Qui Doit Gouverner

travers les pensées des différents théoriciens politiques et à partir d’une analyse socio-historique des relations entre représentants et représentés. La thèse centrale de ce livre, semble être basée sur le fait que le gouvernement représentatif doit être compris comme une combinaison d’éléments, d’institutions qui évoluent. L'auteur analyse tout d'abord le mode de désignation des gouvernants à Athènes. Il présente l’emploi du tirage au sort à Athènes comme l’affirmation de la démocratie par

avait. Il y avait l’idée que le peuple était souverain donc il devait être représenté. 1789 : une nouvelle société est née pour chercher une constitution qui leur conviendrait jusqu’à celle de la V° République en (1958 ?). Dans une dissertation, on doit donner un point de vue motivé juridiquement, se baser sur des faits. On veut des justifications juridiques. Pour la problématique, on pose un problème, pas de question descriptive. Et derrière on attend un plan organisé. SCEANCE N°2 * Absolutisme :

(...) Cette distinction a des conséquences : gouverner et présider deviennent deux choses hiérarchiquement différentes. Dans la logique de ces institutions, gouverner n’est pas un tâche noble mais seconde. Le Premier ministre est un « tâcheron ». Il est entendu a priori qu’il n’ira pas au terme de la législature. Il doit partir, défait s’il a déplu ou pris trop d’importance, usé s’il a accompli son devoir avec dévouement. Il est le paratonnerre, il doit protéger le Président. D’ailleurs, il est nommé

longitudinale et implications .. Moment de tangage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. Point neutre manche fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Guidage et stabilité statique manche libre longitudinaux . . . . . .. Angle de gouverne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. Couple de charnière et effort dans le manche . . . . . . . .. Point neutre manche libre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . iii . . . . . . . . . . . . . . . . . .          

Nous analyserons ici la portées de la peur, les éléments qu'elle peut déclencher et les réactions qu'elle entraîne. I-Qu’est-ce que la peur Depuis l’apparition de l’homme, il est impossible de concevoir la vie sans peur. « La seule chose dont on doit avoir peur, c'est de la peur elle-même. » Franklin Roosevelt. Les origines de la peur sont abondantes. Par exemple, la nouveauté et le progrès suscite la peur. La pauvreté et la misère nous glace aussi d’effroi, sans oublier la maladie qui précipite

choisi pour ses qualités. - Il investit le monarque d’une mission spirituelle : un pouvoir spirituel vient donc compléter son pouvoir temporel. A- Les origines divines du pourvoir royal. - Le roi est légitimé par le sacre : Il gouverne un peuple chrétien et est le représentant le plus proche de Dieu sur terre par le lien spirituel qu’il entretient avec la divinité. (On ne peut lui attribuer un pouvoir spirituel sans l’intervention du sacre qui noue le lien entre le roi et Dieu

assassiné par Ravaillac en 1610. Son fils Louis XIII lui succède et le roi étant trop jeune, sa mère Marie de Médicis devient régente du royaume. Sous Louis XIII (1610-1643) c’est en fait le cardinal de Richelieu, son premier ministre, qui gouverne. Sa politique vise a établir une monarchie absolue en France : il brise les révoltes des nobles (les Grands) et rase leurs châteaux, réduit la puissance des Protestants (siège de la Rochelle, édit d’Alès leur interdisant d’avoir des places fortes)

le texte est destiné (Laurent de Médicis) comment devenir prince et surtout comment le rester et ceci à travers de nombreuses analyses d’exemples historiques et philosophiques. Ce livre se veut avant tout un moyen d’éduquer les Princes au fait de gouverner afin de demeurer au pouvoir. On peut voir dans cette œuvre un réalisme politique puisqu’il ne s’agit pas de faire de la politique quelque chose d’uniquement théorique, mais d’établir un processus applicable sensé fonctionner. Son œuvre fait donc

éléments constitutifs de l'État L'État repose sur trois éléments constitutifs : le territoire, la population et l'organisation politique. A- La population et le territoire. La population est une substance humaine qui, pour prendre vie, doit se reposer sur des personnes physiques qui forment une communauté nationale. Cette dernière se situe sur un territoire donné et est unie de telle manière que ces personnes forment une nation. Une âme naît alors de cette nation grâce à un passé, un

de l’époque a laissé penser que les sociétés à venir ne pouvaient se concevoir que sans dieux ni maîtres. C'est donc le refus de toute forme d'autorité: politique familiale mais aussi spirituel alors que jusque là les hommes ont toujours étaient gouvernés,et dominés. Dans l’Antiquité, l’esclave était dominé par le maître lui-même assujetti aux dieux. Par la suite, il y eut la relation des serfs et des châtelains. Et de nos jours, ce sont les plus riches qui dominent les plus pauvres, même si cela