Préférer Le Personnage Odieux

Hippolyte d’Euripide, Phèdre de Racine et L’amour de Phèdre de Sarah Kane : trois œuvres, trois auteurs, trois époques et pourtant une seule tragédie où les personnages principaux, Hippolyte et Phèdre, ont pour unique destinée, la mort. Les origines de la tragédie remontent à l'Antiquité, mais c’est au XVIIe siècle, en pleine période du classicisme, que le genre connaît son apogée. Le héros tragique, souvent issu des légendes, de l'histoire ou de la mythologie hellénique, s'exprime avec noblesse

peut s’élever en mariant ses enfants à de familles illustres, nobles : 27 « Chrysippe ». Le créateur d’impôts : 28 « Ergaste ».Le monde comme un théâtre, comme une tragédie et les hommes comme personnages : 31 avec le plaisir pour le peuple de voir « périr sur le théâtre du monde les personnages les plus odieux ».L’acquisition de richesses, de fortune et la sottise, le hasard (donc l’absence de mérite) ne sont pas incompatibles : 38.La passion, l’ambition sont d’apparentes vertus : 50.Le riche (matériellement)

l’autobiographie réside dans le caractère fictif du narrateur. En effet Amélie Nothomb est née au Japon, d’origine belge et a passé un an chez Yumimoto en tant qu’interprète, néanmoins tous ces traits qui concernent l’auteur sont exprimés implicitement, le personnage principal ne porte d’ailleurs pas exactement le même nom : Amélie-San. Les aventures qui se déroulent dans le livre ont un aspect de vécu, elle parle de la soumission hiérarchique et du sens de l’honneur des Japonais qu’elle a découvert dans cette

de mort entre Max et Martin Il se servira de ce prétexte (une exposition à Berlin) pour se venger de la mort de sa sœur Différentes « familles » des personnages La famille Eisenstein Max et Griselle La famille Schulse Martin et Elsa, Heinrich, Petit Karl, Wolfgang, Adolf La famille d'Elsa Sa grand-mère, ses frères Les personnages politiques Hindenburg, Hitler Les notables locaux Le maire, le baron von Freische Les clients de la galerie Mrs Levine, Mrs Fleshman, Les liens, les émissaires

souffrance, les personnages sont infidèles et autrui conduit l’amour à l’échec. Tout d’abord, dans les deux œuvres, les auteurs présentent l’amour comme une source de souffrance chez les personnages. C’est d’ailleurs à travers cela qu’ils exposent une image négative de l’amour, car la souffrance semble l’emporter sur le bonheur des amoureux. Ainsi, dans la pièce Huis Clos, la femme de Garcin souffre psychologiquement des agissements de son mari. Malgré le fait qu’elle l’admire, il est odieux à son endroit

« Electre » Jean Giraudoux Étude du personnage de Clytemnestre. J’ai choisis le personnage de Clytemnestre, car c’est un personnage sans qui l’histoire d’Électre n’aurait sans doute pas lieux, en effet toute la pièce tourne autour du meurtre d’Agamemnon roi des Rois et mari de Clytemnestre. Qui se cache derrière cette veuve, mère et maitresse qu’est Clytemnestre. Elle est la veuve d'Agamemnon, mère d'Electre et Oreste. Elle est la maîtresse d'Egisthe. En conflit avec sa fille, elle cultive

la première fois dans une mise en scène, des décors et des costumes d'André Barsacq au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944, en pleine Occupation allemande. Le personnage d’Antigone est l'allégorie de la Résistance s'opposant aux lois édictées par Créon / Pétain et qu'elle juge iniques. Elle refuse la facilité et préfère se rebeller, ne voulant pas céder à une prétendue fatalité... Créon pour sa part, revendique de faire un « sale boulot » parce que c'est son rôle et qu'il faut bien que

Ils occupent souvent la journée entière et beaucoup commencent au petit matin, mais peuvent avoir aussi pour cadre la dédicace d'un temple, un triomphe (retour triomphal à la suite d'une grande victoire militaire) ou les funérailles d'un grand personnage. A Rome comme à Athènes, le théâtre a un caractère religieux. Les représentations font partie du culte rendu à Bacchus, dieu de l'ivresse et de l'inspiration artistique, ainsi qu'à d'autres divinités qui lui sont associées. 2. Le prix Pour

intrigue, certes peu vraisemblable, mais unique et serrée, l'action ne cessant, par un effet de gradation, sans excès de diversions, de se tendre du commencement au dénouement qui est frappant. Victor Hugo a indiqué lui-même qu'il avait, cette fois, préféré «un effet de gradation plutôt que d'étonnement». L'action est mélodramatique, car, tout au long, pèse une menace obsédante, la vengeance machiavélique de Don Salluste qui poursuit la reine d'une haine implacable et ne considère Ruy Blas que comme

meurtre de masse, une réalité ? Il semblerait. Pour le pouvoir, la gloire ou encore l'argent. Est-ce des causes qui méritent le meurtres de dizaines, centaines, milliers de personnes ? Notre hôte était un anti-héros. Un égoïste, un lâche. Qui aurait préféré s'enfuir plutôt que d'arrêter ce massacre. Dans ce genre de cas, qui est coupable ? Ceux qui tuent ou ceux qui s'enfuient, laissant leurs camarades au combat ? La guerre est un meurtre de masse. On tue des milliers de personnes pour le pouvoir. « De