Puissance Paternelle Rome

doit se plier à des rites Par exemple : un propriétaire qui veut reprendre son esclave à un voleur doit faire convoquer le voleur et faire venir l’esclave devant le préteur. Le demandeur va placer sur la tête de l’esclave un bâton (symbole de puissance) et déclarer ceci : « Je dis que cet homme m’appartient en vertu du droit quiritaire » (le droit des citoyens romains) : ainsi il y a un nombre limité de formules quasi sacrées solennelle. Par exemple, il y aura une formule pour une dette : qui

archaïque. §1. La Gens. §2. Les Agnats. §3. La domus ou familia. Section 2. Les transformations de la famille romaine. § 1. Déclin de la domus. §2. Reconnaissance de la parenté cognatique. 1er CHAPITRE. LE MARIAGE. Section 1. De la Rome primitive à la période classique. §1. La formation du mariage romain. A. Les fiançailles – sponsalia. B. Le consensualisme romain. 1. 2. 3. 4. Les auteurs du consentement. La nature des consentements. Les cérémonies. La conventio in manum. C

43 av. J.C. Son nom latin est Publius Ovidius Naso. Son surnom Naso lui vient de son nez proéminent. Son père l'envoie à Rome pour qu'il y fasse des études de droit, mais il consacra l'essentiel de son temps et de son talent à la poésie. Ayant hérité du bien paternel, Ovide partit finir ses études à Athènes, puis il voyagea en Grèce et en Sicile avant de s'installer à Rome où ses poèmes furent très connus et appréciés. Le roi Auguste l'envoya en exil en Roumanie, ça serait à cause de l’immoralité

 (au  même  endroit)   Plutarque   page   pages   suivant   Suivants   II.  BIBLIOGRAPHIE           DECLAREUIL  J.,  Rome  et  l’organisation  du  droit,  Paris  :  La  renaissance  du  livre,  1924       DUCOS  Michèle,  Rome  et  le  droit,  Paris  :  Librairie  Générale  Française,  1996       DUNAND   Jean-­‐Philippe   et   PICHONNAZ   Pascal

Le Citoyen à Rome A la différence du droit grec, on ne trouve dans le droit romain aucune définition formelle de la citoyenneté et du citoyen. La citoyenneté romaine a vu le jour dans le cadre de la cité (Rome et ses faubourgs) elle aussi.2 droit (politique et juridique ou civil).Rome Cité ouverte. Les modes d'acquisition de la citoyenneté: la naissance: un parent romain unis par un mariage légitime, le marige peut se faire avec des etranger (peuple ayant conclu un traité avec rome). Affranchissement

pour gouverner, les Flamands exigent la régence de Maximilien d’Autricheiv, grand-père paternel de Charles. En 1516, Ferdinand d’Aragonv (grand-père maternel de Charles) décède et lui lègue ainsi son territoire gigantesque : Castille, colonies d'Amérique, Aragon, Navarre, Sardaigne, Sicile et Naples. Charles monte sur le trône d’Espagne et se nomme à présent Charles 1er. À la mort de son grand-père paternel (Maximilien d’Autriche, souverain de l’empire), Charles 1er devient archiduc d'Autriche

consentement mutuel. Il faut un motif légitime, par ex rentrer dans un couvent, ou si le motif est l’impuissance de l’un des époux. Quant à la répudiation, il reprend le cas de Constantin et en rajoute des nouveaux. Chapitre 2 : La filiation et la puissance paternelle. Les romains ont beaucoup insisté sur le caractère juridique de la filiation. Ce lien juridique ca soumettre l’enfant au pouvoir du père. Section 1 : L’établissement de la filiation. Sur le plan juridique, les romains vont reconnaître

natale, même s’il faisait –dit-on- l’admiration de ses condisciples et causait la jalousie de quelques pères de famille. Il lui fallait poursuivre son instruction. En 90 ACN, Marcus Tullius, père de Cicéron, qui a noué quelques relations, le conduit à Rome afin que son enfant prodigue puisse étudier le droit ; il a notamment pour professeurs les plus célèbres jurisconsultes de l’époque, les Scævola. Ces études de droit s’accompagnent d’une solide formation philosophique, auprès de l’académicien Philon

modalités de cette loi, quand ils auront quitté cet honneur, qu'ils soient citoyens romains ainsi que leurs parents, leurs femmes et leurs enfants nés d'un mariage légitime et demeurés sous la puissance paternelle, ainsi que leurs petits-enfants des deux sexes nés d'un fils et demeurés sous la puissance paternelle, à condition qu'il n'y ait pas plus de citoyens romains que de magistrats qu'on doit nommer d'après cette loi. » Dans la traduction de François. Jacques, Les cités de l’occident romain, Paris

INTRODUCTION 1) Rome antique 2ème siècle av J.C Perpétuation du culte des ancêtres. Adopté prend le nom de l’adoptant suivit d’un diminutif « anus ». ex : filius caesar actiavianus. Adoption purement dite : mancipation : triple vente fictive et solennelle. Père vend le fils à celui sous la puissance duquel il veut le faire passer. Affranchissement du fils pour le faire passer sous la puissance paternelle. Vente et deuxième affranchissement pour revenir sous cette même puissance puis 3ème vente