Quels Sont Le Role Et L Organisation Du Controle Interne D Un établissement Bancaire

170 x 240 mm - 18,8 mm Collection Finance S o u s l a d i r e c ti o n d e Élisabeth Bertin e L’audit interne, fonction clé de l’entreprise a Florence Fradin n Eustache Ebondo wa Mandzila Francis Lamarque i Éric Lamarque o Christophe Godowski t Christine Pochet Louis Vaurs François Vidaux -:HSMCLC=ZX^\U\: C Audit interne barbary-courte.com - Photo de couverture : ©Laurent Thion Julie Tixier e Alessandro Reitelli l Christian

170 x 240 mm - 18,8 mm Collection Finance S o u s l a d i r e c ti o n d e Élisabeth Bertin e L’audit interne, fonction clé de l’entreprise Christian Prat dit Hauret Alessandro Reitelli Julie Tixier Louis Vaurs François Vidaux Audit interne Noël Pons n o i Audit interne barbary-courte.com - Photo de couverture : ©Laurent Thion Christine Pochet t Francis Lamarque c Éric Lamarque e Christophe Godowski l Florence Fradin l Eustache Ebondo wa Mandzila o Patricia Coutelle-Brillet

financières qui réalisent des opérations de banque telles que définies par la loi et qui sont soumises aux dispositions législatives et règlementaires correspondantes. Les banques et établissements financiers assurent une mission essentielle dans la vie économique, en rapport avec leur pouvoir de création monétaire, leur rôle primordial dans la mobilisation de l'épargne ainsi que dans les relations financières extérieures. L'importance des engagements qu'ils portent et du risque systémique que leur défaillance

secteur bancaire et financier est assurée, en France, par le ministère chargé de l’Économie et des Finances. Le Ministre exerce l’essentiel du pouvoir règlementaire. La régulation du système bancaire est assurée par la Banque de France qui fait partie intégrante du système européen de banques centrales (SEBC), cf. dans ce Chapitre, La politique économique et monétaire, le rôle de la Banque centrale européenne. Le Gouverneur de la Banque de France assure la présidence de l’Autorité de contrôle prudentiel

PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ....................................................................... 5 2.1 Présentation générale ............................................................................................................. 5 2.2 Organisation globale de l’Entreprise...................................................................................... 7 2.3 L’histoire de la société ......................................................................................................

déjà de les avoir comme précurseurs dans cette noble tâche qu’est l’assainissement du secteur de la microfinance. ANNEXE I : REPARTITION DES POUVOIRS ENTRE LA B.C.E.A.O, LA COMMISSION BANCAIRE ET LE MINISTERE DES FINANCES | |BANQUE & ETABLISSEMENT FINANCIER | |SFD SOUS CONVENTION | | | |IMCEC

[pic] L’importance et le rôle des entreprises dans le processus de développement économique mondial ont été approuvés depuis longtemps. L’entreprise est une structure autonome et indépendante qui se fixe des objectifs à atteindre en vue d’un but lucratif. Pour y parvenir, elle

VIII INTRODUCTION………………………………………………………………….. 10 PREMIERE PARTIE : Un système bancaire soumis à des contraintes fortes ……13 Chapitre 1 : Le poids de l’environnement 14 Section 1 : L’environnement économique………………………………………… 14 A- Le rôle de l’histoire……………………………………………........... 14 B- La crise bancaire des années quatre-vingt……………………………. 15 C- Les contraintes liées à l’environnement

U T I O N S DES EXIGENCES M I N I M U M EN F O N D S P R O P R E S . . . . .5 L e r i s q u e d e c r é d i t . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5 Approche Standard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5 Approche Notations Internes . . . . . . . . . . . . . . .7 Traitement des techniques de réduction des risques . . . . . . . . . . . . . . . . . .13 Autres apports du texte de juin 2004 . . . . . . .15 L e r i s q u e d e m a r c h é . . . . . . . . . . . . . . . . .

I. Le volet répressif : Le Maroc a mis en place un dispositif qui intègre en droit interne les engagements internationaux pris en vertu des conventions bilatérales et multilatérales qu'il a ratifiées, les recommandations du GAFI et du Comité de Bâle sur le devoir de vigilance à l'égard de la clientèle ainsi que les dispositions pertinentes des résolutions du Conseil de Sécurité, basées sur le chapitre VII de la Charte des Nations-Unies qui forment l'un des piliers de l'ordonnancement juridique international