Protagoniste

narrateur représente, avec les termes « «brûlure », « brûlante », « un souffle épais et ardent » et « pleuvoir du feu », montre la puissance que celui-ci exerce sur Mersault. Ces sensations physiques représentant donc la position de faiblesse du protagoniste et la menace constante qu’est le Soleil. Le soleil est aussi pour le narrateur un mal dont il ne pourra pas ce délivré : « Je savais que c'était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un pas » l. 10-11. C’est une sensation

la condition humaine. En effet, ses pièces théâtrales ainsi que ses romans comprennent une certaine révolte comme réponse à cet absurde, qui conduit à l’action afin de donner un sens à « cette » existence. Caligula paru en 1944, éponyme, est le protagoniste de la pièce. L’extrait de texte dont nous faisons le commentaire se situe à l’acte IV, scène XIV, dans la dernière scène qui marque la fin du tyran. Ici, Camus met en scène la tragédie d’un empereur fou qui se met à se parler tout seul et à haute

la présence discrète explique le désenchantement subtil du poème. L'étude structurelle du poème révèle, dans les deux premières strophes, l'existence d'un thème des amours impossibles. Il disparaît des strophes 3 et 4, de même que s'efface le protagoniste qui jouait un rôle important dans les strophes 1 et 2. Tel sera notre premier axe de lecture. Par ailleurs, le poème offre une profusion d'images qui traduisent le passage du temps et celui des sentiments, et qui suggèrent la vanité de toutes

dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life avec la complicité des deux protagonistes, étudiants en théâtre, Françoise Delbart (née Bornet) et son petit ami Jacques Carteaud1. Robert Doisneau les avait rencontrés dans un café parisien et, les ayant vu s'embrasser, leur avait proposé une séance de prise de vue en pleine rue, moyennant une rétribution de 500 FF2. L'identité des deux protagonistes fut longtemps inconnue, y compris de l'auteur lui-même. Cette photographie est devenue

représentations théâtrales. La tradition rapporte que Thespis, auteur duvie siècle av. J.-C. qui se produisit près d'Icaria, révolutionna les dithyrambes : il introduit le premier acteur, le protagoniste. Pendant que le chœur chante ceux-ci, l'acteur, Thespis en l'occurrence, intercale des vers parlés. Le protagoniste joue tous les rôles. C'est la forme primitive du théâtre. Les trois principaux festivals de théâtre sont les Dionysies champêtres, de décembre à janvier, les Lénéennes, de

cimitières où l'on n'a point de tombeau." et encore "....elle n'a que des profondeurs noires oùl'on pourrit dans la vase....." Le sujet , les personnages et le décor sont déjà presque complètement présentés: le canotier passionné; la rivière co-protagoniste vivante et active, les éléments naturels personnifiés, la nuit étroitement liée à l'inconscient, à l'inconnu et par conséquant à l'angoisse et les insistantes allusions à la mort qui ne seront complètement dévoilées qu'à la fin quand on découvre

Butor nous permet de suivre le voyage d’un homme qui va rejoindre sa maîtresse à Rome. L’extrait mis à notre disposition est l’incipit. Il présente le roman d’une manière originale. Ici, nous avons la description de l’arrivée dans le train du protagoniste dans le train et du début de son voyage. Nous nous interrogeront autour de la problématique suivante : en quoi cet extrait présente-t-il une situation d’énonciation particulière ? Notre étude s’articulera autour de deux axes : premièrement sur

d'aventure : château, prisonnier, gardiens de prison, volonté d'évasion du protagoniste. Narration à la 3ème personne encadrant un dialogue. Extrait choisi pour une structure proposant un début, un milieu (le dialogue), une fin : la structure permet de construire le récit en trois temps. Dialogue interrompu par de brefs passages narratifs : ponctuent l'action et donnent du rythme au récit d'aventure. b) Un protagoniste héroïque Définition du héros : 1) personnage mythique ou légendaire ayant accompli

Henri Michaux "Le grand combat". Un combat épique Les deux pronoms « il » et « le » en anaphore (v.  1) représentent des protagonistes d’un « combat » dont l’enjeu est exprimé dans le dernier vers. Dans ce combat, l’un des protagonistes s’impose à l’autre (v. 6) au terme d’un affrontement relaté des vers 1 à 14 jusqu’à son dénouement marqué par le passé composé des verbes (v. 12-14) Si les verbes ne sont pas recensés dans les dictionnaires, ils évoquent par le temps utilisé, leur construction

eeeee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Les conduites de mauvaise foi et le garçon de café _ J.P. Sartre Sartre prend comme exemple une femme qui se rend à un premier rendez-vous , le but est connu des deux protagonistes mais cependant la nature du rendez vous n'est pas dite. Cette femme est de mauvaise foi car elle ne reconnaît pas la nature de ce rendez vous. Elle se ment sur la nature du rendez-vous qu'elle a accepté. Elle fait beaucoup d'effort pour se maintenir