Qui Je Fus Henri Michaux

une rigueur d'écriture de la lecture des auteurs du XIXe siècle (Verne, Flaubert, Baudelaire), le bouillonnement baroque, la précision des descriptions et des topographies, l'explosion verbale font davantage penser à William Blake, à Lautréamont, à Michaux. En fait, le roman présente de nombreux indices qui font croire à une source autobiographique : cette ville au bord de la mer et proche de la montagne fait évidemment penser à Nice, la ville natale de l’auteur, qui se refuse à la nommer mais confie

les jeux de l’Oulipo et de Raymond Queneau (Cent mille milliards de poèmes), Georges Perec ou Jacques Roubaud. On peut également, au-delà du paradoxe apparent, rattacher à ce courant poétique qui met l’accent sur la « forme », les démarches d’Henri Michaux dont Le Grand Combat (Qui je fus ?, 1927) est écrit dans une langue inventée faite de suggestion sonore, ou encore les expérimentations « lettristes » d’Isidore Isou. Les impasses de cette poésie coupée de l’âme et parfois très rhétorique seront régulièrement

l'époque, en France, de réflexions d'ampleur sur l'institution psychiatrique. Robert Castel s'y plonge. Avec une femme psychiatre et une enfance meurtrie, il sait de près ce qu'est " la connaissance par les gouffres ", pour reprendre le mot du poète Henri Michaux. Toutefois, le jeune sociologue est peu sensible aux " gauchistes échevelés " qui prônaient " la libération par la folie ", bien peu fasciné par le mythe d'Antonin Artaud ou encore par les exaltations romantico-politiques de la marge et de la déraison

Constantin Brancusi Georges Braque Brassaï Victor Brauner Robert Breer Marcel Broodthaers Luis Buñuel Daniel Buren André Cadere Alexander Calder Sophie Calle Jacques Callot Jacques Carlu Gilles Caron Henri Cartier-Bresson Emmanuel Cattani Edmond Céria César Marc Chagall Gaston Chaissac René Clair Claude Closky Henri-Georges Clouzot Gérard Collin-Thiébaut Pascal Convert Benoît Cornette Gérard Courant Étienne Cournault Marc Couturier Salvador Dalí Jean-Pierre Dantan Guy Debord Giorgio De Chirico Odile Decq

pour une approche thématique (par exemple Mitterand), par mouvements littéraires (Lagarde et Michard), ou par tranches historiques (les manuels de lycée). En général, ce sont les mêmes noms qui reviennent comme référence : les Belges Yourcenar et Michaux, les Suisses Cendrars et Jaccottet, le franco-argentin Banciotti, le Bulgare Todorov et Cohen, de nationalité suisse mais né à Corfou de parents juifs sépharades. Ils font « naturellement » partie des mouvements littéraires. Comment expliquer cette

des prêtres en insistant sur 2 aspects : ceux-ci imposent par la peur en des vérités cachées, indémontrables, et au nom de cela ils peuvent priver de la liberté ou de la vie de qqn. . La poésie : écrire contre, tout contre les traditions Henri Michaux, « Emportez-moi », Mes Propriétés, 1930 I. Réécriture d’un poème type de la modernité : le voyage comme écriture A. La reprise d’une matrice - Baudelaire - Sur le motif « emportez-moi » qui structure le poème - Rimbaud

jeux de l’Oulipo et de Raymond Queneau (Cent mille milliards de poèmes), Georges Perec ou Jacques Roubaud. On peut également, au-delà du paradoxe apparent, rattacher à ce courant poétique qui met l’accent sur la « forme », les démarches d’Henri Michaux dont Le Grand Combat (Qui je fus ?, 1927) est écrit dans une langue inventée faite de suggestion sonore, ou encore les expérimentations « lettristes » d’Isidore Isou. Les impasses de cette poésie coupée de l’âme et parfois très rhétorique seront régulièrement

" Ecrire, c’est se défaire par la parole de l'oppression de ce que l'on est. " Paul VALERY (XX°) " Parler pour parler est la formule de délivrance. " NOVALIS (poète allemand fin XIX°) " On n'écrit que par nécessité, pour se libérer un moment. " Henri MICHAUX (poète français XX°) " Etrange, mystérieuse consolation donnée par la littérature, dangereuse peut-être, peut-être libératrice. " Franz KAFKA (XX°)   II) Ecrire pour agir, parce qu’on veut dire " Moi, j'écris pour agir. " VOLTAIRE (XVIII°)

Apollinaire, « Il pleut », Calligrammes Page 2 sur 37 Sonia LE PAPE – 2009-2010 - Apollinaire, « Il pleut », Calligrammes - Apolinaire, « Pluie », Poèmes épistolaires NATHAN Interro des lycées 2008 Voyage et escale poétiques (ES/S - nov 2005) - Michaux, Ecuador (extrait) - Supervielle, « L’escale portugaise », Débarcadères - Cendrars, « Fleuve », Documentaires HATIER Annabac 2007 NATHAN Annales 2007 En prison : « chanter son mal pour l’enchanter » (ES/S - nov 2005) - Du Bellay, « Vu le soin ménager…

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