Proust Sur La Lecture

''L'école de Châteaubriant à Proust'' Il est des noms que l'on ne peut oublier et qui restent dans les mémoires. Châteaubriant, Baudelaire, Zola... ces illustres écrivains sont réunis ici et nous permettent de mieux comprendre quelles ont été les grandes représentations de l'école au XIXème siècle. En réunissant ces extraits d'oeuvres, Jérôme Leroy souhaite s'écarter des visions caricaturales, trop idylliques ou trop sombres, livrant ainsi au lecteur l'image réelle de l'école à cette époque.

être audacieux en rendant à la lecture tous les honneurs qu’elle mérite. Idéaliste ? Utopiste ? Peut être, mais paradoxalement n’est ce pas en allant à contre courant que l’on avance ? Je vous demande à vous mes camarades de prendre un instant pour lire cet article qui j’espère vous montrera a quel point la lecture est bénéfiques et tous ce quelle peut vous apporter. Cela ne vous prendra que quelque minutes et peut changer la vision que vous porter sur la lecture. Tout d’abord je me demande

Texte 1 – Un Amour de Swann Lecture analytique : Texte descriptif sans dialogue. Un Amour de Swann = 2ème partie de Du Côté de chez Swann; c'est un livre dans le livre; c'est une analepse (flash back, retour en arrière) C'est une mise en abyme (représentation dans la représentation) Texte narratif entouré de style direct. Époque de Proust : aristocratie Monde du XIXème siècle : haute société Faubourg de St Germain : lieu où vit la duchesse de Guermantes Société extrêmement hiérarchisée

LECTURE, INTERTEXTUALITÉ DES ŒUVRES « Valéry incite à penser en termes de bibliothèque collective et non de livre seul. Pour un vrai lecteur, soucieux de réfléchir à la littérature, ce n’est pas tel livre qui compte, mais l’ensemble de tous les autres, et prêter une attention exclusive à un seul risque de faire perdre de vue cet ensemble et ce qui, en tout livre, participe à une organisation plus vaste qui permet de le comprendre en profondeur. Mais Valéry nous permet aussi d’aller plus loin en

bouffonnerie. Ainsi voyons-nous défiler des personnages réels ou fictifs qui appartiennent à la mythologie personnelle de l'auteur : Maurice Sachs et Otto Abetz, Lévy-Vendôme et le docteur Louis-Ferdinand Bardamu, Brasillach et Drieu la Rochelle, Marcel Proust et les tueurs de la Gestapo française, le capitaine Dreyfus et les amiraux pétainistes, Freud, Rebecca, Hitler, Eva Braun et tant d'autres, comparables à des figures de carrousels tournant follement dans l'espace et le temps. Mais la place de l'Etoile

ni à mettre en garde. Marcel Proust ensuite, mais dans un registre moins directif et plus démonstratif, s’autorise lui aussi à livrer quelques conseils en rédigeant une sorte d’art poétique, assumé par la première personne caractéristique de l’essai critique. Mais alors que Mallarmé, dans une intention presque provocatrice, revendique l’ésotérisme de sa poésie dans un texte de 1862, tiré de Proses de jeunesse et intitulé par antiphrase « L’art pour tous », Proust la rejette au contraire dans

écrire des romans. Ils explorent donc chacun une voie différente, se structurant de moins en moins en courants (mis à part peut-être le Nouveau Roman) pour affirmer leur originalité. Proust est l'auteur qui, au monde, a été les plus commenté et critiqué. I- Du côté de chez Swann dans l’œuvre et la vie de Marcel Proust On a ici le premier volume de

moins grande sagesse, mais la manière dont on communique avec eux, la lecture, au rebours de la conversation consistant pour chacun de nous à recevoir communication d’une autre pensée, mais tout en restant seul » Proust Ancrage : Attirer l’attention du lecteur sur les différences entre un livre et un ami : on dit parfois que le livre est un excellent compagnon de route. Faire le lien avec la reformulation en parlant de Proust. Reformulation : La différence entre un livre et un ami, ce n’est

concepts forgés dans le champ psychanalytique et les appliquer à l'étude des quelques manuscrits choisis, au contraire : en intégrant dans sa réflexion les apports de disciplines telles que la neurolinguistique ou de la psychologie cognitive de la lecture, il tire leçon de sa déjà longue expérience dans l'étude de manuscrits d'auteurs français et brésiliens pour repousser les limites d'une réflexion sur le sujet circonscrite au cadre analytique, en remanier les concepts et renouveler leur pertinence

prenant appui sur les textes du .corpus ainsi que sur vos lectures personnelles. I.Une identification trop naïve aux personnages de roman est un défaut. 1. parce qu'elle interdit tout esprit critique sur ce qui est lu, Le lecteur adhère totalement à sa lecture au point de prêter une existence réelle à son héros de papier, plus réelle même qu'aux personnes de son entourage. Ex: Dans sa préface pour Sésame et les lys de Ruskin, Marcel Proust parle de l'attraction puissante exercée par les personnages