Préface Des Misérables

Romantisme Genres Roman Poésie Théâtre Pamphlet Distinctions Élu à l'Académie française Funérailles nationales Inhumation au Panthéon de Paris Adjectifs dérivés hugolien, hugolienne Œuvres principales Romans : Notre-Dame de Paris, 1831 Les Misérables, 1862 Les Travailleurs de la mer, 1866 Poésie : Les Châtiments, 1853 Les Contemplations, 1856 La Légende des siècles, 1859 Théatre : Hernani, 1830 Ruy Blas, 1838 Signature Signature de Victor Hugo modifierConsultez la documentation du

pour thème l'histoire de l'évolution de la personnalité de Primo Levi, durant cette tranche de vie ; dans sa préface, l'auteur écrit qu'il souhaite mener une “étude dépassionnée des aspects de l'âme humaine”, de son évolution lorsqu'elle est confrontée à une telle horreur. L'œuvre a été écrite après sa libération et elle est parue en 1947, une fois tous les faits passés ; dans sa préface, il écrit que cette œuvre était déjà gravée en lui, et qu'une fois libéré, obéissant à “la violence d'une impulsion

l'aide de la fiction et engendrer chez le lecteur une prise de conscience sur des sujets qui touchent la plupart des gens. Viser les vices, les travers de la population mais aussi celle de la société, c'est ainsi que Victor Hugo dit dans la préface des Misérables « des romans de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles ». Le roman doit-il être vraiment utile et avoir pour vocation de changer la société ? Nous essaierons d'apporter des réponses à ces questions à l'aide des deux deux grandes

Victor Hugo, Les Misérables Introduction Les Misérables, vaste fresque romanesque publiée par Victor Hugo (1802-1885) en 1862, se présente comme un travail de longue haleine entrepris dès 1845 sous le titre Jean Tréjean puis Les Misères et plusieurs fois interrompu. Comme dans La Fin de Satan, le fil conducteur de cette œuvre est l'histoire d'une rédemption, celle de Jean Valjean, bagnard animé par une rancœur haineuse envers la société et envers Dieu qui, grâce au pardon et à la générosité

les avantages pour les uns ; pour les autres, la fatigue, la misère et une fosse au bout. Ceux-là forment, sous différents noms, les classes élevées ; de ceux-ci se compose le peuple ». On retrouve cette opposition dans les romans du siècle. Les « Misérables » de Hugo traduisent une réalité sociale : la misère est responsable de « l’infamie » (Lutte de V. Hugo contre la misère : voir le site http://expositions.bnf.fr/hugo/arret/ind_engag.htm ) G. Sand et le féminisme : « Ceux qui m'ont lu sans

faits, tri, composition, rythme, etc) ex : Gervaise dans l’Assommoir ex : préface à Pierre et Jean de Maupassant 2°) Les antihéros peuvent mieux inviter à la révolte ex : Bardamu dans Voyage au bout de la nuit de LF Céline ex : Meursault dans l’Etranger de Camus 3°) Quand l’écart entre la médiocrité et l’idéal visé permet d’atteindre une dimension mythique ex : Mme Bovary de Flaubert ex : Gavroche dans les Misérables de Victor Hugo CONCLUSION (ouverture) : La Liberté guidant le Peuple de Delacroix

Conservateur littéraire), romans (Bug-Jargal, Han d'Islande), théâtre (Amy Robsart avec Ancelot, à l'Odéon), vers (Ballades et nouveaux recueils d'Odes) l'occupent jusqu'en 1827. A cette date, il donne Cromwell, grand drame en vers (non joué), avec une préface qui est un manifeste. En 1828 il écrit Marion de Lorme, drame en vers, qui est interdit par la censure, en 1829 les Orientales, en 1830 Hernani, joué à la Comédie française, acclamé par la jeunesse littéraire du temps, peu goûté du public. La Révolution

pousse à réviser son action. Il entame une carrière politique. Elu à l’assemblée constituante en 1848, il prend position contre la société qui l’entoure : la peine de mort, la misère, l’ordre moral et religieux. C’est en 1862 qu’Hugo termine « Les Misérables », immense succès populaire à l’époque. Fervent opposant au coup d’état du 2 décembre 1851, il doit prendre le chemin de l’exil jusqu’en 1870. Installé à Jersey et Guernesey, il écrit « Les Châtiments » et « Les contemplations ». De retour en France

révolutionnaire ? Ce n’est pas par l’engagement politique que Hugo s’est acquis cette réputation mais par des appels à la liberté de l’art. Il a rassemblé autour de lui les jeunes écrivains (le « Cénacle »), défini un nouvel art dramatique dans la préface de Cromwell, étonné par la virtuosité de sa versification dans Les Orientales, et pris bien des libertés avec les conventions artistiques. Il s’est lancé dans la bataille entre les Classiques (entendons : les partisans de l’ordre) et les Romantiques

laisser-faire à l'indignation tardive. - Corpus – sujet du bac : La révolte face à la misère Lectures analytiques d’extraits courts : Texte A : Jean de La Bruyère, Caractères, « De l'homme », 1688 Texte B : Diderot et D’Alembert, Encyclopédie, article "Misérable", 1751-1772 Texte C : Victor Hugo, Le discours sur les caves de Lille prononcé à l’Assemblée le 30 juin 1850 Texte D : Albert Camus, L’homme révolté, 1951 ECRITURE d’une introduction de commentaire littéraire. SEQUENCE N° 2 : Le monstre dans