Pulpe De Betterave Pour Vache Laitiere

ce travail était l’étude de l’influence de la pulpe de betterave sur la quantité et la qualité du lait (matières grasses et protéiques) chez la vache laitière. 16 vaches furent groupées en 4 lots, recevant en complément, respectivement, 0, 3, 5 et 7 kg de pulpes de betterave/VL/ jour. A intervalle de 15 jours, et sur une période de 10 semaines, six prélèvements d’échantillons ont été effectués. En plus de l’évaluation de la production laitière, des échantillons furent analysés pour déterminer

c) Reproduction et suivi des vaches p4-7 d) Le logement des vaches p7 II. Comment éviter la rétention placentaire des vaches et assurer une bonne mise-bas a) La mise-bas chez la vache b) Les causes des mauvaises délivrances c) Les solutions adaptées d) Les solutions pour une meilleur délivrance observées en stage III. Conclusion Références bibliographiques

Introduction Les problèmes de délivrances sont toujours gênant dans la vie d'un élevage, ils le sont pour la vache qui peut souffrir de séquelles et donc par la suite se reproduire plus difficilement avec des risques d'infection donc l’éleveur subit une perte d'argent si il faut administrer un traitement antibiotique ou si il doit ré-inséminer la vache. C'est donc pour cela que l’élevage tente de minimiser et au mieux d’éviter les problèmes de délivrances. Nous verrons ici quels moyens

Liste des figures Figure 1 : L’organigramme de Nestlé…………………………………………………………4 Figure 2 : Evolution de la production laitière au Maroc entre 1980 et 2003 …………………9 Figure 3 : La filière lait au Maroc……………………………………………………………..9 Figure 4 : Evolution du prix du lait à la production en haute et basse lactation et à la

Situation de l'exploitation Caractéristiques générales L’exploitation où nous avons effectué le diagnostic se situe dans le Cambrésis plus précisément au GAEC d’Igniel. Cette ferme comporte deux sites : Estourmel : regroupe le cheptel (vaches laitières, génisses, veaux) mais aussi des pâtures pour les vaches et les génisses. Iwuy : regroupe les grandes cultures, le matériel, les pâtures pour les génisses mais aussi dans les bâtiments les vaches de tarissement. La fiche signalétique Nom :

résultat. Pour cela, les associés n’ont pas hésité à investir dans un système d’irrigation et une nouvelle salle de traite. La qualité du foncier étant très bonne, cela permet d’obtenir des rendements 98 qtx en Blé tendre d’hiver, 100 tonnes en betteraves et 43 tonnes en pommes de terre. Introduction Issu du milieu agricole et me destinant dans l’avenir au métier d’agriculteur. J’ai suivi la formation de BTS ACSE (Analyse et Conduite des Systèmes d’Exploitation). Cette formation se prépare

caractéristique permet aux ruminants de se nourrir avec des aliments contenant de la cellulose comme les fourrages, que les monogastriques ne peuvent pas assimiler. Il se met en place progressivement chez le veau et l’agneau Figure 1. Les 4 « estomacs » de la vache lorsqu’ils commencent à diversifier leur alimentation et à consommer des aliments fibreux. A la naissance, les jeunes veaux et les jeunes agneaux disposent d’un appareil digestif de ruminant mais seule leur caillette est fonctionnelle. Pendant leurs

9 Pour les bovins, les races locales ont bénéficié d’un plan de sauvegarde dans leur aire géographique. Les importations massives de races laitières ont complètement transformé la structure génétique du cheptel bovin par la régression des races locales de 90% en 1975 à 47% en 2003. Ces races ont fait l’objet de croisement avec les races laitières à grande échelle. Pour les races chevalines, une gestion rigoureuse des races est assurée grâce à un soutien continu de l’Etat (primes à l’occasion

allier à la fois la rentabilité, la protection de la santé humaine et de la santé des animaux, ainsi que le respect du bien-être animal et de l’environnement. Pour répondre à ces attentes et accéder aux marchés, tous les intervenants de la filière laitière, de l’éleveur jusqu’au consommateur, ont leur responsabilité. Premier maillon de la chaîne, les éleveurs et les producteurs laitiers doivent pouvoir retirer de leur produit une valeur ajoutée, tout en ayant des méthodes de production qui satisfont

dans la filière laitière caméline. Cette rencontre a permis de faire le point sur l'évolution de l'état des connaissances sur le produit « lait de chamelle » et sur les systèmes de production caméline. Elle a également montré l"importance des productions camélines dans la sécurisation alimentaire des populations dans les pays arides et la nécessité d'accompagner le développement des systèmes camélins vers l'intégration dans des logiques marchandes en matière de production laitière. Durant cet atelier