Que Vient Chercher Le Public Au Theatre Pourquoi Va T On Au Theatre

Utiliser la recherche avancée Accueil › Annales corrigées › Selon vous, pourquoi le public va-t-il au théâtre ? › Selon vous, pourquoi le public va-t-il au théâtre ? Annales corrigées : dissertationFrançais1re TechnoLa dissertation littéraireLe théâtre, texte et représentationInédit2013   Dissertation > Selon vous, pourquoi le public va-t-il au théâtre ? Quelles sont ses motivations et les attentes du spectateur de théâtre ? Vous appuierez votre réponse sur les textes du corpus mais aussi sur vos

Dissertation Le théâtre Le théâtre même s'il a traversé de nombreuses époques a toujours fasciné les peuples. En effet, depuis sa création par les Grecs de l'antiquité à aujourd'hui, en passant pas le moyen-âge, le théâtre malgré quelques évolutions à gardé son objectif principal: divertir, par la représentation de situations diverses et variées. «  Nous n'allons pas au théâtre en inspecteurs, en contrôleurs. Nous allons au théâtre pour penser, une heure ou deux. » écrit le critique Michel

Selon vous que vient chercher le public au théâtre? Pourquoi va-t-on au théâtre? Depuis toujours différentes motivations poussent les Hommes à aller au théâtre. Léchy Elbernon, personnage crée par Paul Claudel (auteur du roman l’Echange), déclare que le public vient au théâtre pour « se regarder lui-même ». Victor Hugo, qui exprime sa pensée dans la préface de Ruy Blas, estime qu’il existe trois types de spectateurs qui se rendent dans ce lieu pour différentes raisons : « la foule demande

Le théâtre est apparu en Grèce pour la première fois afin de célébrer Dionysos, et avait pour but de divertir et d'enseigner. Aujourd'hui encore, nous allons au théâtre pour penser, une heure ou deux, à autre chose. Pour nous distraire, nous émouvoir. Pour Lechy Elbernon, dans L'Echange de Paul Claudel, le public vient au théâtre pour se « regarder lui-même ». Dans Ruy Blas, Victor Hugo classe les spectateurs en trois catégories : les femmes, les penseurs et la foule auxquels il donne à chacun des

moi qui demandai si nous n’irions point à Drury-Lane. C’était la première fois, depuis un an peut-être, que je manifestais un désir ; vous devinez facilement qu’il fut accompli. Je retournai dans ce palais de féeries et d’enchantements : j’allais y chercher la figure mélancolique et douce de Roméo… le front brûlant et basané du More… j’y trouvai la tête sombre et pâle d’Hamlet… Oh ! cette fois, toutes les sensations amassées depuis trois jours jaillirent à la fois de mon cœur trop plein pour les renfermer…

Sujet 1: I. Le théâtre est « le pays de l’irréel » : tout y est fait d’artifices et de conventions. - le comédien qui feint l’émotion - le langage qui est inventé par l’auteur - le décor et les objets qui sont symboliques II. Cependant, le théâtre porte à la scène les rêves du spectateur dont le « cœur humain » se cherche. Paradoxe : c’est dans un lieu où tout renvoie au déguisement que la vérité se dévoile. III. Conséquences de ce double aspect du théâtre (réel et irréel) : - la variété des

poussent les Hommes à aller au théâtre. Léchy Elbernon, personnage crée par Paul Claudel (auteur du roman l’Echange), déclare que le public vient au théâtre pour « se regarder lui-même ». Victor Hugo, estime qu’il existe trois types de spectateurs qui se rendent dans ce lieu pour différentes raisons : « la foule demande des sensations ; la femme, des émotions; le penseur, des méditations ». Pour sa part, le critique Michel Cournot écrit : « Nous n’allons pas au théâtre en inspecteurs, en contrôleurs

Phèdre PHÈDRE Tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine Représentée pour la première fois sur le théâtre de l'hôtel de Bourgogne, par la troupe royale, le vendredi 1er janvier 1677. PERSONNAGES Thésée, fils d’Égée, roi d’Athènes. Phèdre, femme de Thésée, fille de Minos et de Pasiphaé. Hippolyte, fils de Thésée, et d’Antiope, reine des Amazones. Aricie, princesse du sang royal d’Athènes. Théramène, gouverneur d’Hippolyte. Œnone, nourrice et confidente de Phèdre. Ismène, confidente d’Aricie

· On s'oppose aux règles du théâtre classique: Dont les principes ont été imposés par Aristote: 1. L’exigence de vraisemblance, il faut que le spectateur puisse s’identifier avec l’acteur. 2. Il doit respecter la bienséance (il fait éviter tout ce qui soit violent, bien se tenir, une pièce ne peut pas présenter des scènes qui transgressent cette bienséance, quelque chose d’ordonné). Il propose aussi la règle des trois unités

plaisir. En vous appuyant sur vos connaissances et sur les textes du corpus, vous direz comment, selon vous, les auteurs de théâtre et d’opéra exploitent ce « plaisir de l’invraisemblance». [idée directrice][un argument][un exemple][retour à l’idée directrice][un argument][un exemple][retour conclusif à l’idée directrice approfondie, transition vers la suivante] Au théâtre et à l’opéra, force est de reconnaître que nous goûtons d’être émerveillés par des événements extraordinaires. Ils tirent souvent