Provocation Publicité Femme Parfum

[pic] INSTITUT SUPERIEUR DE FORMATION CONTINUE D’ETTERBEEK 1 Enseignement de Promotion Sociale Présentation du mémoire : juin 2009 «La représentation de la nudité dans les publicités» | | | | |

émancipation de la femme à travers la mode « Ce qui est intrigant, c'est ce rapport entre les apparences vestimentaires et la politique, c'est la place que prend un vêtement dans l'Histoire. » C. Bard. Sandrine Couspeyre et Léa Marcheix SOMMAIRE : • Introduction • XIXe siècle à 1914 : Luxe et soumission • Années 20-30 : La garçonne • Années 40-50 : Une mode strict et sensuel • Années 60 : Une mode venue de la rue • Années 70 : La femme hippie • Années 80 : La femme « fric & frime

investissements considérables, les résultats du marché des parfums sélectifs pour homme restent médiocres comparés aux résultats du marché féminin. Car il semble que la parfumerie masculine soit atteinte à son tour par une conjecture franchement morose. Un espoir pourtant : les hommes évoluent, lentement, mais sûrement, et fréquentent un peu plus les parfumeries. Ainsi ce mémoire se donne pour objectif d’étudier l’accès de l’homme au parfum. Chacun y accède différemment, que se soit au niveau de

rapport étroit avec la société - L’appartenance à un style, appartenance à un groupe ? - La production, la commercialisation et ladiffusion - Les marques - Les célébrités, la télévision et la publicité : stéréotype et modèle de société - L'impact sur la société (préjugés, classes sociales, discrimination, individualité) - Un idéal physique imposé ? - Une interprétation des écrivains sur l’évolution des codes vestimentaires (Maupassant

attitude » ........................................................... 6 C. Des objectifs affinés pour une stratégie imagée............................................................. 8 III. One-Million Man : un parfum en or, une campagne de star.....................10 A. Le nouveau parfum pour homme de Paco Rabanne .................................................... 10 B. L'approche conventionnelle de la campagne : ............................................................. 10 C. Un dispositif

aujourd’hui Conclusion Introduction Publicité ne rime pas forcément avec éthique, cela ne veut pas dire que c’est un domaine sans scrupules, mais c’est juste que les pratiques sont toujours justifiées par le but extrême de la pub. Prendre conscience du produit, consommer plus, et des fois même créer des besoins. Dans ce monde où les principes importent peu, une marque peut lier son image à un combat et créer pour la première fois la publicité engagée. Pour cela nous nous sommes attardés

l’occasion du Grand Prix du Luxe STRATEGIES CONDE NAST IPSOS 28 NOVEMBRE 2005 Décembre2005 Décembre 2005 -1 - SOMMAIRE 1/ LES NOUVEAUX ENJEUX DU LUXE 2/ L’EMERGENCE DU « ME POWER» 3/ LES FRANÇAIS LES PLUS RICHES : QUI SONT-ILS ? 4/ LUXE ET PUBLICITE 5/ LUXE ET CREATION DE MARQUES p.3 p.7 p.9 p.12 p.15 Experts Etude : Stéphane Truchi (Ipsos France) Valérie Chassé (Ipsos Insight) Marc Gicquel (Ipsos Insight) Jean-Charles Grout (Ipsos Media) Benoît Tranzer (Ipsos ASI) Laurence Nougaro Soubrane

repreneur après 2 dépôts de bilan, dans ce groupe il y a Conforama, le bon marché et Dior, dont Arnault tombe amoureux, il veut racheter. Plusieurs repreneurs sont sur les rangs, dont Alain Chevalier, qui possède déjà à l’époque Moët et Hennessy et les parfums Christian Dior. Arnault rachète donc Boussac pour 400 millions de Francs. Antoine Bernhaim (banque Lazard) et l’état jouent un rôle important, en apportant à Arnault la financement dont il a besoin. Arnault n’a alors plus qu’à fournir 90 millions

CHAPITRE IV PUBLICITÉ, SOCIÉTÉ ET CULTURE 4. 1 LA PUBLICITÉ COMME UN ÉLÉMENT D’ÉTUDE « Nous pensons que non seulement la publicité est une école d’adaptation à l’actualité, une grande source de création artistique, mais aussi et surtout un phénomène social, une fabrique de styles de vie et de nouvelles valeurs. Les annonceurs sont bien devenus des acteurs parfois « inconscients » d’une pédagogie sociale et des animateurs engagés à donner un plus de vitalité de la vie culturelle. Ils assument

ne jouent plus à la poupée mais à l’enfant-femme. Elles sont devenues des vrais fashion victims, elles considèrent leurs stars comme leurs meilleures amies (ex : Lorie, Christina Aguilera, Britney Spears)…En général leur chambre est tapissée de photos de leur idole, entretenant ainsi la magie de l’identification. Rien de plus normal puisque ces modèles font partie du paysage médiatique. D’ailleurs, la télévision, le cinéma, les magazines, les publicités cautionnent également cela. Il ne faut pas