Protéine de fusion

présentée par Sébastien KELLER Pour obtenir le grade de Docteur de l’Université Joseph Fourier – Grenoble I Discipline : Biologie Cellulaire présentée et soutenue publiquement le 18 Octobre 2007 Etalement de Dictyostelium discoideum et rôle des protéines Phg2, PKD2 et TPC dans la motilité JURY : Michel Robert-Nicoud Président Patricia Rousselle Rapporteur François Amblard Rapporteur Michel De Waard Examinateur Franz Bruckert Directeur de thèse 1 2 TABLE DES MATIERES 1 INTRODUCTION

de plusieurs milliers de monosaccharides. Ils jouent plusieurs rôles important, notamment dans la structure de la cellule et dans les mécanisations de signalisation en association avec des protéines, mais également comme réserve d’E°. Lorsqu’ils sont associés à une autre molécule organique comme les protéines, ils sont appelées glycoprotéine. 5. Les lipides Ils représentent 15% de la masse corporelles. Les lipides sont des molécules composées essentiellement de C et H. On en conclue

membrane plasmique n’est pas une simple enveloppe passive. Sa structure particulière permet de nombreux échange et facilite l’activité cellulaire. Elle est constitué d’une double couche de molécule lipidique parmi lesquelles se trouve également des protéines. Cette organisation est appelle la « mosaïque fluide ». La bicouche de lipide constitue la trame fondamentale de la membrane. Elle est composé en grande partie de phospholipide et du cholestérol. Les phospholipides ont une partie polaire qui

répétitions, on parle de pénétrance variable : • Soit : la protéine codée par ce gène ne travaille pas seul, il a un ou plusieurs partenaire, si les partenaires arrivent à compenser la malformation de la 1ere protéine, la maladie ne pourra pas se déclarer. Ce serait une ≠ces alléliques au niveau d’un ou plusieurs autres locus correspondant aux partenaires. • Soit : la différence sera environnementale. Au-delà de 40 répétitions, la protéine est instable et on la retrouve sous forme d’agrégats dans

accru d'avoir des difficultés sociales et émotionnelles. • Incidence globale des translocations robertsoniennes dans la population générale est ~ 1 sur 1000. • la plus fréquente fusion= bras longs des chromosomes 13 et 14 (13q14q). Translocation robertsonienne Autres causes de l’aneuploïdie • la plus fréquente fusion= bras longs des chromosomes 13 et 14 (13q14q).7  Les cellules polyploïdes contiennent des multiples du nombre haploïde de chromosomes; ex: 69 (triploïdie) ou 92 (tétraploïdie)

stades de développement. Comment se fait donc ensuite la différenciation? I) Détermination génétique du sexe : Le sexe génétique est déterminé chez tous les mammifères et chez l’homme au moment de la fécondation, c’est-à-dire lors de la fusion d’un spermatozoïde et d’un ovule. Nous savons que parmi les 46 chromosomes présents dans la cellule œuf, deux déterminent le sexe : - deux grands chromosomes X chez la fille ; -un grand chromosome X et un petit chromosome Y chez le garçon.

terpéniques et les dérivés du stérol - icosanoides : des médiateurs dérivés d'un acide gras Les associations de lipides et les lipides conjugués Les lipides participent à des édifices supramoléculaires non covalents qui incluent des protéines. Dans quelques cas, des protéines peuvent avoir une fraction lipidique liée de manière covalente. ________________________________________________________________________________ Licence STE – Biochimie 1 : Les lipides - 1 - 1.1. Exemples de rôles biologiques

mol de glucose. b) Les biotechnologies anciennes Elles ont permis la production d'enzymes, d'antibiotiques, d'acides aminés, soit à partir de microorganismes, soit à partir d'espèces végétales ou animales. b-1) Les enzymes Un enzyme est une protéine qui catalyse la transformation d'un substrat en produit et qui se retrouve intact à la fin de la réaction. Le premier enzyme produit est l'amylase. Cet enzyme permet à partir de l'amidon (n C6H12O6 polyside) de donner du glucose, du maltose (2 unités

de l’espèce. Ce coefficient est appelé coefficient de Chargaff 2. Etude de la diffraction des rayons X Les résultats de ces expériences suggèrent une structure hélicoïdale de la molécule. 3. Autres expériences Ex: Courbe de fusion : elles montrent que les chaînes polynucléotidiques sont maintenues par des liaisons H. 2. Modèle de Watson et Crick (Proposé en 1953.) Représentation de la double hélice d’ADN ❖ La molécule d’ADN est formée de 2 chaînes polydésoxyribonucléotidiques

phase S (au cours de laquelle on a la réplication de l’ADN). Puis, phase G2, préparatrice de la mitose. Phase G1 et G2 : La cellule s’adapte aux requis. • Croissance de la cellule • Synthèse de protéines à peu près continue au cours du cycle (sauf en M) • Certaines protéines ne sont produites qu’à des stades précis du cycle • Durée des phases assez variable (surtout G1) ; G1 est la phase au cours de la quelle se décide si une cellule se divise ou pas. • En G1, si pas de