Question Sur Corpus Rousseau Les Confessions

LE BIOGRAPHIQUE : « JE EST UN AUTRE »... Ce corpus de textes, reprenant une expression célèbre d'A. Rimbaud, a pour titre : "Je est un autre"... Peu de genres littéraires présentent autant d'ambiguïtés et de variété que le texte (auto)biographique : tous les artifices sont permis et même la mention "autobiographie" - ou un quelconque "pacte autobiographique" rédigé par le narrateur - ne permet au lecteur de faire entièrement confiance au "je" qui raconte. La littérature est bien le règne du "mentir

............................................................................................... Texte A. François René de Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, livre premier, chapitre III ......................... Texte B. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, livre premier ........................................................................... Texte C. Georges Perec, W ou le Souvenir d’enfance............................................................................................. Texte

processus d’identification Dramaturgie : a des origines religieuses ; les prêtres étaient des comédiens. Anecdote : Petit récit qui vaut pour l’intérêt piquant qu’il procure 1. De base, le mot a un sens péjoratif (récit secondaire et marginal) 2. Corpus de Ernst Kris et de Otto Kurz : construction de l’image d’un artiste dans un temps donné 3. Ne concerne pas forcément des personnes spécifiques mais aussi des anonymes, des groupes humains, des objets et des institutions Apologue : Récit bref

mère de trois enfants du clergé, Guzmán est condamné aux galères pour vol et escroquerie. Mais leur échec même fait le procès des rigidités et des abus de l'ordre établi, âprement dénoncés dans le Guzmán où le gueux, pécheur repenti, retourne sa confession en un ample réquisitoire formant contrepoint au récit de ses aventures. Face à l'essentialisme des romans de chevalerie contemporains, où l'on est ce que l'on naît, les deux récits exposent une conception dialectique de la personne où valet et maître

Sciences Humaines de Sfax Département de Philosophie Le  problème  de  la  volonté  générale  chez   Rousseau   Rousseau : éducation et politique Colloque international de philosophie organisé par l’association tunisienne de philosophie Hammamet les 18, 19 et 20 mars 2013 La volonté générale, concept clef de la philosophie politique de Rousseau, qui fait du peuple l’unique dépositaire de l’autorité souveraine et représente la condition sine qua non de la liberté des

Investissant ses capitaux, il fait du village misérable de Ferney une petite ville prospère. Généreux, d'humeur gaie, il est néanmoins chicanier et parfois féroce et mesquin avec ses adversaires comme Jean-Jacques Rousseau ou Crébillon1. Considéré par la Révolution française — avec Jean-Jacques Rousseau, son frère ennemi — comme un précurseur, il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau. A cette même période, la voie dans laquelle il habitait à Paris au moment de sa mort sera baptisé "Quai Voltaire"

L’Homme ,un loup pour l'homme Ouverture : Expliciter le titre : « L'homme un loup pour l'homme » , Une sensibilisation au discours a valeur persuasive via un questionnaire d'observation : comment chaque auteur du corpus initial , animalise-t-il les homme ? Que dénonce cette animalisation ? Support : Image physiognomoniques de Charles le brun , Extrait de l’Iliade d’Homère . L'homme est un loup pour l'homme : « Homo homini lupus » venue d'une étude de mœurs de Plaute « L'asinaire » L'homme

résoudre en un système universel. Cependant, à cette époque le terme a prit une valeur particulière. Beaucoup de philosophes condamnent la métaphysique et pensent qu’il est vain de méditer sur l’inconnaissable ; tous, en revanche, s’intéressent aux questions d’ordre politique, social, moral ou religieux dont dépend le bonheur de l’homme sur la terre. 1)La variété littéraire du XVIIIe siècle A la suite des libertins du XVIIe siècle et de critiques comme Bayle et Fontenelle, on appellera les Lumières

ère politique) – 1789 (début de la Révolution : l’action prend le pas sur la réflexion). I) L’esprit des Lumières A) La revendication du droit au libre examen 1) Qu’est-ce que les Lumières ? Dans les années 1780, sous le règne de Frédéric II, une question est mise en débat par la Société berlinoise des Lumières : « Was ist Aufklärung ? » Les réponses sont publiées dans la revue Berlinische Monatsschrift, qui est dirigée par J.E. Biester, un ami d’Emmanuel Kant (1724-1804). Parmi ces réponses figurent

le sont plus (ou plus manifstement, massivement et explicitement, que d'autres : Virgile travesti [de Scarron], disons, plus que les Confessions de Rousseau. Moins l'hypertextualité d'une œuvre est massive et déclarée, plus son analyse dépend d'un jugement constitutif, voire d'une décision interprétative du lecteur : je puis décider que les Confessions de Rousseau sont un remake actualisé de celles de saint Augustin, et que leur titre en est l'indice contractuel — après quoi les confirmations de