Préface D Anthologie Sur La Musique

restrictive comme "une relation de co-présence entre deux ou plusieurs textes, [...]et le plus souvent [comme] la présence effective d'un texte dans un autre"3. La paratextualité4 est la relation d'un texte à son entourage éditorial (titre, couverture, préfaces, épigraphes, notes, etc.). La métatextualité5, c'est la relation de commentaire qui unit un texte à un autre. L'architextualité6, c'est la relation d'un texte au genre littéraire auquel il appartient. Pour C. Tisset, L’hypertextualité désigne

l’émergence du scientisme et du positivisme : - Le scientisme se définit comme la foi dans la toute puissance des sciences pour répondre à tous les problèmes humains. Ernest Renan illustre ce courant de pensée de la fin du 19e et du début du 20e S dans la préface de l’Avenir de la science (1990) : « Organiser scientifiquement l’humanité est le dernier mot de la science moderne, telle est son audacieuse mais légitime prétention ». Le positivisme est une doctrine philosophique qui considère que la seule connaissance

1986, p. 29. LA GENESE DE LA DISTANCIATION 8 abusifs auraient gagné à mieux connaître la traduction la plus proche de l'allemand, « effet d'étrangeté », ou encore l'« effet-V » comme le nommera Brecht lui-même. Ainsi, dès 1930, dans la préface de Sainte-Jeanne des abattoirs, il présente ses idées de manière déjà très précise : « Sainte-Jeanne des abattoirs est une pièce de l'art dramatique non-aristotélicien. Cet art dramatique requiert une prise de position très précise de son spectateur

noire, masques blancs. (1952) 5 Cette édition électronique a été réalisée par Émilie Tremblay, bénévole, doctorante en sociologie à l’Université de Montréal Courriel : emiliet82@yahoo.fr à partir de : Frantz FANON PEAU NOIRE, MASQUES BLANCS. Préface (1952) et Postface (1965) de Francis Jeanson. Paris : Les Éditions du Seuil, 1952, 239 pp. Collection : La condition humaine. Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Comic Sans, 12 points. Pour les citations : Comic Sans, 12 points. Pour les

apollinienne de tout ce qui peut être connu ou ressenti dans l’état dionysiaque (...) »[7]. Nietzsche part de l'hypothèse que l'origine de la tragédie, c'est le chœur, hérité d'antiques dithyrambes qui psalmodient selon lui des textes à la limite entre musique et poésie. Ici, pas de personnages, et pas d'intrigue. Ces deux notions sont, pour Nietzsche, la manifestation de la vision « apollinienne » du monde : ce sont, à proprement parler, des manières de fixer dans des images ce qui s'exprime dans le flux

a par contre vécu comme Rachid et Si Mohktar à Constantine et Bône (aujourd'hui Annaba). Et ces deux villes se confondent à leur tour avec le personnage de Nedjma « l'Andalouse » (la tradition andalouse, essentiellement connue aujourd'hui par sa musique, est une tradition citadine, volontiers hautaine), comme avec son modèle réel. « Le hasard a voulu, confie Rachid, que ces deux villes de ma passion aient leurs ruines près d'elles, dans le même crépuscule d'été, à si peu de distance de Carthage.

a par contre vécu comme Rachid et Si Mohktar à Constantine et Bône (aujourd'hui Annaba). Et ces deux villes se confondent à leur tour avec le personnage de Nedjma « l'Andalouse » (la tradition andalouse, essentiellement connue aujourd'hui par sa musique, est une tradition citadine, volontiers hautaine), comme avec son modèle réel. « Le hasard a voulu, confie Rachid, que ces deux villes de ma passion aient leurs ruines près d'elles, dans le même crépuscule d'été, à si peu de distance de Carthage.

pu trouver de nouveau pour m’épater ? J’avais déjà tout ! Je suis resté là planté à me demander à quoi tout ça rimait. J’ai fini par reposer la bouteille dans le casier et je suis resté assis par terre, la tête dans les mains... J’entendais la musique, là-haut, les appels des enfants : « Alors, papa tu le bois tout seul, ce champagne ? » Ma femme, Anne, est venue me chercher, je lui ai seulement dit que je ne voulais plus, que ça suffisait... que j’allais rester dans la cave, dans le noir, tout

qu’avaient-ils pu trouver de nouveau pour m’épater ? J’avais déjà tout ! Je suis resté là planté à me demander à quoi tout ça rimait. J’ai fini par reposer la bouteille dans le casier et je suis resté assis par terre, la tête dans les mains... J’entendais la musique, là-haut, les appels des enfants : « Alors, papa tu le bois tout seul, ce champagne ? » Ma femme, Anne, est venue me chercher, je lui ai seulement dit que je ne voulais plus, que ça suffisait... que j’allais rester dans la cave, dans le noir, tout seul

qu’avaient-ils pu trouver de nouveau pour m’épater ? J’avais déjà tout ! Je suis resté là planté à me demander à quoi tout ça rimait. J’ai fini par reposer la bouteille dans le casier et je suis resté assis par terre, la tête dans les mains... J’entendais la musique, là-haut, les appels des enfants : « Alors, papa tu le bois tout seul, ce champagne ? » Ma femme, Anne, est venue me chercher, je lui ai seulement dit que je ne voulais plus, que ça suffisait... que j’allais rester dans la cave, dans le noir, tout