Giscard. Il vous offre d’entrer dans son gouvernement que le président Giscard d’Estaing, en novateur, souhaite aussi large que possible. Vous n’hésitez pas longtemps. Vous devenez ministre de la

cours des années 1990, des magistrats, avec l’appui de l’opinion publique et des médias ont commencés à se pencher sur des affaires politiquement délicates. On peut ainsi citer l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris, crées par Jacques Chirac et qui fut menacé d’une mise en examen en 1995 pour ces crimes commis avant son élection et ayant rapporté jusqu’à 30 millions de francs au RPR. Ces affaires étant antérieures à son élection, la responsabilité du Président et les conséquences qui