Qui A Peur De La Liberté

vérité), à l’occasion du onzième anniversaire de la Constitution (5 décembre 1974). Sachant que ce journal est le seul autorisé à l’époque, on s’attend donc à une éloge du système et de la constitution stalinienne.D’après ce texte, on remarque que la supériorité du système communiste repose sur plusieurs grands fondements. Ce système permettrait en outre de garantir la liberté démocratique aux citoyens, ce qui représente alors un fait inédit pour l’époque, puisque c’est la première constitution a prétendre

« La peur ne peut se passer de l’espoir, et l’espoir de la peur ». Certaines personnes ont peur. Elles ont peur qu’un jour l’être humain soit une machine. Elles ont peut être peur d’être immortelles. Mais elles ont forcément au fond d’elles un espoir qu’un jour, elles pourront sortir de leur corps, être la personne qu’elles ont toujours rêvé d’être, ou simplement eux, plus jeunes, sains, ou juste heureux. Inversement, l’Homme qui espère plus que tout y arriver, aura toujours une appréhension à propos

serait donc bonne pour l’homme, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Avec les avancées scientifiques nos techniques s’amplifient et deviennent de plus en plus importantes et nombreuses, il ne s’agit plus d’une simple recette, les techniques prennent de l’ampleur et vont même jusqu’à prendre le pouvoir sur la nature. Elles peuvent être dangereuses pour l’homme, exemple avec l’utilisation de la bombe atomique, celle-ci a commis de grands dégâts et provoqué de nombreux morts. Les techniques

COMMENTAIRE Le Clézio est un auteur atypique dans les lettres françaises d’aujourd’hui qui a obtenu le prix Nobel de littérature en 2008. Désert est un roman de 1980 qui raconte comment Lalla, née dans le désert, a vécu une enfance heureuse dans le bidonville  d’une grande cité marocaine, puis comment elle a été obligée de fuir et d’émigrer à Marseille où elle découvre la misère et la faim. L’extrait à commenter rapporte comment la jeune fille est perdue dans la grande ville portuaire du Sud de

QLiberté ue la liberté puisse craindre police intérieure, qu’on se reporte de la liberté, qu’elle puisse à la relation de voyage que publia en être menacée, qu’elle Astolphe de Custine en 1843 sous le L’analyse du sujet I. Les termes du sujet ␣␣Prise de conscience : – aspect subjectif : effort de lucidité, de critique. – aspect objectif : accession à une vérité, à une connaissance. ␣␣Libératrice : – sens politique : gain de droits, d’autonomie. – sens psychologique : gain de choix, de possibilités

par rapport à son objet. L’amalgame est souvent fait entre être obligé et être forcé, pourtant l’obligation induit la liberté et si l’on ne déroge pas à ses obligations, c’est bien par conscience du devoir. Une obligation morale relève, en droit positif, de la conscience individuelle et de ce fait ne peut être jugée devant un tribunal. On peut donc tronquer le terme d’obligation morale avec celui de devoir. La difficulté de faire son devoir vient du paradoxe de la loi morale : Chacun a son propre

Introduction a l'histoire. Rapport des paysans avec la terre : Propriété/exploitation, les paysans travaillent la quasi totalité des terres, dans l'ancien regime ils n'en possede qu'une moitié. Le statut de la terre peut distnguer 3 types de terres : terre ou paysan sont propiretaire, celle qu'ils louent et les terres collectives (jouissnce collective) Propriété et location est sujet important car rapport des paysans a la terre determinant la hierarchie du monde paysan, la propriété c'et lexploitation

bonheur est difficile à définir et à ressentir. Difficile à définir : Parce qu’il y a beaucoup de critères qui définissent le bonheur Parce qu’il est subjectif, c’est un sentiment. ← Schopenhawer (p 213 du livre) Le bonheur est un sentiment neutre qui est donc difficile à ressentir, puisqu’on ressent plus facilement les souffrances que le calme propre au bonheur. Pour lui, le bonheur ce n’est qu’une succession de plaisir. Paragraphe 4-6-9 dans la lettre à Ménécée. (Epicure) Paragraphe

et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. Au fond, ce qu’on sent aujourd’hui, à la vue du travail – on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir – , qu’un tel travail constitue la meilleure des polices, qu’il tient chacun en bride et s’entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance. Car il consume une extraordinaire quantité de force nerveuse et la soustrait à la réflexion, à la méditation, à la rêverie

le monde animal nous paraît beaucoup plus libre que le monde des Hommes car il y a une absence de contrainte sociale. L'animal fait ce qui lui plait, c'est à dire il suit ses instincts, il n'a pas de barrière morale, il a une liberté physique lié à son indépendance (déf. : ne dépendre de personne pour vivre). Tout cela est lié à son absence de conscience. Mais à y regarder de plus près, on s'aperçoit que la liberté de l'animal est illusoire. L'animal est totalement esclave de ses instincts, il est