Préface Des Fêtes Galantes

de parti pris dans le fourré le plus profond de la forêt parisienne. Nous avons l'espoir que le lecteur n'aura pas oublié cette touchante et sereine figure qui traverse les pages de notre introduction. Il n'y a que des récits dans ce livre : notre préface elle-même était encore un récit, dont le héros se nommait le « papa Sévérin ». Nous avons la certitude que le lecteur se souvient d'une autre physionomie, tendre et bonne aussi, mais d'une autre manière, moins austère et plus mâle, plus tourmentée

apparaissait de l’autre côté, au ras de la trappe. Il vit du même regard l’ombre de l’homme, qui fuyait, et le ventre de la femme, encore vautrée, les jambes ouvertes. Une telle fureur le poussa, qu’il n’eut pas l’idée de descendre pour reconnaître le galant, et que, d’une gifle à tuer un bœuf, il rejeta par terre Jacqueline, qui se relevait sur les genoux. – Ah ! putain ! Elle hurla, elle nia l’évidence dans un cri de rage. – Ce n’est pas vrai ! Il se retenait de défoncer à coups de talon ce ventre qu’il

forme poétique une importance nouvelle, fût-ce au détriment du sentiment, il ouvre la voie au mouvement dit de « l’art pour l’art ». Représenté notamment par Leconte de Lisle, le mouvement du Parnasse reprend le mot d’ordre lancé par Gautier dans sa préface à Mademoiselle de Maupin (1835), proclamant le primat de la forme sur le contenu et célébrant le culte du travail poétique. Parmi les Parnassiens, citons Théodore de Banville (les Stalactites, 1846 ; Odes funambulesques, 1857), José Maria de Heredia

phénomènes qui, dans d'autres régions, passaient inaperçus à cause de leur faiblesse relative ; en s'attachant à ces exagérations, il devenait possible de tout montrer, de fournir un tableau vraiment classique de la production moderne. Dans la préface, Marx dit qu'il procède comme le physicien qui « étudie les phénomènes lorsqu'ils se présentent sous la forme la plus accusée ». Il estime qu'il ne faut pas s'arrêter à cette objection vulgaire que certaines particularités prennent, en Angleterre

1914 et se poursuivit par un bombardement durant presque toute la durée des hostilités, catastrophe qui paru considérable aux contemporains. Paul Morand est cité pour la nouvelle "Clarisse" qui fait partie de Tendres Stocks, 1922, que Proust avait préfacé. 44. Début d'une paperole sur les ravages de la guerre et sur les conclusions philosophico-esthétiques que l'on peut en tirer. On y voit le héros, encore enfermé dans la sociologie de Combray, incapable de comprendre la déploration de Charlus,

être victime à son tour. Ils [les paysans] s’assurèrent de ses pieds et de ses jambes qu’ils lièrent avec de grosses cordes et, l’ayant ainsi garrotté, le portèrent dans leur charrette, qu’ils firent aussitôt partir avec autant de hâte qu’en a un galant qui enlève une maîtresse contre son gré et celui de ses parents. Ragotin était si ivre que toutes les violences qu’on lui fit ne le purent éveiller, non plus que les rudes cahots de la charrette que ces paysans faisaient aller fort vite et avec tant

convenues. C'était l'homme qui avait baptisé le loup. Probablement il s'était aussi choisi lui−même son nom; ayant trouvé Ursus bon pour lui, il avait trouvé Homo bon pour la bête, L'association de cet homme et de ce loup profitait aux foires, aux fêtes de paroisse, aux coins de rues où les passants s'attroupent, et au besoin qu'éprouve partout le peuple d'écouter des sornettes et d'acheter de l'orviétan. Ce loup, docile et gracieusement subalterne, était agréable à la foule. Voir des apprivoisements

convenues. C'était l'homme qui avait baptisé le loup. Probablement il s'était aussi choisi lui−même son nom; ayant trouvé Ursus bon pour lui, il avait trouvé Homo bon pour la bête, L'association de cet homme et de ce loup profitait aux foires, aux fêtes de paroisse, aux coins de rues où les passants s'attroupent, et au besoin qu'éprouve partout le peuple d'écouter des sornettes et d'acheter de l'orviétan. Ce loup, docile et gracieusement subalterne, était agréable à la foule. Voir des apprivoisements

cet amour. Puis c’est l’amour – goût, celui régnait à Paris vers 1760, et quel on trouve dans les mémoires et romans de cette époque, dans Crébillon, Lauzun, Duclos, Marmontel, Chamfort, Mme d’Epinay, etc. 6 Il s’agit souvent des témoins des moeurs galantes du 18e siècle. C’est une imitation de l’allure noble. Le troisième est l’amour physique, qui paraît bien clair. Il s’agit de l’amour où les pulsions physiques doivent être satisfaites. Son dernier amour mentionné est celui de vanité. Il s’agit plutôt

promenade, qui ne fatigue pas Caroline. Achille-Cléophas Flaubert envoie 500 francs à son fils, via « l’administration des chemins de fer », avec un commentaire sur les « niais qui se laisse[nt] attraper par les chevaliers d’industrie ou les femmes galantes ». La famille Flaubert se rend à La Neuville, chez les Maupassant, jusqu’au lundi suivant. Le temps affreux empêchant tout promenade, les invités passent la journée à dessiner. Alfred Le Poittevin demande à Flaubert de s’acquitter pour lui d’une