Puissance de feu

Voir texte dans la fiche document lve. En juxtaposant ainsi les termes dsignant des armes et leur usage, lauteur insiste sur la puissance de feu dmultiplie des armes de la Premire Guerre mondiale, fruit du progrs technologique et de la production de masse permise par lindustrialisation permettant lusage dune quantit immense de munitions, dcrite par les expressions feu roulant ou rideau de fer. Il dcrit une guerre moderne et industrielle. Lauteur insiste sur la gravit des blessures causes par larmement

diffèrent selon la puissance de la chaufferie lorsqu’elle est inférieure à 2 MW ou comprise entre 2 et 20 MW. A travers cette législation, l’Arrêté du 10-08-1998 modifiant l’arrêté du 25.07.1997 est traité en exemple. Il est applicable aux installations classées dont la puissance thermique maxi est supérieure à 2MW et inférieure à 20MW pour la protection de l’environnement soumise à déclaration. Il concerne : les règles d’implantation, le comportement au feu et aux explosions

culture et de l’esprit : la conscience, le langage, mais aussi, la liberté. Elle n’est pas naturelle mais construite (cf.Rousseau), du fait même qu’elle n’est pas naturelle avant tout, mais culturelle. On acquiert l’humanité, on naît humain en puissance mais on l’a en acte en allant contre la nature. C’est bien ce que présuppose d’ailleurs l’expression, centrale dans le sujet, de " réaliser son humanité ". On pouvait bien sûr parler du bonheur, mais à condition de se placer dans une perspective

montrez en quoi elle est Baroque : *Le Bernin : Apollon et Daphné. (page 50) *Puget : Milon de Crotone. *Pereda y Sagaldo : Le rêve du chevalier. (page 47) *Une vanité de votre chois. *Un tableau d’Arcimboldo. Le feu d’Arcimboldo.  Giuseppe Arcimboldo est né à Milan, Italie en 1527 et meurt a Milan en 1593.C’est un peintre maniériste, célèbre comme auteur de nombreux portraits suggérés par des végétaux, des animaux ou des objets astucieusement disposés

; on dit que dans le temps passés ils prenaient forme de voyageurs et venaient frapper aux portes; sans doute ils trouvaient un peu de bonheur à éprouver la faim, la soif et les passions de l'amour. Seulement, dès qu’ils pensaient un peu à leur puissance , ils se disaient que tout cela n'était qu'un jeu, et qu'ils pouvaient tuer leur désir s'ils le voulaient, en supprimant le temps et l'espace. Tout compte fait ils s'ennuyaient. Le bonheur suppose sans doute toujours quelques inquiétudes , quelque

[Plan du texte] De « Comment s’étaient-ils rencontrés » à « était écrit là-haut », le narrateur noue un dialogue avec son lecteur, exhibant sa toute puissance de romancier traitant avec ironie les attentes romanesques à l’orée du

Christ, le témoin fidèle, le premier né d'entre les morts et le souverain des rois de la terre. A celui qui nous aime, nous a délivré de nos péchés au prix de son sang, (6) et a fait de nous un royaume de prêtres pour Dieu son Père, gloire et puissance pour les siècles des siècles ! Amen. (7) Le voici venir avec les nuées; tout oeil le verra, même ceux qui l'ont percé, et toutes les tribus de la terre se lamenteront à son propos. Oui. Amen. (8) C'est moi l'Alpha et l'Oméga, dit le Seigneur

1917) Conclusion: une paix manquée (1918-1919) 1. Le règlement du conflit 2. Le Traité de Versailles 3. Mais des certitudes tenaces L’engrenage vers la guerre À partir de la seconde moitié du XIXè siècle, les grandes puissances européennes étendent leur domination sur l’ensemble du monde. L’Europe monopolise alors les hommes, les richesses et les techniques. Sûre de la supériorité de sa culture, elle se lance avec bonne conscience dans les conquêtes coloniales, persuadée

Thème : Pouvoir et Société Les armes à feu aux Etats-Unis En quoi l'objectif sécuritaire qui consiste à posséder librement des armes à feux pour les américains, se retourne-t-il contre eux ? Sommaire Introduction I- Des armes à feu: un danger pour les américains (p.5) A) Les conséquences de la vente libres d'armes à feu (p.5) 1-Les homicides (p.5) a) Aux États-unis (p.5) b) En France (p.7) 2- L'insécurité une accentuation de la peur chez les citoyens américains (p.9)

rapportent que les Espagnols sont assoiffés d’or. Le Prince dit aussi être impressionné par la puissance des Espagnols, du fait qu’ils ont dompté des « cerfs » inconnus à eux qui sont en fait des chevaux, et qu’ils ont des armes, tuyau d’un métal inconnu, qui jettent un feu. Pour les indiens, le feu qui provient de ces armes est un « secret surnaturel ». Cortez en a profité pour valoriser sa puissance en ironisant que non, leurs armes ne sont pas surnaturelles mais bien le fruit de l’industrie, chose