Qui Parle Quand Je Dis Je

Je n’ai gardé qu’une image de Hadj M. Celle, obsédante, d’un homme qui pleurait. Ce dimanche de mai 1939, le leader indépendantiste m’avait longuement parlé de femmes et d’amour. Je l’avais trouvé, dans sa cellule, absorbé sur un cahier d’écolier. Il n’avait levé la tête qu’à la voix gutturale de Hocine Le Skikdi : * Voilà Imeslayène, cheikh ! Hadj M. avait alors posé sur moi des yeux chargés de larmes. * Ah, Salam si Imeslayène !   Hocine Le Skikdi, embarrassé d’avoir surpris son

Acte V Scène IV - La reine, Ruy Blas. chancelant la reine immobile et glacée, , l'œil fixé à terre, comme s'il n'osait lever les yeux jusqu'à elle. , d'une voix grave–pas. – Je parle franchise. Je ne suis point coupable autant que vous croyez. Je sens, ma trahison, comme vous la voyez, Doit vous paraître horrible l'âme vile, Je suis honnête au fond. – cet amour m'a perdu. – Je ne me défends pas ; je sais bien, j'aurais dû Trouver quelque moyen. La faute est consommée ! – C'est égal,

plaisante pas, malheureusement... Ouais, enfin... Si elle arrive à avoir un billet. On avait réservé les nôtres trois mois à l'avance... Non, mais tu imagines ? Me voilà parti tout seul pour Londres fêter notre anniversaire de mariage... Enfin quand je dis tout seul... (Changeant de ton, plus badin) Tu ne vas pas le croire non plus, mais il m'arrive un truc absolument hallucinant... Une folle s'est assise juste en face de moi dans l'Eurostar, à la place de Christelle, justement... et figure-toi qu'elle

violent Tout s'effondre sous toi Tu te dis « elle c'est la bonne » Et à la fin tu n’es qu'une bonne pomme Bouffer par des verres tellement ton cœur est Troué après le vide qu'elle t’a laissé Même des années après tu es toujours aussi blessé De nos jours l'amour n'à plus aucun sens Seulement nous faire souffrir de désir Car on se projette dans l'avenir Pour qu'a la fin il n'y est plus que méfiance Une nouvelle fille apparait dans ta vie Tu te dis « je n'avouerai pas tout de suite mes

gagner. Je sors lentement mon corps de la couverture en laine blanche, et tous mes poils s’hérissent ; le sol est glacé. Rosalinda aurait déjà nettoyé le sol ? Je n’ai rien entendu. Rosalinda, c’est la dame de ménage. Elle ne parle jamais, je ne l’a vois presque jamais, sauf quand en rentrant du lycée je l’aperçois entre deux pièces. C’est d’ailleurs mieux comme ça. Même moi, avec un tel physique je me cacherais ; elle n’est pas vraiment mince, de petite taille, son visage est aussi agréable à regarder

arrive très énervé car tu as laissé tes gants de cuisines sur la commode en verre. Donc Claire quand tu dis «  Et ces gants ! » je veux que tu es vraiment l’air d’être très énervée. Solange : Et moi je me fiche totalement de ce qu’elle me dit et je joue avec mes gants et je dis rien. Claire : Et donc, c’est là, où moi je prends un air moqueur et ironique, et ensuite j’arrête de faire Madame et j’y dis «  ne te gène pas, fais ta biche. Et surtout ne te presse pas, nous avons le temps. SORS ! »

pendant qu’ils sont en train de manger, moi je travail, pendant qu’ils sont en train de sortir avec leurs amours, moi je travail, pendant et pendant qu’ils ne sont pas consacrer sur leur passion, moi je me sacrifie et j’excelle de plus en plus, alors quand eux travaillent aussi, moi je travaille ardument, véhément, dynamiquement et excessivement. Il n’existe pas de chemin facile, ou de formule magique qui fait changer tout à un coup de baguette magique ! Pour moi, la baguette magique que nous avions

rien contre ça, tu peux rien contre le temps qui passe. Alors pars, vas t’en, vas vivre ta vie. Tu es jeune, pourquoi tu restes accrochée à lui ? C'est fini, le cinéma est terminé. Tu n'avais pas d'importance à ses yeux. Crois-moi, c'est vrai, je te dis pas ça pour que tu l'oublies, je veux juste te faire comprendre que toute cette histoire tu l'as mal interprétée. Il s'en est rendu compte et il est parti. C'est fini, il s'en fiche de ton état, s'en fiche de ce que tu ressens. il est heureux sans toi

faire semblant, et blablabla... J'aimerais tellement dire que je t'ai oublier que je ne t'aime plus,mais c'est pas vrai .. Je pense à toi sans cesse. Quand je te croise,j'ai l'impression de perdre mon cœur. Dès que je reçois un message, je pense des nuits à toi et je l'espère à chaque fois. J'écris toujours tes initiales,dans le miroirs quand il y a de la buée dans mes cahiers,sur ma main.. Aujourd'hui tout ce qui me reste de toi, sont des souvenirs où des photos.. Tu peux marcher sur mon cœur

affirme Goethe. En vous référant à vos lectures personnelles, exprimez les réflexions que vous inspire une telle opinion. Analyse : • Analyse syntaxique : « ceux » : pronom démonstratif  les écrivains • Analyse logique : - thème : (ce dont on parle) : La lecture - propos : elle forme l’homme Idée générale : Quelles sont les réflexions nous inspire cette opinion de Goethe selon laquelle la lecture peut former un homme ? • Plan schématique (ébauche de plan) : - La lecture forme l’homme