Préface Anthologie Ronsard

ANTHOLOGIE POETIQUE LE VOYAGE TABLE DES MATIERES Préface …………………………………………….………………page 3 Préface (suite) …………………………………………………page 4 Illustration du poème de du Bellay…………………...page 5 Poème Heureux qui comme Ulysse…………………..page 6 Illustration du poème de G. de Nerval……………… page 7 Poème Le relais………………………………………………..page 8 Illustration du poème de V. Hugo……………………..page 9 Poème Demain dès l’aube………………………………..page 10 Illustration du poème de Baudelaire………………….page 11 Poème L’invitation

n'en faites point mystère. Mais vous tremblez, et ce dieu vous fait peur Peut-on souffrir une plus douce peine ? Peut-on subir une plus douce loi ? Qu'étant des coeurs la douce souveraine, Dessus le vôtre Amour agisse en roi ; Pierre de RONSARD (1524-1585) Amours : Comme on voit sur la branche... Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose, En sa belle jeunesse, en sa première fleur, Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l'Aube de ses pleurs au point du jour l'arrose;

Anthologie poétique : La fuite du temps Sommaire Préface………………………………………………………………………………… p 3-4 « Arrivé dedans Rome… » …………………………………………………………….. p 5 Jacques Grévin Sonnet à Marie…………………………………………………………………………. p 6 Pierre de Ronsard « Assieds-toi sur le bord… » ………………………………………………………….. p 7 Jean-Baptiste Chassignet « Hélas ! Qu’est ce de l’homme orgueilleux… » ……………………………… p 8 Jean Auvray A mes amis……………………………………………………………………………… p 9 Evariste de Parny Le ballet des heures…………………………………………………………………. p

bûcheron » écrit par Pierre de Ronsard(1524-1585) et extrait du recueil « élégies », 1584 « Ultima verba » extrait des Châtiments de Victor Hugo(1802-1885), tiré de VII, 11, intitulé « Ultima verba » écrit à Jersey, le 2 décembre 1852 « Les pauvres à l'église » écrit en 1870 par Arthur Rimbaud (1854-1891) extrait du recueil « poésies ». « Où vont tous ces enfants » écrit par Victor Hugo et extrait du recueil « les contemplations » (1856) Poésie engagée Préface : La poésie est tout

Anthologie poétique: La fuite du temps Sommaire Préface………………………………………………………………………………… p 3-4 « Arrivé dedans Rome… » …………………………………………………………….. p 5 Jacques Grévin Sonnet à Marie…………………………………………………………………………. p 6 Pierre de Ronsard « Assieds-toi sur le bord… » ………………………………………………………….. p 7 Jean-Baptiste Chassignet « Hélas ! Qu’est ce de l’homme orgueilleux… » ……………………………… p 8 Jean Auvray A mes amis……………………………………………………………………………… p 9 Evariste de Parny Le ballet des

Anthologie Préface: Dans ce recueil de poésies le thème sera la Nature. Que se soit forme de paysages par exemple la montagne, ou sous forme animales ou végétales celle-ci est très fréquente aussi bien dans les poésies actuelles comme chez l'auteur Charles JULIET, que dans les poèmes plus anciens, comme « En la Forest de Longue attente », texte de Marie de CLAIRE, et datent du XVeme siècle. La Nature sera utilisée sous différentes formes dans les poèmes de cette anthologie. Celle qui revient

masculins tel que Ronsard par exemple. Labé doit, avant de défendre son statut de poète, défendre son statut de femme grâce à la poésie. Le néo-platonisme qu’elle utilise est certainement une manière pour elle de prouver son intelligence « malgré » son sexe. Ainsi, la femme ne serait plus un être de chair mais également un être d’idées. A propos de cela, Louise Labé affirme « élever un peu [son] esprit par-dessus (…) quenouilles et fuseaux »[6], comme elle le dit si bien dans sa préface aux Œuvres, parue

dénonciation de la guerre. Ce texte s'oppose donc à ceux de Rimbaud qui dénonce la guerre, car ici la banalisation de la guerre la rend moins horrible et c'est pour cela que j'ai choisi ce texte. L'autre texte de Apollinaire présent dans cette anthologie est « Carte postale » extrait de calligrammes, écrit en 1918. Ce poème très bref qui a la forme d'un haïku, parle d'un jour de combat marqué par les tirs des canons. La « canonnade » n'est pas décrite de facon péjorative mais est simplement

 ANTHOLOGIE Lune atique Plastrons d’astre et d’ivoire où se couche le temps, La lune et son linceul, effarouchant la nuit, D’une larme perlée, à la saveur de suie, Percent sommeils et cieux, à pas de revenants. A peine appareillé, son pur vaisseau d’argent Quitte temples et ports, puis lentement s’enfuit Vers ces sphères du soir où se glissent des pluies Dont les plumes d’onyx se tapissent de sang De vastes salles d’or qu’engouffrent les abysses Dégoulinent de feu, s’attachant au festin De rêves

 ANTHOLOGIE POETIQUE Sommaire : Page 5 & 6 : Préface Page 7 & 8 : Anna de Noailles, « L'hiver » Page 9 : Charles d'Orléans, « Le Printemps » Page 10 : Victor Hugo, « Nuit de juin » Page 11 : Charles Baudelaire, « Sonnet d'automne » Page 12 & 13 : Gaston Couté, « Les Saisons »