Quatre mariages et un enterrement

solidement verrouillés, empêchaient les Afro-Américains d'évoluer socialement. Dans les chemins de fer, autobus, les restaurants, les théâtres, les bibliothèques, les écoles, les universités, les Noirs étaient soit exclus, soit séparés des Blancs. Les mariages interraciaux étaient interdits et les rapports sexuels entre les deux communautés étaient condamnés à divers peine pouvant aller jusqu'au lynchage. Les Afro-Américains avaient le statut de citoyens américains mais des citoyens de seconde zone. Tel

réactions de celui qui n’est pas dans la confidence. Cette complicité s’établit également avec le lecteur qui sourit alors des références inattendues ou naïves du personnage ou d’un narrateur. Le narrateur évoque monsieur Salomon, âgé de quatre-vingt-quatre ans. 3.3. La répétition La répétition d’une même situation, d’une même parole ou d’un même geste crée un effet mécanique. Cette raideur inattendue se double parfois d’un effet d’accélération, qui souligne le comique de l’action ou du dialogue

le charivari des cloches qui sonnaient le tocsin, convaincu qu’elles carillonnaient en l’honneur de l’évêque. Santiago Nasar avait revêtu un pantalon et une chemise de lin blanc non empesés, identiques à ceux qu’il arborait la veille pour le mariage. C’était sa tenue des grands jours. N’eût été l’arrivée de l’évêque, il aurait enfilé son costume kaki et les bottes de cheval avec lesquels il se rendait tous les lundis à El divino rostro, l’hacienda héritée de son père et qu’il administrait

quelque joie : moi, je lui réponds que oui ; cela va tout de suite ; et il n’y a peut-être que vous de fille au monde, pour qui ce oui-là ne soit pas vrai ; le non n’est pas naturel. Silvia. – Le non n’est pas naturel ! Quelle sotte naïveté ! Le mariage aurait donc de grands charmes pour vous ? Lisette. – Eh bien, c’est encore oui, par exemple ! Silvia. – Taisez-vous ; allez répondre vos impertinences ailleurs, et sachez que ce n’est pas à vous à juger de mon cœur par le vôtre. Lisette. – Mon

ennuierait pas de réveiller M. Alexiakis ? Nous atterrirons dans une demi-heure. Eleanor se raidit. — Quoi ? Vous voulez que... — Il faut qu'il se prépare pour assister à l'enterrement. Quelqu'un doit le réveiller. Il vaudrait mieux que ce soit vous. Un enterrement, maintenant ! songea Eleanor, abasourdie. — Nous avons pris beaucoup de retard, reprit l'hôtesse. Une fois que nous arriverons à l'aéroport, M. Alexiakis aura tout juste le temps de se rendre directement à l'église. L'employée lui adressa un petit

RITUELS 2009 Sommaire Cérémonies laïques, pourquoi faire ? 3 Cérémonies civiles républicaines Cérémonie de parrainage Parrainage républicain et civil Proposition de textes, chansons ou musiques d’accompagnement 5 7 12 Cérémonie de mariage Mariage républicain civil et laïque Proposition de textes, chansons ou musiques d’accompagnement 15 17 21 Cérémonies d’obsèques - Rituel pour cérémonie d'obsèques civiles Introduction 1 - les rites funéraires 2 - propositions de cérémonie civile

Culture générale et expression Corrigé 2 3 0187 CT PA 02 14 Thème - C  es objets qui nous envahissent : objets cultes, culte des objets Première partie - Synthèse de documents Remarque générale sur le corpus Le corpus est constitué de quatre documents, comme c'est habituellement le cas dans les sujets d'examen du BTS. Deux textes argumentatifs ouvrent le sujet, l'un tiré d'une revue, Kafkaïens n° 17 datant de 2001 et l'autre d'un article en ligne. Il s'agira donc dans l'analyse qui suivra

entendant le charivari des cloches qui sonnaient le tocsin, convaincu qu’elles carillonnaient en l’honneur de l’évêque. Santiago Nasar avait revêtu un pantalon et une chemise de lin blanc non empesés, identiques à ceux qu’il arborait la veille pour le mariage. C’était sa tenue des grands jours. N’eût été l’arrivée de l’évêque, il aurait enfilé son costume kaki et les bottes de cheval avec lesquels il se rendait tous les lundis à El divino rostro, l’hacienda héritée de son père et qu’il administrait avec

perverties ». Une nouvelle éducation lui est proposée. Ensuite, il lui imposa un tel rythme d’études qu’il ne perdait pas un moment de la journée, mais passait tout son temps à étudier les Lettres et le savoir utile. Gargantua se réveillait donc vers quatre heures du matin. Pendant qu'on l'astiquait, on lui lisait une page de la divine Ecriture, à haute et intelligible voix et avec une diction claire ; mission confiée à un jeune page natif de Basché1, nommé Anagnostes2. En fonction du thème et du sujet

ses frères Abel et Eugène, il fonde en 1819 une revue, Le Conservateur littéraire, qui attire déjà l’attention sur son talent. Son premier recueil de poèmes, Odes, paraît en 1821 : il a alors dix-neuf ans. Les quinze cents exemplaires s’écoulent en quatre mois. Le roi Louis XVIII, qui en possède un exemplaire, lui octroie une pension annuelle de mille francs[15], ce qui lui permet d’envisager d’épouser son amie d’enfance Adèle Foucher[8]. Jeune écrivain Victor Hugo jeune homme. La mort de sa mère