Préface Matin Brun

ANTHOLOGIE POETIQUE PREFACE Pour  beaucoup  de  monde  aujourd’hui,  la  lecture  poétique  n’est  pas  importante.  Les  lycéens  par   exemple,  ne  voient  qu’une  obligation  dans  le  fait  de  lire  des  poèmes,  et  n’en  remarquent  pas  les   avantages.  Platon  disait  qu’elle  nous  éloignait  de  la  réalité.  Alors comment peut-on monter son utilité ? Tout  d’abord,  la  lecture  poétique  peut  nous  procurer  du  plaisir  grâce  à  sa  beauté.  Elle  nous   transporte hors

du romain et de l’italique), la parenthèse fermante prend le même attribut que la prenthèse ouvrante De bon matin, les chasseurs, leur besace remplie de victuailles (fromage de chèvre, pâté et rosé de provence), se mirent à descendre le vallon. Les crochets : Les crochets, d’usage moins fréquent, sont utilisés pour indiquer : – Une précision à l’intérieur d’une parenthèse : De bon matin, les chasseurs, leur besace remplie de victuailles (fromage de chèvre [affiné à point, s’il TECHNOLOGIE

instruire et plaire." (VI, 1). Instruire ? La Fontaine le dit gravement dans la préface, mais moins gravement quand il s'adresse au chevalier de Bouillon (V, 1) : "Je tâche d'y tourner le vice en ridicule / Ne pouvant l'attaquer avec des bras d'Hercule." Plaire ? Il le faut, car "Une morale nue apporte de l'ennui" (VI, 1), et "on ne considère en France que ce qui plaît, c'est la grande règle, et pour ainsi dire la seule" (Préface). Pour plaire, il faut introduire de la gaieté, mais le mot doit être entendu

essais littéraires. Bien qu'inscrit au barreau de Paris, il n'exerça jamais mais préféra se consacrer entièrement aux travaux littéraire. La célébrité de Rostand ne vient qu'avec Cyrano de Bergerac écrit en 1897, inspiré probablement de l'ouvrage de P.A Brun, Savinien de Cyrano de Bergerac, sa vie et ses œuvres de 1893. L'auteur s'est lancé dans un pari risqué, non seulement sa pièce est coûteuse à monter, mais en plus les premiers spectateurs semblent inquiets devant les audaces de Rostand. Pourtant le

qui se couche à lieux surtout dans le premier quatrain dans lequel le paysage est d' une très grande richesse de couleurs ( jaune « Les ajoncs éclatants », rouge-orangé « que le couchant allume », blanc « sa barre d’écume »,bleu « La mer sans fin »et brun «  la terre finit ») et aussi dans le dernier tercet qui marque le passage du soleil de l'autre côté de l'horizon (« L’horizon tout entier s’enveloppe dans l’ombre, »le poète décris la fin de ce couché de soleil comme si l'horizon s'enroulait dans

REALISATION D’UN FLORILEGE 1) Les 10 poèmes préférées choisies. 2) L’illustration de chaque poème. 3) Rédaction de la préface. Après le Déluge      Aussitôt que l'idée du Déluge se fut rassise,      Un lièvre s'arrêta dans les sainfoins et les clochettes mouvantes et dit sa prière à l'arc-en-ciel à travers la toile de l'araignée.      Oh ! les pierres précieuses qui se cachaient, − les fleurs qui regardaient déjà.      Dans la grande rue sale les étals se dressèrent, et l'on tira

mademoiselle Lise. Pour lui traduire un psaume, bien souvent, Je me penchais sur son livre à l'église ; Si bien qu'un jour, vous le vîtes, mon Dieu ! Sa joue en fleur toucha ma lèvre en feu. Jeunes amours, si vite épanouies, Vous êtes l'aube et le matin du coeur. Charmez l'enfant, extases inouïes ! Et quand le soir vient avec la douleur, Charmez encor nos âmes éblouies, Jeunes amours, si vite épanouies! LOUISE ACKEMANN(1813-1890) Elle était une poétesse Francaise du XIXe siècle . Elle aimait la

BAUDELAIRE…………………………………………………………………………………..16 A une passante…………………………………………………………………………………….17 Arthur RIMBAUD………………………………………………………………………………………….18 Voyelles……………………………………………………………………………………………...19 Jacques PRÉVERT………………………………………………………………………………………..20 Déjeuner du matin……………………………………………………………………………….21 Jean de la FONTAINE Jean de La Fontaine né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, mort le 13 avril 1695 à Paris, est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les

A sept ans, il faisait des romans, sur la vie Du grand désert, où luit la Liberté ravie, Forêts, soleils, rives, savanes ! - Il s'aidait De journaux illustrés où, rouge, il regardait Des Espagnoles rire et des Italiennes. Quand venait, l'œil brun, folle, en robes d'indiennes, - Huit ans - la fille des ouvriers d'à côté, La petite brutale, et qu'elle avait sauté, Dans un coin, sur son dos en secouant ses tresses, Et qu'il était sous elle, il lui mordait les fesses, Car elle ne portait jamais

Sommaire Préface : page 5 Chapitre n° 1 : page 19 Chapitre n°2 : page 53 Chapitre n°3 : page 87 Chapitre n°4 : page 122 Chapitre n°5 : page 157 Chapitre n°6 : page 195 Chapitre n°7 : page 233 Chapitre n°8 : page 277 Chapitre n°9 : page 321 Chapitre n°10 : page 365 Chapitre n°11 : page 407 Chapitre n°12 : page 453 Chapitre n° 13 : page 489 L'Assommoir / Emile Zola Chapitre n°1 : Gervaise, 22ans guette et attend le retour de son mari, Auguste Lantier, 26ans, petit, très brun, jolie figure, fines