Quatre nobles vérités

armée. Marsile embrasse Ganelon et le couvre de cadeaux.   53 `57 - Ganelon apporte à Charlemagne les clés de Saragosse, un énorme butin, et la promesse du roi Marsile de se convertir au christiannisme. L'armée prend la route vers "France la douce". Quatre cent mille païens préparent l'embuscade. L'empereur fait un rêve prémonitoire.   58 à 65 - Charlemagne veut faire désigner celui qui dirigera l'arrière-garde. Ganelon propose Roland, qui ne peut refuser sans déshonneur. Charlemagne en est affligé

XXe siècle a fait une relecture drastique des Chouans qui avaient été jugés, selon André Vanoncini, à la lumière des romans à la mode de l'époque [5]Les « Chouans ont été fraîchement accueillis par la critique. Malgré quelques avis favorables sur la vérité des caractères et l'originalité des descriptions, la majorité des recenseurs reprochent à Balzac une intrigue embrouillée et un style luxuriant. Un tel jugement s'explique dans la mesure où il envisage Les Chouans comme une illustration peu convaincante

distingue notamment de la comédie par ses héros et leurs destins inextricables qui inspirent terreur et compassion et sont nobles et mythique d’ascendance. Les héros sont donc impuissants et souffrant de la fatalité qui pèse sur eux face aux dieux, d’où l’origine religieuse. On peut aussi parler de politique car elle remet en question des principes essentiels ; justice, vérité… Elle s'accompagnait de processions et de sacrifices. Les pièces se déroulaient deux fois par ans au théâtre d’Athènes

donna du pain et de la bière, lui fit présent de deux florins ». Cet argent provient de l’activité manufacturière de Jacques. L’idée de Voltaire est claire : l’argent honnêtement gagné par le travail est un argent propre qui génère des sentiments nobles, ici la générosité. Et d’autre part parce qu’il assure la survie des héros au terme de leur périple à la fin du conte. Les héros s’installent dans un « jardin », en réalité une petite terre où chacun va travailler selon ses capacités. « La petite

les jeunes gens de seize ans et les hommes de cinquante. Tous les ans étaient célébrées dans le golfe, sous les yeux d’une foule immense, des joûtes solennelles où les artisans disputaient de vigueur et d’industrie dans la manœuvre des galères. Les nobles eux-mêmes ne refusaient pas de prendre part à ces amusements qui tournaient à la sûreté et à la puissance de la république. Toutes choses étaient si bien ramenées vers cette fin, que le crime lui-même donnait quelque chose à la défense de l’État.

il se lance dans une vaste politique de réformes qui consiste à massacrer («Ceux qui seront condamnés à mort, je les passerai dans la trappe, ils tomberont dans les sous-sols du Pince-Porc et de la Chambre-à-Sous, où on les décervèlera») tous les nobles (dont les biens sont confisqués), tous les magistrats (qui ne seront plus payés mais vivront des amendes et des biens des condamnés à mort) puis tous les financiers qui refusent la fiscalité nouvelle («D'abord je veux garder pour moi la moitié des

s’appellent des barbarismes, à ne pas confondre avec la barbarie, attitude consistant à faire preuve d’une cruauté inhumaine convaincre : la conviction, être convainquant, être convaincu, je convaincs, il convainc, ils convainquent mots invariables : quatre et chaque les terminaisons bizarres : PAS de –s- : un pied dans le champ mais avec –S- : le poids du temps sur le corps Figures de style : ne plus confondre : antiphrase : dire le contraire de ce que l’on pense : antithèse : opposition de deux

vie d'un personnage infidèle, séducteur, libertin blasphémateur, être de l'inconstance et du mouvement. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séduction l'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après que le beau seigneur en a décidé. Mais l'une d'entre elles, Done Elvire, va lui donner bien du fil à retordre avec, entre

Faust de Goethe est l’œuvre de toute une vie : son auteur a mis une soixantaine d’année à l’écriture de cette tragédie. Dans la version de Goethe, le pacte avec le diable prend la forme d’un simple pari: le diable parviendra-t-il à détourner les nobles aspirations de Faust vers la bestialité des plaisirs sensuels, les satisfactions matérielles et le plaisir de détruire ? Ce conte est issu de la légende, mais Goethe lui a donné une autre forme, par une réalisation en deux tomes. L’auteur définit

monarchique absolu. Ils ont prôné plus de liberté individuelle et ont opéré une réelle révolution sociologique. Leurs idées sont basées sur la raison qui éclaire, l’expérience issue de l’observation de la nature et l’esprit critique qui rejette les vérités révélées. Les hommes des Lumières croient au progrès possible des connaissances. Pour eux, l’avancée de la science garantit la marche vers le bonheur.  La critique des Lumières s’attaque aux manifestations jugées les plus insupportables de l’absolutisme