Psychose 2

Toxicomanie : La première campagne de sensibilisation sur les effets de la consommation de cannabis devait être présentée, mercredi 2 février, par le ministre de la santé, Philippe Douste-Blazy. En France, à 17 ans, un jeune sur 2 à déjà consommé du cannabis, et, à 18 ans, un garçon sur 5 est en usage régulier. Le ministre de la santé a voulu une campagne « scientifique », axée sur la dimension sanitaire, constituée essentiellement de spot diffusés à la télévision et à la radio. Le ministre

longs termes A long terme, on observe une dépendance psychique, un risque de cancer (20 fois plus que le tabac), une baisse des capacités respiratoire, endommagement des capacités cérébrales, des pertes de mémoires et de motivation, un risque de psychose (40% de plus) , il s’agit d’une maladie mentale caractérisée par le délire et la perte de contact avec le réel. La consommation de cannabis peut causer à long terme un isolement social, et des troubles urinaires. c) Les effets thérapeutiques

Les troubles bipolaires en quelques lignes Le trouble bipolaire, autrefois appelé psychose maniaco-dépressive, est une maladie au long cours qui entraîne des dérèglements de l’humeur. Elle peut prendre diverses formes. Dans sa forme la plus typique, elle comporte des périodes d’exaltation de l’humeur ( épisode maniaque ∗) et de fléchissement de l’humeur ( épisode dépressif* ). Lors des épisodes maniaques, la personne peut être hyperactive, euphorique, irritable, faire de multiples projets, perdre

aller à la rencontre des personnes). Pathologie : rupture de son comportement habituel. – Insomnie d'endormissement. APRAXIMATISME : patient incapable de faire certaine choses, d'exécuter quelque chose de simple. = inhibition psychomotrice (psychose, déprime). – N'aime pas la foule (= symptôme) → phobie sociale ? → Agoraphobie ? Introduction de notion de phobie = notion d'objet. Différencier peur, phobie et angoisse. Angoisse flottante = sans objet présent. Phobie :

impossibles à atteindre. Y-a-t-il différents types d’hypocondrie ? Oui, il y en a trois : L’hypocondrie névrotique, l’hypocondrie démentielle et l’hypocondrie psychotique. (aussi connues sous les noms de névrose hypocondriaque, démence hypocondriaque, et psychose hypocondriaque). La première forme se caractérise par une connaissance de l’existence de la maladie par la victime. Elle est affaiblie physiquement et mentalement, et ressent des crises d’angoisses pouvant être violentes et fréquentes, elle souhaite

signifie que le patient est hospitalisé avec son consentement et, est en demande de soins. Son admission a lieu dans les mêmes conditions qu’une admission en hospitalisation générale. Ce service dispose de 30 lits destinés aux patients atteints de psychose (schizophrénie), de névrose (névrose phobique, névrose obsessionnelle), de dépendance addictive (alcool et toxiques), de troubles de l’humeur (trouble bi-polaire, syndrome dépressif), ou de troubles de la personnalité (sociopathe, état limite).

faux, le réel et l’irréel, le souvenir et la réalité. Ce schisme de la personne et de la société fait penser à la folie clinique appelée « schizophrénie » et a d’abord signifié une disjonction des éléments de la personnalité. D’où résulte une psychose caractérisée par des contradictions affectives et un dédoublement de la personnalité, i.e une ambivalence des pensées et des sentiments induisant une conduite paradoxale et une perte de tout contact avec la réalité. Cette image du schisme est

Sémiologie Anamnèse  Jeune homme de 18 ans, bachelier mention très bien, sœur de 16 ans, vis chez ses parents. Motif de l’hospitalisation : hospitalisation à la demande de sa mère suite à l’agression de sa sœur. Enfance : se replie sur lui-même, tendance à rêver, solitaire. Délaissé par son père qui le trouve « capricieux » Il y a eu une liaison sentimentale avec une femme pendant deux ans puis rupture Evolution et facteurs déclenchant : facteur déclenchant attribué selon sa mère à la

ayant son lot de souffrance, on pourrait presque dire que nous sommes tous névrosés quelque part ! Cela dit certains vivent très bien avec leur névrose sans jamais en souffrir, là où d'autres vont y laisser leur santé. Toutefois, contrairement à la psychose qui entraîne une déstructuration de la personnalité, le malade est conscient du caractère pathologique ou invalidant de ses symptômes, mais il lui est impossible de s'en débarrasser seul. D'où l'importance d'une assistance médicale dont la nécessité

de contact avec un patient pour élaborer un recueil de données en psychiatrie Introduction : Je suis actuellement en stage dans un pavillon fermé d’un établissement de santé mentale pouvant accueillir des patients atteints principalement de psychose-maniaco-dépressive, de schizophrénie, ou de démence. Durant ce stage, il m’a était attribué deux patients à prendre en charge, sur la demande de ma tutrice, j’ai dû établir pour chacun d’entre eux des recherches sur leur histoire de vie et de la