Préface De Cromwell Commentaire

Linguistique des genres Linguistiques de l’énonciation Logique des genres littéraires Fiction et non-fiction Benveniste et les « plans d’énonciation » : « Histoire » et « Discours » Weinrich et les « attitudes de locution » : « Récit » et « Commentaire » Genette et l’architexte pragmatique des genres Genres du discours Actes de langage et genres du discours 5. Poétique des genres Stylistique des genres Pierre Larthomas et la distinction entre l’oral et l’écrit poétique des genres

muselée. Hugo et Ruy Blas Victor Hugo a un peut plus de 25 ans lorsque, le 5 décembre 1827, il fait son entrée dans l’univers du théâtre. Entrée fracassante, s’il en est, non pas à cause de Cromwell, la pièce qu’il publie alors – elle est énorme et injouable – mais grâce à sa Préface qui l’accompagne. Dans cette Préface, Hugo, qui a vu représenter Shakespeare à Paris cette même année et qui connaît les deux Racine et Shakespeare de Stendhal (1823 et 1825) s’en prend à la dramaturgie classique et définit

allégorique (ainsi Gauvain rêve et «  vit dans une prairie pleine d’herbe verte et de fleurs, les compagnons de la Table Ronde »). Créant des visions, l’imaginaire va se libérer dans l’invention de paysages nouveaux : il suffit d’ôter le placage du commentaire allégorique : seule subsiste la représentation de l’espace naturel. Vu le plus souvent par le héros, le paysage dans l’univers des premiers romans médiévaux, s’il est l’héritier du paysage idéal des Anciens, prend d’abord appui sur la représentation

naissance au romantisme, dont Hugo va s’imposer comme le chef de file, dès Odes (1820), suivi d’Odes et Ballades , en 1826, deux recueils qui illustrent la conception de la poésie qu’il précise dans une préface ultérieure : elle « doit marcher devant les peuples comme une lumière et leur montrer le chemin », et toucher « toutes les fibres du cœur humain », comme vibrent « les cordes d’une lyre ». Il concrétise ce rôle en regroupant,

La Fontaine sont toujours considérées comme un des plus grands chefs d’œuvre de la littérature française. Le fabuliste a éclipsé le conteur d'autant que le souci moralisant a mis dans l’ombre les contes licencieux publiés entre 1665 et 1674. Commentaire de « Le Lion et le rat » J’aime beaucoup la morale qu’offre cette fable. Jean de la Fontaine cherche à transmettre un beau message qui consiste en aider les autres puisqu’on peut avoir besoin d’eux éventuellement. Le Lion et le rat Il faut

symbole terrible ; pour en venir là, il a fallu que les armures tombassent pièce à pièce et les broderies fleur à fleur. C’est la raison humaine qui a renversé toutes les illusions ; mais elle porte en elle-même le deuil, afin qu’on la console. Commentaire 1836 : depuis six années, la France vit sous la Monarchie dite de juillet. L'économie, ravagée par les affres de la Révolution et les guerres impériales, se redresse grâce au négoce des grands bourgeois. Dans ce texte charnière, le narrateur, qui

nouvelle critique. L’ouvrage tente de faire la synthèse des nombreuses définitions des théories et des approches de la notion du genre qui ne peut pas avoir une définition univoque. Textes :   - Hugo et le refus nominaliste des genres dans la préface aux Odes et Ballades (1826) : hostilité à l’égard de la notion au nom de la liberté du génie créateur. - Paulhan et la Terreur, Les Fleurs de Tarbes (1941). Démontage des mécanismes de « la terreur » instaurée par les romantiques contre

|Textes complémentaires : Extraits de : | |Théâtre, texte et représentation | |la Préface de Cromwell, 1827 | | | |L’Homme qui rit, « le discours

appétit ! Messieurs [...] Ah ! J’ai honte pour vous ! » 7 – Acte III, scène 5, vers 1408b à 1467a : « Ah ça, mais – vous rêvez ! [...] Il vient un froid par là » 8 - Acte V, scène 4 Textes complémentaires : Extraits de : la Préface de Cromwell, 1827 L’Homme qui rit, « le discours de Gwynplaine à la Chambre des Lords », 1869, Œuvres intégrales : Corneille, Le Cid,1637 (ou) Cinna,1639 (ou) Horace,1640

Louis Napoléon Bonaparte ou Napoléon III (Les Châtiments) ou encore poète épique (La Légende des siècles) mais aussi grand romancier (Les misérables, Notre Dame de Paris). Il est l'auteur de la création du drame romantique avec notamment la préface de Cromwell, la base du drame romantique, théâtre de scandales et réussites, puis Herrnani (1830) qui est enjeu important pour V. Hugo qui présente cela comme un conflit des générations, à la même période où à lieu « la querelle des anciens et des modernes »