Quantitative research

influence. La question de neutralité est de savoir si cette monnaie modifie ou pas le comportement des agents économiques, donc le fonctionnement de l'économie réelle. Pour certain, les monétaristes, comme Milton Friedman, la monnaie et neutre et donc quantitative, d'autres, les kéynésiens pensent que la monnaie n'est pas un « voile » et qu'elle influe sur l'économie. Leur théorie est basée sur le modèle du marché des biens et services par rapport au marché monétaire (IS/LM). Et alors que, chez les néo-classiques

nécessitant d'autres instruments de mesure. Pour appuyer leur raisonnement, les conjoncturistes proposent la mesure monétaire et la mesure par la méthode de l'écart inflationniste. La première n'est autre que l'approche monétariste. Cette théorie quantitative de la monnaie permet d'établir différents liens de causalité entre la masse monétaire et les prix. L'un de ces liens est qu'une variation de quantité de la monnaie déterminerait une variation proportionnelle des prix. De 1980 à 1992, l'offre

variables, c’est –à- dire, la production et l’emploi dans une économie. Elle n’agit que sur le niveau du prix. La théorie classique se fond sur deux piliers : - la loi de J.B.-Say de laquelle découle la théorie de l’intérêt ; - et la Théorie Quantitative de la Monnaie (TQM). I – La loi de Say j. B.-Say (1767 – 1832) résume la Théorie classique de l’emploi et du revenu dans le célèbre « toute offre crée sa propre demande ». si cette proposition est vraie, cela voudrait dire simplement que l’économie

égalemment source de croissance pour les libéraux Le rôle de la monnaie : Les libéraux n'ont pas construit de théorie monétaire à proprement parler. Ils reprennent une théorie du 16è siècle qu'on attribut a Jean Bodin qui s'appelle « Théorie quantitative de la monnaie ». Elle dit que la monnaie est neutre, ce n'est qu'un voile qui recouvre l'échange de bien, la monnaie n'est qu'un instrument d'échange. La variation de la masse monétaire n'a aucune influence sur l’activité économique à long terme

CONVERGENCE MACROECONOMIQUE AU SEIN DE LA CEDEAO FREETOWN, OCTOBRE 2009 1 TABLE DES MATIERES 1. INTRODUCTION 2. CONTEXTE THEORIQUE 2.1.Modèle et Hypothèses 2.2.Théorie Quantitative et Monétarisme 2.3. Mécanisme de Transmission des évolutions de la Masse Monétaire 3. EVOLUTION DES VARIABLES DE LA THEORIE QUANTITATIVE AU SEIN DE LA CEDEAO 3.1.Croissance de la Masse Monétaire 3.2.Inflation 3.3.Vitesse de circulation de la monnaie 3.4.Croissance du PIB Réel 4. SOURCES DE CROISSANCE DE LA

monnaie scripturale figure au passif des bilans des établissements de crédit (banques), c’est donc une dette de ces établissements de crédit. Dernier point, on dispose aujourd’hui d’une définition institutionnelle de la monnaie qui est de nature quantitative et qui consiste à définir la monnaie par des agrégats, des grandeurs macroéconomiques (globales). Ces agrégats monétaires sont des indicateurs de la quantité de monnaie en circulation dans l’économie. Ils sont établis de façon institutionnelle

hausse de mp3 va donc traduire une augmentation de la consommation et des transactions ; inversement, toute diminution de MP3 traduit une contraction de la consommation et des transactions. Théories de l’offre et de la demande de monnaie La théorie quantitative de la monnaie Fisher propose une identité qui va mettre en relation les principales variables de l’économie avec notamment la masse monétaire. Une identité sur le plan mathématique est une égalité qui est parfaitement respectée quel que soit

1970, phénomène inédit : la stagflation →Stagflation = stagnation (chômage) + inflation Avec la contre-révolution libérale (1980) => nouvelle lecture de la courbe de Phillips Friedman et les monétaristes : Base de l’analyse : 1) La théorie quantitative de la monnaie (MV=PT) M= Masse monétaire V= Vitesse de circulation de la monnaie P= Niveau des prix T= Volume des transactions V et T étant constants, lorsque M croît (relance) cela entraîne un accroissement de P (inflation) 2) Les anticipations

déficit budgétaire et du solde de la balance des paiements. Penchons nous de plus près sur l’analyse de la monnaie par les Classiques et par les Keynésiens. L’analyse des Classiques repose sur la loi des débouchés et aboutit à la théorie quantitative de la monnaie. Dans son Traité d’économie politique, l’économiste Français Jean Baptiste Say formulait en 1803 la loi des débouchés selon laquelle « l’offre crée sa propre demande », c'est-à-dire que « c’est la production qui offre des débouchés

monétaires : +/- liquides, produit d’épargne. B : les effets de l’évolution de la masse monétaire Masse monétaire et prix. quand la masse monétaire monte elle monte plus vite que les biens et service et a une tendance de monté les prix. (Théorie quantitative de la monnaie). Il existe une relation entre la quantité de monnaie en circulation et le niveau de croissance économique. Une insuffisance de monnaie empêche les agents d’augmenté leurs consommation et leur investissement.