Pseudomonas

déclive du système de drainage (reflux) Le sexe féminin (urètre court) Certaines pathologies sous-jacentes CEPI - 2011 LES GERMES LES PLUS COURANTS RESPONSABLES DES INFECTIONS URINAIRES ENP 2006 Escherichia coli 46 % Enterococcus spp. 10% Pseudomonas aeruginosa 8% CEPI - 2011 7 LES ZONES A RISQUE DE CONTAMINATION CEPI - 2011 IU: Prévention (1) Limiter les indications et la durée du sondage, réévaluer l’indication au quotidien. CEPI - 2011 8 IU: Prévention (2)

   -­‐  neurotoxique  :  =>  n’est  plus  u.lisée  aujourd’hui   -­‐   Fosfomycine  (  =  fosfonomycine,  phosphomycine):   -­‐   produite  par  des  bactéries  du  genre  Streptomyces  et  par  Pseudomonas  syringae   -­‐   analogue  structural  du  phosphoénolpyruvate      =>  bloque  la  forma.on  de  l’acide  N-­‐acétyl-­‐muramique   -­‐   faible  PM  (138  Da)  =>  bonne  diffusion  .ssulaire  

glycocalyx (ou slime) : Le glycocalyx est un feutrage de fibre s polysaccharidiques présent à la surfce de certaines bactéries la leur milieu naturel Chez certaines espèces bactériennes des quantités importantes de glycocalyx sont synthétisées (cas de Pseudomonas aeruginosa ou de Streptococcus mutans) et engluent les cellules bactériennes. Le glycocalyx est alors appelé « slime » La production de glycocalyx favorise l’adhésion de la bactérie, par exemple aux matériaux étrangers (prothèse..). Celui qui est

du suivie 72 heures 72 heures Microorganismes recherchés Microorganismes revivifialbes à 20°C Microorganismes revivifiables à 37°c Coliformes Coliformes thermotolérants Staphylococcus aureus Anaérobies sulfitsreducteurs Streptocoques fécaux Pseudomonas aeruginosa Salmonelle Température d’incubation 20°c 37°C 37°C 44°C 37°C 37°C 37°C 37°C 37°C Durée d’incubation 72 heures 24 heures 24 heures 24 HEURES 48 heures 48 heures 48 heures 48 heures 24 heures pour chaque étape de suivie Page 12

nitrification peut être bloquée au stade de la nitrosation. - hétérotrophe Ici, les sources de carbone et d’énergie sont l’azote organique. Cette nitrification se réalise en milieu anaérobie, à faible pH, grâce à des bactéries, telle que Pseudomona ou des champignons, tels que Penicillium, Aspergillus… Par ailleurs le rendement étant moins important, la nitrification hétérotrophe a été peu étudiée jusqu’à présent. Cependant comme elle supporte des pH plus acide, elle est fréquemment rencontrée

Enterobacteriaceae - d'antibiotiques: gélose au sang + ANC (acide nalidixique, colistine) pour les Strep tococcus. - d'antiseptiques : gélose au cétrimide pour Pseudomonas Rmq : 1- On peut également augmenter la sélectivité des milieux en choisissant des conditions de culture particulières. Ex : la gélose au cétrimide placée à 42°C est plus sélective pour Pseudomonas aeruginosa. 2- On parle de milieu "électif" lorsqu'il ne contient pas d'agent inhibant mais qu'il favorise la croissance d'un type de germes. Le principal

Alvarez et al. 1995; Haigler et al. 1994, 1999). Enzymes catalyzing these reactions under aerobic conditions have been reported to be present among several nitrobenzene-, dinitrotoluene-, picric acid-, aniline-, and triazine-metabolizing strains of Pseudomonas (Fiorella and Spain 1997; Duque et al. 1993), Mycobacterium and Rhodococcus (Vorbeck et al. 1998), and Stenotrophomonas (Oh and Kim 1998); and under anaerobic conditions among strains of clostridia (Khan et al.1997), Desulfovibrio (Boopathy et al

Podoviridae phages a un prix, qui se manifeste comme une remise en forme coût (définie comme un taux de croissance réduit) et la sensibilité à d'autres phages qui ne sont pas utilisés dans la première défi 18. Des expériences de co-évolution entre Pseudomonas fluorescens SBW65 phage et φ2 (Podoviridae) a conduit à la sélection de bactéries résistantes et les phages mutés. L'analyse génétique de l'évolution phages ont révélé qu'ils avaient acquis des mutations dans les gènes liés à accueillir la reconnaissance

bactéries, de champignons existe sur les feuilles des arbres, les écorces et les racines et ils diffèrent selon le climat. Certaines de ces bactéries qui le forment deviennent dans certaines circonstances  pathogènes, c'est le cas par exemple des Pseudomonas syringae dont certaines souches provoquent une maladie mortelle chez le marronnier. Les biofilm bactériens et fongiques se développent et préparent la bonne décomposition des feuilles bien avant qu'elles ne tombent principalement en automne.

exposées aux allergies de contact. L’origine est essentiellement iatrogène chez le chien et le chat. Aussi bien chez l’homme que chez l’animal, le principe actif le plus souvent mis en cause est la néomycine. Sa bonne activité, y compris contre Pseudomonas aeruginosa, la faible absorption transcutanée et le prix modique en font un antibiotique topique de choix. Des réactions croisées avec d’autres aminosides sont parfois décelées chez l’homme. Il est à noter, que pour Griffin, le propylène glycol