Préface Une Comédie à Propos D Une Tragédie

ont étudié Pagnol ou Marivaux – tout dépend du niveau de la classe.) J’ai ensuite proposé à la classe de lire une présentation de la représentation que préparait le Théâtre de Grenoble (mise en scène : Francis Perrin). Mais on peut actualiser ce document puisque la pièce est souvent reprise (consulter Internet). J’ai demandé aux élèves de relever dans le texte le champ lexical de la comédie et dans une seconde colonne, tous les mots ou expressions qui montraient l’originalité de cette forme

biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées, plusieurs étant étudiées dans des dossiers à part. Bonne lecture ! Il était le fils de Jean Poquelin, un riche marchand tapissier (on dirait aujourd’hui décorateur-ensemblier), établi rue Saint-Honoré, dans le quartier des Halles, en plein coeur de Paris, et de Marie Crespy. Elle eut cinq autres enfants, mais il la perdit à l’âge de dix ans. Quatre ans plus tard, disparurent aussi trois de ses frères et soeurs ; puis sa belle-mère

artistique européen qui apparaît au XVIIIème siècle en Grande-Bretagne et en Allemagne. Il n’apparaît en France qu’au XIXème siècle, ainsi qu’en Espagne et en Italie. Le mouvement s’oppose à la tradition classique française du XVIIème et XVIIIème siècles car il privilégie l’expression des sentiments. Il va également à l’encontre du Rationalisme du mouvement des Lumières. Il concerne plusieurs sortes d’arts comme les romans, le théâtre, la poésie, mais aussi la peinture et la musique. Le romantisme est

Stéphane Braunschweig costumes Thibault Vancraenenbroeck Marion Hewlett Anne-Françoise Benhamou Alexandre de Dardel lumière collaboration artistique collaboration à la scénographie son vidéo Xavier Jacquot Sébastien Marrey Karine Guilhem Élise Kobisch-Miana maquillage et coiffure création du mannequin assistantes à la mise en scène Pauline Ringeade, Catherine Umbdenstock avec Elsa Bouchain, Christophe Brault, Caroline Chaniolleau, Claude Duparfait, Philippe Girard, Anthony

PEDAGOGIQUE Mise en scène et scénographie Nicolas LIAUTARD Création La Nouvelle Compagnie Saison 2008 |2009 Coproduction La Nouvelle Compagnie La Ferme de Bel Ebat Théâtre des Quartiers d’Ivry La Scène Watteau « […] donner est un mot pour qui il a tant d’aversion, qu’il ne dit jamais : Je vous donne, mais : je vous prête le bonjour. » [La Flèche, Acte II scène 4] SOMMAIRE Page 2/ Distribution Page 4/ Résumé et note du metteur en scène Pages 5/ Molière et L’Avare – Genèse et contexte Page

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 en l'église Saint-Eustache, et mort le 17 février 1673 à Paris, est un dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. Issu d'une famille de la riche bourgeoisie marchande parisienne (son père tient une boutique de tapissier qui vend mobilier, tissus et tapisseries à la haute bourgeoisie et à la riche aristocratie et il détient depuis

année au Théâtre de la Porte-Saint-Martin à Paris. C'est une comédie dramatique versifiée en cinq actes. Lorsque le rideau se lève, la scène se passe en 1640 dans l'Hôtel de Bourgogne ; une foule nombreuse et variée est présente pour assister à la représentation de La Clorise, pastorale de Balthazar Baro. On découvre Roxane, belle, distinguée et précieuse ; Christian de Neuvillette, un jeune noble qui l'aime en secret et le comte De Guiche qui cherche à faire de Roxane sa maîtresse et veut la marier

lecture ! Né à Paris, le 27 septembre 1803, il fut élevé dans un milieu cultivé de tradition voltairienne, mais passionné depuis l'âge de seize ans par les sciences occultes et les expériences de magie. Il fit toutes ses études secondaires au lycée Henri-IV, qu’il quitta à l’âge de dix-huit ans. Il désirait faire de la peinture, mais son père, bien que peintre lui-même, peintre lui-même, l’en dissuada et l'orienta vers le droit. Tout en suivant les cours de la faculté, il commença à s'occuper de

passion amoureuse une épreuve bouleversante mais douloureuse, souvent vouée à l’échec. Ce courant trouve un nouvel élan à la fin du siècle, auprès de Desportes, d’Aubigné, de Sponde, mais il a suscité très vite, dès 1553 pour du Bellay, un contre-courant qui a pris au début du siècle la forme de poésies gaillardes ou burlesques qui désacralisaient sans façon la femme et l’amour. Si la poésie amoureuse de Malherbe recourt parfois à quelque formules pétrarquistes, on y entend souvent, selon les mots de

fichiers à part). Bonne lecture ! Né à Paris, le 4 février 1688, il fut, le 8, baptisé à la paroisse Saint-Gervais. Son père, Nicolas Carlet, appartenait à une famille de la bourgeoisie de Normandie, qui avait fourni plusieurs magistrats au parlement de cette province. Sa mère, Marie Bullet, était apparentée aux Bullet de Chamblain père et fils, architectes célèbres auxquels on doit notamment le château de Champs et de beaux hôtels parisiens du style Régence. Pierre Carlet passa à Paris les