Préface Matin Brun

inépuisable de recherches « C'est le siècle historiques.... de la Renaissance, renaissance d'un paganisme les artistique et plein de sophismes,qui prépare voies à la Réforme, et sert, la pour siècle ainsi dire, de préface à Révolution. C'est le où l'hérésie, révolte perpétuelle de l'orgueil humain contre l'impé- rissable Vérité, s'élève contre l'autel qu'elle blasphème, contre qu'elle les trônes qu'elle sape, contre l'ordre social

Marcel Schwob à explorer la vie et l'âme humaine dans ce qui semble être une quête pour lui, à savoir rendre à l'homme son unité individuelle : "la vie humaine est d'abord intéressante pour elle-même"[19] peut-on lire dans la préface de Cœur Double et il poursuit dans la préface des Vies Imaginaires "l'art est à l'opposé des idées générales, ne décrit que l'individuel, ne désire que l'unique"[20]. Aussi, on peut se douter que le personnage va être un atout essentiel – plus que l'événement lui-même –

s’intéressait à la fusion de la forme et du fond, et à l’abandon de la construction tridimensionnelle au profit de la représentation simultanée de plusieurs angles de vues.. Le morcellement de la forme, éclatée en de multiples facettes aux teintes grises et brunes presque monochromes, empêche l’appréhension directe du modèle par le sens. - 14 - Salvador Dali, Visage de Mae West, 1934-35 Composé comme un rébus aux allures de scène de théâtre, le Visage de Mae West dévoile des réalités refoulées ou cachées

Mais pour les sous À l’agence d’intérim on me demande quand je peux commencer Je sors ma vanne habituelle littéraire et convenue « Eh bien demain dès l’aube à l’heure où blanchit la campagne » Pris au mot j’embauche le lendemain à six heures du matin Au fil des heures et des jours le besoin d’écrire s’incruste tenace comme une arête dans la gorge Non le glauque de l’usine Mais sa paradoxale beauté Sur ma ligne de production je pense souvent à une parabole que Claudel je crois a écrite Sur le

d’avril à juin, c’est une lente descente aux enfers qu’il nous est proposé de suivre avant la remontée vers la lumière que consacrent le mois de juillet et l’épilogue. Il sera, à cet égard, intéressant de s’interroger avec les élèves sur l’étonnante préface dépréciative d’Yves Gohin dans l’édition Poésie Gallimard et d’en examiner l’argumentation. Ils permettent, par ailleurs, de découvrir tout à la fois des poèmes lyriques et satiriques mais aussi métapoétiques, offrant ainsi une réflexion sur la nature

drame de l'eau, roman fantastique où le surnaturel est présent en pointillé, est aussi et surtout l'exaltation de la terre, conçue comme une personne, non seulement vivante mais sensible et dotée d’une puissance redoutable. Giono écrivit dans la préface de 1930 : «À l’époque où, petit berger bénévole, j’accompagnais le père Massot à la garde de ses ouailles, je fus marqué par cette terreur divine qui ruisselait des collines [...], il me parut que Pan était surtout fait de cette terreur et de cette

pensées qu'elles vous feraient un grand plaisir.[10] J'avance avec délice dans la lecture de l'Esprit des Loix...[11] Je voudrais bien que vous pussiez lire le poème du Bonheur de Monsieur Helvétius, ou plutôt la préface de l'éditeur, c'est un excellent ouvrage, d'un goût exquis, d'une hardiesse adroite et piquante et d'une sensibilité charmante.[12] En outre, elles trouvent un intérêt particulier aux spéculations morales et philosophiques de leur temps.Tels, les

Quelle drôle d’idée, ce rendez-vous avec un inconnu, lui qui n’avait vu personne depuis trois mois et qui ne s’en portait pas plus mal... Au contraire. Dans cette solitude, il ne s’était jamais senti aussi léger, avec de curieux moments d’exaltation le matin ou le soir, comme si tout était encore possible et que, selon le titre du vieux film, l’aventure était au coin de la rue... Jamais, même durant les étés de sa jeunesse, la vie ne lui avait paru aussi dénuée de pesanteur que depuis le début de cet été-là

lecteur, dans un post-scriptum, l’heure à laquelle les mots s’écrivent : « P.S. Il est cinq heures du matin. Je viens de retrouver cette lettre près du hublot. J’allais faire mon sac, prêt à repartir. J’ai une petite cabine sur le Lady Jersey. C’est mieux que le Carlton. » (M, 123) Une autre fois, en juin 1997, sur un autre bateau, le « Dakar-Ziguinchor », c’est à « Deux heures du matin » que le voyageur « revien(t) de la passerelle » (M,185) pour adresser à son ami lointain les mots dont celui-ci

février 1775. . . . Et j'étais Père, et je ne puis mourir ! (Zaïre, Acte 2ème). Par M. DE BEAUMARCHAIS. À PARIS, chez RUAULT, Libraire, rue de la Harpe. De l'Imprimerie de CLOUSIER, rue Saint-Jacques. M DCC LXXV. Avec Approbation et Permission - 3 -PRÉFACE. L'auteur vêtu modestement et courbé présentant sa pièce au lecteur Monsieur, J'ai l'honneur de vous offrir un nouvel opuscule de ma façon. Je souhaite vous rencontrer dans un de ces moments heureux où, dégagé de soins, content de votre santé, de