Quatre nobles vérités

baguenaude sur le Pont-Neuf. Là font irruption les bateleurs de la foire et les fantoches de la commedia dell’arte. La légende ne craint pas l’anachronisme et fait du jeune potache le spectateur assidu de Tabarin, mort en 1626 quand Molière avait quatre ans. A seize ans, celui-ci assiste à la vogue de Tiberio Fiorelli, dit Scaramouche, dont il fut l’ami et plus ou moins l’élève. C’est alors le déclin des farceurs français et l’apogée des comédiens de l’art, venus d’Italie. immédiatement celui-ci

seconde moitié du XVIIème siècle. A cette époque les auteurs étaient soumis à de nombreuses règles, visant à respecter la bienséance du spectateur. Dans cette pièce Molière se moque d’un riche bourgeois qui désire imiter le comportement de la vie des nobles. Le second extrait est directement tiré d’une des pièces de Feydeau, On purge bébé parue en 1910. L’auteur est tout particulièrement connu pour ses nombreux vaudevilles. C’est-à-dire des pièces relativement simples voire triviales sans intentions

agnelle ou d’un lièvre blotti. Et Achille, emplissant son cœur d'une rage féroce, se rua aussi sur le fils de Priam. Et il portait son beau bouclier habilement ouvragé devant sa poitrine, et il secouait son casque étincelant aux quatre cônes et aux splendides crinières d'or ondoyantes qu’Héphaïstos avait fixées au sommet de l’aigrette. Comme Vesper, la plus belle des étoiles qui se tiennent dans le ciel, se lève au milieu des astres de la nuit, ainsi resplendissait l'éclair de la

lettres et d'esprit : Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres, Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres Vous n'avez que les trois qui forment le mot: sot ! Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries, Me servir toutes ces folles plaisanteries, Que vous n'en eussiez pas articulé le quart De la moitié du commencement d'une, car Je me les sers moi-même, avec assez de verve Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.

fois je me trouvais face à cinq nouveaux symboles... maillet et ciseau... équerre et compas... règle et levier... niveau... truelle... Et leur sens... Symbole de l’amélioration pour le premier voyage Symbole de la recherche de la Justice et de la Vérité pour le 2è Symbole de l’étude de la Nature pour le 3 Symbole de l’égalité pour le 4 è è è Et enfin Symbole de la glorification du travail pour le 5 et dernier voyage A la différence de mon initiation, les cinq voyages d’initiation du grade

Française Introduction : La Franc-maçonnerie est une alliance universelle, qui a pour but le progrès de l’humanité, la fraternité de tous les Hommes et le perfectionnement de l’être humain. Elle ne pose pas de limites à la recherche de la vérité. La Maçonnerie garantit à tous ses membres la complète liberté de pensée et de conviction. Dans la franc-maçonnerie, tout se passe derrière une porte close. D'un coté de la porte, il y a le monde de tous les jours et de l'autre coté, il y a des

citoyens de moindre droit (cives minuto juré). 15 § 3 : Les affranchis. 15 § 4 : Les esclaves. 15 Sous-section 2 : Les catégories sociales. 16 § 1 : Les patriciens. 16 § 2 : Les plébéiens. 16 § 3 : Nobles, sénateurs et chevaliers. 16 SECTION 2 : Les magistratures. 17 § 1 : Les pouvoirs des magistrats romains. 17 § 2 : La nomination des magistrats romains. 17 SECTION 3 : Les assemblées du peuple ou « comices ». 19

liberté triomphe au sein du Romantisme alors que les classiques suivent une série de normes. 2) La raison triomphe au sein du Classicisme. « Il faut instruire et plaire ». L’auteur doit plaire à son mécène et viser un public d’aristocrates et de nobles, sa liberté est donc restreinte. Le romantique, lui, écrit ce qu’il ressent et selon ses propres envies et rêves. 3) Le classicisme se concentre sur les caractéristiques de chaque homme : il s’intéresse à ce qui est universel, commun à chacun

connaissait les métaux. Ils occupèrent le pays tout entier et établirent une véritable civilisation dont l’élément essentiel semble avoir été le matriarcat. Vers le second millénaire avant Jésus-Christ, d’autres groupes hétérogènes, les Aryens ou Nobles, arrivèrent par vagues successives dans le nord-ouest. Ils vont établir une civilisation de caractère patriarcal. Progressivement attirés par les richesses de la plaine, ils descendirent de leurs montagnes et fixèrent leur centre aux alentours de

adieu plutôt que de le lui raconter elle-même. De ce secret découle un autre aspect intemporel, celui du secret politique. La reine, effrayée par la prédiction, prive Thèbes de son futur roi, faisant passer son abandon pour un décès naturel. Mais la vérité éclate toujours, comme Cocteau veut le démontrer dans sa pièce, puisque le secret de Jocaste est révélé par un messager de Corinthe. La notion de fatalité est elle aussi indépendante du temps. Alors que Jocaste et Laïus puis Œdipe veulent déjouer