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les noces et le couronnement). Dans la première partie (vers 1-1840) : le récit est selon Frappier un « petit roman idyllique vivement conté », comparable à un lai. Contraint de quitter la cour pour venger un outrage, Érec prouve sa vaillance et rencontre l’amour. Dans la deuxième partie (vers 1841-5358), c’est une nouvelle vie qui commence, avec la cérémonie des noces (retour à la cour où Érec est honoré, qui signe un nouveau départ), puis la crise conjugale (la demeure, l’espace de l’intime :

plus, bien que le mythe du surfeurbaroudeur des années 60-70 parcourant la planète à la recherche de vagues parfaites et immortalisé dans le film Endless-Summer ait un peu vécu, il n'en demeure pas moins que la pratique de ce sport reste associée au voyage. Les grandes destinations surf que sont notamment la côte basco-landaise, la côte californienne et la Gold Coast australienne ont vu fleurir ces dernières années des écoles de surf en grand nombre. Celles-ci se chargent d'initier de nouveaux pratiquants

publiera une communication, « Transmission électrique de la parole », en 1854. L’administration de Bourseul ne communiquera sa découverte à l’Académie des Sciences qu’après le dépôt de brevet d’invention du physicien américain Graham Bell en 1876. Si, lors d’un Congrès international en 1882, Bell et Edison saluent en Bourseul le précurseur du concept du téléphone, la France ne lui reconnaîtra officiellement cette paternité qu’en 1889 : il sera décoré de la Légion d’honneur et recevra une pension ; sept

électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 1048 : version 1.0 La Duchesse de Langeais, deuxième épisode de l’Histoire des Treize, fait partie des Scènes de la vie parisienne. La duchesse de Langeais Édition de référence : Éditions Rencontre, Lausanne, 1968. À Franz Liszt. Il existe dans une ville espagnole située sur une île de la Méditerranée, un couvent de Carmélites Déchaussées où la règle de l’Ordre institué par sainte Thérèse s’est conservée dans la rigueur primitive de

bottes rouges donna des conseils au jeune homme ; il exposait des théories, narrait des anecdotes, se citait lui-même en exemple, débitant tout cela d’un ton paterne, avec une ingénuité de corruption divertissante. Il était républicain ; il avait voyagé, il connaissait l’intérieur des théâtres, des restaurants, des journaux, et tous les artistes célèbres, qu’il appelait familièrement par leurs prénoms ; Frédéric lui confia bientôt ses pro-jets ; il les encouragea. Mais il s’interrompit pour observer

Suffragants : Dominique BOURGEON-RENAULT Professeur Université de Bourgogne Joël BRÉE Professeur Université de Caen Basse-Normandie Søren ASKEGAARD Professor University of Southern Denmark Remerciements Si la thèse est avant tout un voyage personnel, elle n’existe et ne s’enrichit que par le contact des autres. Je tiens à remercier, ici, toutes les personnes qui, de près ou de loin, m’ont encouragé, indiqué la route à suivre, ou accompagné tout au long de cette aventure. En premier

Vin de l'assassin: 1848?", dans Du Romantisme au surnaturalisme, ouvr. cité, p. 193-194. Ajoutons que dans la préface des Odes funambulesques [février 1857], Banville observait: "Dans un morceau [...] d'inspiration lyrique, M. Proudhon [...] s'est rencontré, presque idée pour idée, avec Les Litanies de Satan de Charles Baudelaire" (édition Crépet-Blin des Fleurs, p. 512-513). 36. La Mystique de Baudelaire, p. 56. Baudelaire lui-même parle, en 1861, dans une étude sur Hugo, des "limbes de l'avenir"

que leurs textes procèdent implicitement à une remise en cause de l’héritage colonial, il est question pour ces écrivains d’écrire le chaos de la condition postcoloniale dont la saturation par les images étrangères est une donnée importante. Dès lors, la prise en compte du motif cinéma, énoncé dans leurs œuvres exclusivement à travers des films (ceux d’Hollywood et de Bollywood surtout), va révéler un monde aussi déconcertant qu’absurde. Pour les romanciers francophones d’Afrique noire, ce cinéma

Comme cela a été le cas les années précédentes, ce florilège devait être publié dans la rubrique « Au programme » du Magasin du XIXe siècle, dont le n° 3 va paraître en novembre 2013. Le manque de place dans cette livraison dans la solitude ; ingénue, rêveuse, distinguée par l’âme sans le savoir, ne jugeant pas son mari et adorant ses enfants, madame de Rênal est d’abord choquée de l’idée qu’un petit prêtre sale et sournois va venir régenter ses enfants et s’entreposer entre eux et leur

lieues, des abîmes, des découvertes, des métamorphoses sans remède me séparaient de la veille.» Elle allait désormais montrer un visage soit mélancolique, soit empreint d’une affectation sous laquelle elle dissimulait sa tristesse. Il n’y eut pas de voyage de noces car Willy était sans le sou. Ils vinrent à Paris et, a-t-elle confié, «  la joie de me sentir en chemin de fer toute nue dans des toiles m'a tenue éveillée une partie de la nuit. Non loin de moi, Willy, dans la même situation, étouffait de