Qcm Comptabilité Analytique

gestion, comme la comptabilité générale, la planification, la comptabilité analytique et de gestion. Cela dépend de la structure de l’entreprise, et de ses contraintes. L’enquête réalisée par l’école ICS Bégué permet de se faire une idée des modifications intervenues depuis 1998 sur les missions du contrôle de gestion (cf tableau 1). Cette école met en évidence trois types de systèmes pour classer ces missions : * Le système rétrospectif comportant surtout des missions de comptabilité générale et

interne. Solutions proposées : * Service Comptabilité : * Séparation des tâches de la détention de la caisse, carnet de chèque, effets et les imputations comptables. * Proposition d’un organigramme de tâches comptables : Comptabilité Fournisseur (enregistrement des factures fournisseurs)+ Comptabilité trésorerie (Comptabilisation des opérations de la caisse et de la banque et l’établissement du rapprochement bancaire)+ comptabilité analytique et Opérations diverses. * Service Paie :

qu'après résultat des ventes. Ainsi est-il fondamental pour le management de prévoir et déterminer au plus tôt s'il est utile et durable de vendre une offre: D'où l'intérêt des études de marché, des études de prix de revient fournies par la comptabilité analytique et d'une façon générale par l'ensemble du système d'information . - une efficience optimale : Les offres doivent être configurées de telle sorte que la marge générée couvre au moins les frais fixes (du coût de production et du coût de revient)

charges absorbées par le produit ou service ? On trouve les charges dans la comptabilité générale (comptes 6). Toutefois la méthode des coûts complets exclu de son calcul certaines charges. Ces charges sont appelées NON INCORPORABLES. Ces charges non incorporables sont toutes les charges exceptionnelles (comptes 67). A contrario la méthode des coûts complets tient compte de quelques rares charges que la comptabilité générale n’enregistre pas dans ses comptes. Ces charges sont appelées SUPPLETIVES

l’entreprise concernée. 1. Processus et condition : . Piloter son unité de gestion= mettre en place des indicateurs et prévoir les objectifs /Rendre compte= tableau de bord et reporting .Fixation des objectifs .Système d’information (comptabilité analytique, tableau de bord) performance=actions .Prise de décisions : stratégie retenue + dérivés constantes= réactions 2. Rôles et place Rôle : Fonctionnel : Prendre des décisions Opérationnel : Contrôler les actions Place : Position

missions et objectifs principaux constituant les points clés à contrôler en priorité. 38 MOYENS - Interview du chef d’entreprise etdes principaux dirigeants ; - Analyse des documents de synthèse dont le compte d’exploitation, la comptabilité analytique , le budget ... ETAPES - Déterminer de manière qualitative les points clés à contrôler en priorité ( à partir de l’interview des dirigeants). - Mesurer la sensibilité des résultats de l’entreprise aux variations de ces points clés

APS CROSS Première partie: Analyse de la comptabilité de gestion actuelle de la société CROSS. 1. Calcul du coût complet unitaire et du résultat unitaire de chacun des 4 modèles de stylos proposés. Coût direct unitaire : Il s’obtient en totalisant le coût des composants d’un stylo qui figure en annexe 6. |Nature et coût en € des éléments qui composent le |Classic |Solo |Century |Townsend | |stylo

opérations en comptabilité. Cette codification des comptes est comprise dans le champ de la normalisation comptable impérative, à l’exception de la classe 9 qui est d’application facultative. A - RÉPARTITION DES OPÉRATIONS DANS LE S CLASSES DE COMPTES Le Système comptable OHADA retient une codification décimale des comptes avec neuf classes ayant les codes 1 à 9. Les huit premières classes sont réservées à la comptabilité générale tandis que la comptabilité des engagements et la comptabilité analytique

développement. 2.3. Fonction Comptable Elle permet de voir à tout instant comment sont utilisés les capitaux : - Par la comptabilité générale qui saisit les mouvements entre l’entreprise et ses tiers (Actionnaires, associés, préteurs, fournisseurs, salariés, institutions financières, Etat) - Par la comptabilité analytique d’exploitation ou la comptabilité industrielle qui ne traite que des mouvements internes et qui s’intéressent aux couts de productions et aux prix de revient. 2

résultat d’exploitation de l’exercice 2001 versus 528 Mdh en 2000. Estimations Les données sectorielles reproduites ci-après dans la note ne comprennent pas d’informations pour l’exercice 2000 faute, pour Maroc Telecom, de disposer d’une comptabilité analytique fiable. La mise en place a été lancée au cours de l’exercice 2001 de sorte que les données s’y rapportant et les répartitions adoptées, notamment concernant les charges d’exploitation et les immobilisations, reposent pour partie sur la base