Protagoniste

control de lui même. N'étant basée sur aucune loie, aucune régles, elle ne peut avoir de légitimité aux yeux de celui qui la subit. La vengeance fait que le coupable devient victime et la victime devient coupable et c'est un cercle sans fin, les protagonistes sont tour a tour victime et coupable. Le plus térrible c'est que veangence aprés veangence il ne peut y avoir qu'une progréssion dans la haine sans que jamais aucune des parties n'est eu justice et ainsi de suite. L'auteur nous montre que la

celui qui a des pouvoirs extraordinaires et qui vit des aventures exceptionnelles, le héros adoré des enfants dans les contes de fées. Mais c'est aussi en littérature le personnage principal d'une histoire comme l'indique le synonyme protagoniste : du grec prôtagônistes avec protos > le premier et agônizesthai > lutter. Le héros peut donc être amené a être le contraire du héros antique, un héros négatif tout en ayant le premier rôle dans un roman. Préférons-nous le héros du roman lorsqu'il est

nous verrons si le partage des sentiments avec le protagoniste est vraiment nécessaire pour l'appréciation d'un roman. Le lecteur, quel que soit le portrait du protagoniste présenté par le romancier, essaye toujours de s'approprier ce personnage. Quand le portrait du personnage est négatif, cette négativité peut être une force car le lecteur sent que le personnage lui ressemble,qu'ils ont des points communs ensemble. Le protagoniste peut parfois même être considéré comme un « antihéros

les tendresses de mon coeur. » Les geôliers : Quelques uns sont gentils avec le protagoniste ; d’autres ne le sont pas. Il y a des geôliers qui parlent avec lui et lui demandent beaucoup de choses et d’autres qui le traitent comme un animal. Sa fillette : Elle s’appelle Marie et elle a trois ans au moment de sa visite en prison. C’est une fillette qui a très envie de vivre. Mais quand elle parle avec le protagoniste, elle dit que son père est mort (c’est ce que lui a dit sa mère) : elle ne reconnaît

« service difficile ». On peut souligner aussi des expressions automatiques prononcées par le directeur,comme « mon cher enfant » et « je suis à votre disposition dans mon bureau ». L’auteur utilise le temps passé pour se référer à la mère du protagoniste, laquelle est morte. Dans l’ensemble l’auteur donne un image d’un personage indifférent et passif : il n’exprime pas ses sentiments et ses pensées. Même la mort de sa mère est vecue d’une façon triste et froide. LE CORTÈGE Le traitement

thèmes de la rébellion, du besoin d’indépendance et d'exploration de mondes différents. Le protagoniste est une personne aventureuse qui veut parcourir seul une zone interdite aux étrangers. Il n’éprouve aucune peur à pénétrer dans cette ville chinoise bien qu’il ait été averti des dangers qu’il encourait. Dès le début du passage 1 de cette autobiographie fictionnelle le narrateur décrit le protagoniste de l’histoire comme un jeune homme fougueux et rebelle qui refuse d’être enfermé dans un environnement

qui s'exprime, mais le protagoniste qui commente les images qu'il a lui-même tourné. La voix off semble être improvisée, enregistrée sur le vif. Cette impression est causé, dans Le voleur vit en enfer, par les conversations téléphoniques pour le moins absurdes et le réalisme du chant du voisin : jamais tout-à-fait audible, l'impression qu'elle sont chant traverse vraiment le plancher de l'appartement est présente. Du coté de Yes Sir ! Madame..., non seulement le protagoniste s'adresse directement

1. Ruy Blas de Victor Hugo a été écrit en 1838 et le drame romantique est crée, justement par cet écrivain, dans la première moitié du XIXe siècle. Comme souvent dans ce genre théâtral, la pièce mêle plusieurs intrigues : la passion secrète du protagoniste pour la reine et la vengeance de Don Salluste par exemple. L’époque est récente : le XVIIe siècle et Ruy Blas, le personnage principal est un roturier. Les nombreuses didascalies et les alexandrins correspondant aux grands sentiments témoignent

Dans un premier temps nous nous attacherons à la vision péjorative des passions et de la galanterie présente dans l’oeuvre, puis nous nous intéresserons à l’intérêt d’une protagoniste aux prises avec sa passion, nourrissant ainsi la réflexion personnelle de l’autrice et du

rééduqué de la Révolution culturelle en Chine. Le roman Allah n’est pas obligé publié en 2000 et écrit par Ahmadou Kourouma est l’histoire du jeune Birahima qui conte son quotidien parmi les enfants-soldats africains. Les émotions ressenties par les protagonistes peuvent être éprouvées alors qu’ils sont témoins ou victimes de situations pénibles. Les auteurs Sijie et Kourouma ont su peindre le portrait de personnages qui ressentent des émotions autant similaires que contraires lorsqu’ils sont observateurs