Quels Rapports La Philosophie Entretient Elle Avec La Religion

des perceptions, des valeurs et des interprétations divergentes au sein de la société. = pluralité d’idées, contradictoires, reliées à une réalité historique. = la philosophie et la science politique propose des idées politiques à des fins particulières : * science politique : quels sont les ressorts ? * philosophie politique : quels sont les mécanismes politiques ? Que dois-je penser, que dois-je faire, que puis-je espérer (E. Kant) ? Pourquoi l’histoire des idées politiques 

est le moteur comique de certaines scènes, et, surtout, ce qui apporte aux comédie de Marivaux un autre degré d'interprétation. Derrière la légèreté du sujet des pièces et la subtilité de la langue, le spectateur découvre une peinture sociale des rapports entre maîtres et valets qui, pour l'essentiel, vise à faire comprendre à chacun que sa propre situation sociale n'est pas naturelle mais culturelle. Ainsi les pièces suscitent une réflexion sur le jeu existentiel entre l'être et le paraître. Ces

malgré nous, en nous reprochant des actes ou des pensées que nous n’avons pas voulus. La communication des consciences La philosophie classique a eu tendance à considérer la conscience comme auto-suffisante, à la suite de Descartes : « Or maintenant je sais avec certitude que je suis, et en même temps, qu’il se peut que toutes ces images et généralement que tout ce qui est rapporté à la nature du corps ne soient rien que des rêves ». Aujourd’hui, on ne considère plus la conscience comme une sorte de

Montesquieu, "Lettres persanes", Lettre XCVII. Cette étude de texte rentre dans le thème de la figure du philosophe au XVIIIème siècle. / remplacer la religion par la philosophe - On peut noter la présence d'un énonciateur « Usbek » et d'un destinataire « Hassein » - Le présent d'énonciation est utilisé. Il correspond au moment de l'écriture - Il y a un lieu d'émission qui est « Paris » et un lieu de destination qui est « Dervis de la montagne de Jaron » - La présence de la date d'écriture

l’univers et dénoncent par conséquent un clergé absolutiste qui tente avec ferveur de considérer Dieu comme l’Astre central. Selon les penseurs de ce temps, l’Homme acquiert la sagesse par la raison et des vertus radicalement opposées à celles de la religion, le Carpe Diem. Ainsi, dans quelle mesure peut-on considérer que l’humanisme repense la place de l’homme dans l’univers ? L’humanisme est d’abord à l’origine d’un renouvellement de la pensée. Ce courant bénéficie ensuite formidablement aux Arts.

à travers qui nous découvriront son histoire. Nous analyserons successivement dans ce passage les éléments qui relèvent du conte puis la manière dont l'auteur les utilise pour dresser une satire de la noblesse et d'une certaine conception de la philosophie. I. Les éléments qui relèvent du conte On peut relever quelques termes et expressions qui font référence au genre du conte : ► Il y avait ► le titre : beau château, icelui (forme archaïque du pronom) ► éloignement : Westphalie ► prénom

INTRODUCTION……………………………………………………………………………4 I- LES CARACTERISTIQUES DES DEUX CULTURES………………….5 1- La culture des Diallobé…………………………………………………5 1.1- La tradition………………………………………………………….5 1.2- La religion……………………………………………………………5 1.3- Le mode de vie…………………………………………………….6 2- La culture occidentale…………………………………………………..6 2-1 Les mœurs………………………………………………………………6 2-2 La religion……………………………………………………………….7 2-3 Le mode de vie………………………………………………………..7 II- LA MANIFESTATION DU CONFLIT……………………………………….7 1- La foi musulmane et la foi chrétienne……………………………7

Les Pensées (Philosophie) Blaise Pascal (1623-1662) Dans Les Pensées, ouvre posthume publiée en 1670, Blaise Pascal réunit des notes qu'il destinait à l'élaboration d'une apologie de la religion chrétienne. Le manuscrit révèle les méthodes de travail de Pascal. Il écrit sur de grandes feuilles de papier des réflexions, des esquisses, des plans, parfois des rédactions développées, qu'il classe en découpant les grandes feuilles, dont il répartit les morceaux dans des dossiers thématiques. On

Formation continue Un thème, un texte Platon : Euthyphron Traduction utilisée : celle que propose Jean-Yves Chateau dans Philosophie et religion. Platon, Euthyphron, Paris, Vrin, 2005, p. 13-31. (référence désormais notée : J.-Y. C., op. cit., suivi du numéro de la page) Plan adopté par ce compte rendu : I) Conférence inaugurale ; II) Lecture collégiale d’Euthyphron ; III) Conférence finale ; IV) Recension de l’ouvrage de Jean-Yves Chateau précédemment cité. I) Conférence inaugurale

voir Patriotisme), pour la nature, ou encore pour un principe ou un idéal, si elle lui accorde une grande valeur et qu'elle s'y sent très attachée. De même, on peut ressentir de l’amour pour un objet matériel, un animal ou une activité, si l'on entretient des liens affectifs forts ou étroits avec ces objets (ou qu'on s'identifie à eux). Lorsque l'amour d'un objet devient exclusif, voire excessif ou pervers, on parle de fétichisme ou d'idolâtrie. L'amour entre les personnes, quant à lui, est un sentiment