Préface Sur Le Voyage De Baudelaire

|Textes complémentaires : Extraits de : | |Théâtre, texte et représentation | |la Préface de Cromwell, 1827 | | | |L’Homme qui rit, « le discours

Les Fleurs du Mal Charles Baudelaire Les Fleurs du Mal Table of Contents Les Fleurs du Mal......................................................................................................................................................1 Charles Baudelaire.........................................................................................................................................1 PRÉFACE...........................................................................................

Introduction Charles Baudelaire est depuis longtemps un poète reconnu, l’un des auteurs les plus lus, les plus traduits et les plus commentés du monde. Baudelaire a enrichi le domaine poétique par sa création littéraire des Fleurs du Mal. Cette œuvre représente et incarne les aspects de la modernité poétique et littéraire au niveau de la langue et du style. Baudelaire fait de la poésie une vision du monde, un ordre de valeurs qu’il serait artificiel et réducteur d’enfermer dans des catégories

Français BAUDELAIRE PREVOST Les fleures du mal - Manon l’Escaut BARBARA.C RACINE L’assassinat du pont rouge - Phèdre CAMUS.A V.HUGO L’étranger - Melancolia La peste -Aux morts de la nuit CORNEILLE du 4 L’illusion comique -Hernanie Le cid VOLTAIRE FLAUBERT - Candide Mme Bovary ZOLA MOLIERE - Thérèse raquin l’école des femmes Don juan LA MARTINE Le lac PLAUTE Amphitryon Le soldat fanfaron Baudelaire Biographie :

« Bon appétit ! Messieurs [...] Ah ! J’ai honte pour vous ! » 7 – Acte III, scène 5, vers 1408b à 1467a : « Ah ça, mais – vous rêvez ! [...] Il vient un froid par là » 8 - Acte V, scène 4 Textes complémentaires : Extraits de : la Préface de Cromwell, 1827 L’Homme qui rit, « le discours de Gwynplaine à la Chambre des Lords », 1869, Œuvres intégrales : Corneille, Le Cid,1637 (ou) Cinna,1639 (ou) Horace,1640

Psyché et l'Amour © Musée du Louvre/A. Dequier - M. Bard SOMMAIRE : 1/ Préface 2/ Le romantisme 3/ Le symbolisme 4/ Le surréalisme 5/ Poème écrit de ma plume Préface : LE ROMANTISME Apres une lecture de dante Quand le poète peint l’enfer, il peint sa vie : Sa vie, ombre qui fuit de spectres poursuivie ; Forêt mystérieuse où ses pas effrayés S’égarent à tâtons hors des chemins frayés ; Noir voyage obstrué de rencontres difformes ; Spirale aux bords douteux, aux profondeurs

Éléments biographiques choisis : La vie de Gérard de Nerval est une succession de rencontres, de voyages dont sont imprégnées ses œuvres. Ces-dernières révèlent / illustrent / témoignent / reflètent sa vie. Gérard de Nerval, pseudonyme de Gérard Labrunie, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris, ville dans laquelle il décède le 26 janvier 1855. Il est essentiellement connu pour ses poèmes et nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu, recueil de nouvelles (la plus

il se déclare chef du mouvement romantique et met à son drame la préface de Cromwell, c’est un manifeste à bon droit. Cette préface reprend toutes les règles de la dramaturgie romantique comme les personnages et les lieux, le vers et la prose, le style haut et le style bas, le sublime et le grotesque, le beau et l'horrible. Beaucoup d’idées ne viennent pas de lui, il regroupe chaque règles malgré ça certains affirment que la préface de Cromwell contient des erreurs. Toujours dans Cromwell, Hugo dénonce

lacorrespondance fictive (les Lettres persanes de Montesquieu). Ils passent aussi par une écriture plus autobiographique (Les Rêveries du promeneur solitaire de Rousseau), ou jouent sur les limites entre réel et fictif dans des formes dialoguées(Supplément au voyage de Bougainville de Diderot). • On retrouve l’utopie, mais sous une forme plus critique qu’au XVIe siècle (Voltaire, Montesquieu). 4 Au XIXe siècle A Des débats politiques • Pendant la période romantique, poètes et romanciers prennent part au

une référence: on dit ainsi couramment de tel film qu’il est un classique. Chaque littérature a ainsi ses écrivains classiques. Il existe par ailleurs des périodes littéraires qualifiées de classiques : « classicisme de Weimar » en Allemagne (du voyage en Italie de Goethe en 1786 à la mort de Schiller en 1805), « âge » de Dryden et de Pope en Angleterre, par exemple. Nous parlerons ici du classicisme du Grand Siècle. b. L’idéal classique Au XXe siècle, André Gide rappelle combien les règles