Queue de détente

(métaphore cynégétique) fait l’objet d’une description : « comme un négociant qui vient de conclure une excellente affaire, ou un peu comme un garçon content de lui-même au sortir d’un boudoir » (p. 53), il est un « viel Alcibiade » qui aurait « coupé la queue à son patelot » (p.54). On relève l’aspect incongru des images, métaphores, comparaisons au fil de la lecture : « Les amis véritables jouissent, dans l’ordre moral, de la perfection dont est doué l’odorat des chiens. » Mettre en parallèle les notions

importante, car l’attente dans ces coffee shop est faible grâce au processus mis en place : à la caisse au moment de commander et régler la commande est envoyée aux autres employés qui vous font sur mesure votre café et le temps que vous avanciez dans la queue votre gobelet vous attend au bout avec votre prénom écrit dessus. D. Ressources humaines Le profil des personnes employées est celui de la diversité de culture. Savoir parler la langue du pays où se trouve le coffee shop où l’on travaille est

............ 504 CHAPITRE LXXXIII Jonas du point de vue historique .... 508 CHAPITRE LXXXIV Le javelot ............................................511 CHAPITRE LXXXV La fontaine.......................................... 514 CHAPITRE LXXXVI La queue ............................................520 CHAPITRE LXXXVII La grande armada ..........................526 CHAPITRE LXXXVIII Écoles et maîtres d’école ............... 540 CHAPITRE LXXXIX Poissons amarrés et poissons perdus545 CHAPITRE XC Têtes

facilité, en ville, d'avoir une vie sociale, de voir ses amis, sa famille, ou de rencontrer des gens. Ce sont encore, ce qui renvoie à la ville comme univers de consommation, les possibilités infinies de shopping, conçues cette fois-ci comme de la détente (dimension essentiellement féminine). "Si demain j’en faisais moins, je m’ennuierai, je perdrai mon temps ; c’est une forme d’équilibre ; j’ai pas d’enfants, je vis seule ; c’est important de prendre des courses de danse, de musique (…) je suis hyperactive

poudrées, moi, la petite bull et la bergère flamande… Il a neigé dans les plis de nos robes, j’ai des épaulettes blanches, un sucre impalpable fond au creux du mufle camard de Poucette, et la bergère flamande scintille toute, de son museau pointu à sa queue en massue. Nous étions sorties pour contempler la neige, la vraie neige et le vrai froid, raretés parisiennes, occasions, presque introuvables, de fin d’année… Dans mon quartier désert, nous avons couru comme trois folles, et les fortifications

du fleuve appartiennent à l'État. Et au cas où tu ne serais pas au courant, ici l'État, c'est moi. On en reparlera. Je ne suis pas près d'oublier ce que tu m'as fait, et le pardon et moi, ça fait deux. Le vieux réprima son envie d'appuyer sur la détente. Il imaginait la double décharge trouant l'énorme bedaine, arrachant une partie du dos et faisant jaillir les tripes. Le gros vit ses yeux brillants et jugea préférable de vider hâtivement les lieux pour rejoindre en courant le groupe des Américains

du fleuve appartiennent à l’État. Et au cas où tu ne serais pas au courant, ici l’État, c’est moi. On en reparlera. Je ne suis pas près d’oublier ce que tu m’as fait, et le pardon et moi, ça fait deux. Le vieux réprima son envie d’appuyer sur la détente. Il imaginait la double décharge trouant l’énorme bedaine, arrachant une partie du dos et faisant jaillir les tripes. Le gros vit ses yeux brillants et jugea préférable de vider hâtivement les lieux pour rejoindre en courant le groupe des Américains

Partie utilisée : Sommité fleurie L’Aubépine favorise la Détente Ses particularités : On reconnaît facilement l’Aubépine à ses jolies fleurs blanches au parfum agréable ainsi qu’à ses petits fruits rouges. La partie utilisée est la sommité fleurie qui comprend des fleurs et du bois. On utilise parfois uniquement la fleur, récoltée et séchée avant épanouissement, ou uniquement le fruit. Ses bienfaits : L’Aubépine contribue à la détente, à la relaxation et à favoriser un bon sommeil. Elle est

poudrées, moi, la petite bull et la bergère flamande… Il a neigé dans les plis de nos robes, j’ai des épaulettes blanches, un sucre impalpable fond au creux du mufle camard de Poucette, et la bergère flamande scintille toute, de son museau pointu à sa queue en massue. Nous étions sorties pour contempler la neige, la vraie neige et le vrai froid, raretés parisiennes, occasions, presque introuvables, de fin d’année… Dans mon quartier désert, nous avons couru comme trois folles, et les fortifications hospitalières

du fleuve appartiennent à l’État. Et au cas où tu ne serais pas au courant, ici l’État, c’est moi. On en reparlera. Je ne suis pas près d’oublier ce que tu m’as fait, et le pardon et moi, ça fait deux. Le vieux réprima son envie d’appuyer sur la détente. Il imaginait la double décharge trouant l’énorme bedaine, arrachant une partie du dos et faisant jaillir les tripes. Le gros vit ses yeux brillants et jugea préférable de vider hâtivement les lieux pour rejoindre en courant le groupe des Américains