Quartier de la Salpêtrière

C’était un illustrateur, dessinateur, et a appris la photo en 1850. En 1852, il a réalisé ses premières photographies d’architecture chez Blancquart Evrard. Il a réalisé un inventaire des images des monuments et des vieux quartiers de Paris . Il a proposé de fabriquer une ville moderne. Il cherche à faire la promotion d’un nouveau Paris (haussmannien…) Il travaille avec les architectes et fabrique à un décor. On retrouve un urbanisme compris comme un exercice de

ouvrage « de l’assistance aux pauvres », le philosophe Juan Luis VIVES (espagnol d’origine, mais s’inspirant d’expériences dans différentes villes d’Europe) recommande de désigner dans chaque cité des magistrats qui doivent parcourir les rues et les quartiers pauvres, tenir un registre des misérables, s’informer de leur vie, de leur moralité, mettre les plus obstinés dans des maisons d’internement, créer pour tous des maisons de travail. Il démontre l’intérêt d’éduquer les enfants des « nécessiteux »

inaperçu car il fait partie intégrante de l‟image.23 Cependant, la stéréoscopie a aussi servi le champ scientifique et plus particulièrement la médecine. Albert Londe, photographe, dessinateur, médecin à la clinique neurologique de l‟hôpital de la Salpêtrière utilise la photographique stéréoscopique pour mieux rendre visible la crise d‟hystérie et les traces de son passage sur le corps humain. Avec la photographie en relief ainsi que la chronophotographie il va « poursuivre le corps vivant de tous

resurgir tout un pan du spectacle. Les motifs proposés sont les suivants : • • • • le motif de la noblesse (qui unifie l’acte I), le motif du menuet de Mme de la Haltière (I, 3), le motif de l’entrée du Roi (II, 3), le motif des vingt quartiers de Mme de la Haltière (III, 2). En classe Écouter, resituer Faire écouter aux élèves, sans information préalable, tel ou tel motif. Ils disposent pour cette écoute du synopsis des actes. Leur demander de resituer ces motifs dans l’opéra,

étaient soldats de fait, sous la dénomination de janissaires. On les incorporait dans les différentes baraques de la ville auxquelles ils appartenaient le reste de leur vie, quel que fût par la suite le changement de leur fortune. C’est dans les quartiers qu’ils s’élevaient par rang d’ancienneté au plus haut degré de paye, et devenaient membres du prétendu divan, à moins que quelque heureux hasard ne les jetât dans l’administration. Un janissaire, dans son costume complet de bataille, porte une ou

boyo*1 était devenue son petit bâton de vieillesse, en entendant cette histoire, j’éprouvais à chaque fois le même chagrin : je n’avais pas été désirée. Aujourd’hui, je me représente le spectacle peu courant que nous offrions, assis aux terrasses du Quartier latin dans le Paris morose de l’après-guerre. Mon père ancien séducteur au maintien avantageux, ma mère couverte de somptueux bijoux créoles, leurs huit enfants, mes sœurs yeux baissés, parées comme des châsses, mes frères adolescents, l’un d’eux

aux larmes de lumière, qui sera la mère de Marie-Sophie. Dans les temps modernes, Marie-So erre d’un maître à l’autre, au gré de mille et un « djobs » qui l’initient à l’implacable univers urbain. Ses amours sont sans lendemain. Devenue l’âme du quartier Texaco, elle mène la révolte contre les mulâtres de la ville, contre les békés qui veulent s’approprier les terres, contre les programmes de développement qui font le temps-béton. Patrick Chamoiseau a sans doute écrit, avec Texaco, le grand livre

Biographie Enfance et études Sigmund Freud naît le 6 mai 1856 à Freiberg en Moravie. Troisième fils de Jakob Freud, modeste négociant, il est le premier enfant de son dernier mariage[4] . Après quelques déménagements, la famille Freud s'installe dans le quartier juif de Vienne, ancien ghetto de la ville[5] . Brillant élève, premier de sa classe pendant ses sept dernières années de scolarité (collège et lycée)[6] , il hésite quant aux études qu'il doit faire entre le droit, la médecine et la philosophie.

labourent pour gagner leur vie ». Par ailleurs, Louis XIV promulguera en 1656, l’instauration de lieux d’accueil avec la création des Hôpitaux Généraux afin de surveiller et d’enfermer les pauvres. Ces lieux deviendront plus tard le Bicêtre, la Salpêtrière ou encore la Bastille. Sont créés notamment des ateliers de charité dans lesquels les pauvres sont dans l’obligation d’effectuer une tâche en vue d’une certaine rééducation. Le Code pénal désigne le vagabondage et la mendicité comme deux délits

électronique]. 3e livre. Scènes de la vie parisienne. I Une Pension bourgeoise Madame Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison Vauquer, admet également des hommes et des femmes, des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les mœurs de ce respectable établissement