Préface Du Parti Pris Des Choses

entre crochets droits) DESCARTES LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE LETTRE-PREFACE DE L’EDITION FRANÇAISE 4 EPITRE DEDICATOIRE A LA PRINCESSE ELISABETH 12 PREMIÈRE PARTIE : DES PRINCIPES DE LA CONNAISSANCE HUMAINE 14 1. Que pour examiner la vérité il est besoin, une fois en sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu’il se peut. 14 2. Qu’il est utile aussi de considérer comme fausses toutes les choses dont on peut douter. 14 3. Que nous ne devons point user de ce doute pour la conduite

vie de l’écrivain pour mieux saisir la formation de son jugement critique. Lire et analyser la préface en cours. La Bruyère et son temps, p. 92-96. Préface, p. 11- 14. En classe, établir une synthèse des éléments de la vie de l’écrivain qui l’ont prédisposé à la critique sociale, à l’analyse des mœurs de son temps. Relever les éléments de la préface qui témoignent de l’ambition didactique des Caractères. 5    3. (3h) Lecture analytique 1 « La vanité

l’apparence, Il enlève aux hommes la possibilité de se distraire. Il est dur comme la pierre, La pierre informe, La pierre du mouvement et de la vue, Et son éclat est tel que toutes les armures, tous les masques en sont faussés. Ce que la main a pris dédaigne même de prendre la forme de la main, Ce qui a été compris n’existe plus, L’oiseau s’est confondu avec le vent, Le ciel avec sa vérité, L’homme avec sa réalité. Sa biographie Paul Éluard est né le 14 décembre 1895 à Saint-Denis et

faits racontés et y introduit de nombreux détails ce qui amplifie cette impression de véridicité. Nous pouvons prendre en exemple La rencontre avec madame de Warens dans Les confessions de Rousseau, ou l’auteur donne la date avec précision et semble si pris dans ses souvenirs qu’il se met a écrire au présent et avec autant de ferveur que lorsqu’il était adolescent : il donne l’impression de retomber amoureux. Il y a aussi la volonté d’accéder à la postérité par écrit. Ecrire permet de laisser une trace

Marcel Schwob, « Saint Julien l’hospitalier », préface à La Légende de saint Julien l’Hospitalier de Gustave Flaubert, Paris, Ferroud, 1895 ; repris dans Spicilège, Mercure de France, 1896. Présentation Hugues Laroche Un peu moins de vingt ans après la publication de Trois contes, la préface de Marcel Schwob est l’une des premières études un peu fouillées sur La Légende de saint Julien l’Hospitalier, dans une perspective essentiellement comparatiste. La traditionnelle recherche des sources

brièvement s’attarder sur un problème fondamental pour notre travail : la guerre de Troie est-il un mythe ? Le problème de l’historicité de la guerre de Troie est devenu objet d’investigation de la critique moderne des sources historiques déjà à partir des fouilles de Schliemann (1870-1890). Ce dernier était convaincu que l’archéologie pouvait fournir des épreuves claires de l’historicité des éventements narrés par Homère. Dörpfeld aussi, qui fouilla le site de Troie entre 1893 et 1894, était de

dualité de l’homme et l’inconstance de son destin. Comme l’écrit Giraudoux, le spectacle théâtral se situe bien dans l’irréel mais dans ce cadre qui stimule son imagination, c’est pourtant le réel que vient chercher le spectateur. Genet, dans sa préface des « Bonnes », résume cette idée clairement : « (…)je vais au théâtre afin de me voir, sur scène (restitué en un seul personnage ou à l’aide d’un personnage multiple et sous forme de conte) tel que je ne saurais – ou n’oserais- me voir vivre ou me

d’Héra (femme de Zeus) qu’elle pensait être son amie. Celle-ci lui conseilla de demander à Zeus de se montrer à elle dans toute sa splendeur, sachant qu’elle allait mourir à la vue de cette splendeur. Or Sémélé était enceinte de Dionysos. Zeus a donc pris le corps de Dionysos dans le ventre de Sémélé et l’a placé dans sa cuisse jusqu’à ce qu’il naisse. Deuxième version Dionysos est le fils de la déesse de la Terre (Déméter) et aurait été déchiqueté par les titans. Sa mère aurait récupéré son cœur

(théorie de l'animal-machine) ou abandonnées (théorie des tourbillons ou des esprits-animaux). Sa pensée a pu être rapprochée de la peinture de Nicolas Poussin[1] pour son caractère clair et ordonné. Sa méthode philosophique et scientifique, exposée à partir de 1628 dans les Règles pour la direction de l'esprit, puis dans le Discours de la méthode en 1637, affirme constamment une rupture par rapport à la scolastique enseignée dans l'Université. Elle se caractérise par sa simplicité (Descartes la résume

propre boutique mais un accident la contraint à différer son projet : Coupeau tombe d'un toit sur lequel il travaillait. Quitte à y consacrer toutes les économies du ménage, Gervaise décide de soigner son mari à la maison plutôt que de le laisser partir à l'hôpital, de triste réputation. La convalescence de Coupeau est longue. Il garde une rancœur envers le travail, prend l'habitude de ne rien faire et commence à boire. Gervaise s'en accommode. C'est auprès de leur voisin Goujet, un forgeron amoureux