Protagoniste

présent, les personnages sont d’ores et déjà en action : le lecteur a une impression de réel. Les dialogues sont un moyen détourné pour présenter les personnages de l’œuvre. Ici, ce ne sont pas des adjectifs qui qualifient la personnalité d’un protagoniste, mais ses dires. Le dialogue est donc un prétexte à la narration. En fonction de la façon dont parle un personnage, le lecteur découvre sa personnalité. Les indications spatio-temporelles sont présentes dans ce début de roman. En effet, la scène

Par le manque d’écoute et par le poids de ce qui n’est pas dit (le non-dit) Pour régler les conflits, il faut écouter l’autre, se mettre à sa place, rester courtois ou faire intervenir un tiers. Dans un dialogue où s’exprime un conflit, les protagonistes accusent, se défendent, argumentent. Sont donc particulièrement importants : * Les pronoms qui désignent tour à tour l’émetteur et le destinataire des répliques * L’opinion exprimée * L’expression des sentiments (vocabulaire, ponctuation)

Jack Waterman et Pitsémine alias la Grande Sauterelle sont partis. Tout d’abord, on observe cette quête de personnalité chez les deux protagoniste tout au long du roman par des mots clés , cependant le besoin de retrouver Théo est Cette carte est certainement l'élément déclencheur du récit. Mais en dehors de la carte, les caractéristiques des deux protagonistes servent de bornes permettant de saisir la pensée du texte et campant les préalables du récit. Jack Waterman est un écrivain peu connu

l’intrigue linéaire ou le narrateur omniscient. C’est à cette mouvance qu’on peut rattacher Moderato Cantabile écrit en 1958. Dans ce récit dépouillé et énigmatique, qui propose pour toute action les dialogues recommencés et tâtonnant de ces deux protagonistes, Marguerite Duras met en scène une jeune femme bourgeoise qui se rend à plusieurs reprises dans un café où a été commis un meurtre. Elle y retrouve un ouvrier, qui semble en connaître certains détails, en buvant du vin. Ils inventent ensemble l’histoire

de l’indicatif : le temps, étant considéré comme représentatif d’une action qui s’inscrit dans la durée. Le sadisme, incontestable trait de sa façon d’être, révèle sa volonté de continuer dans ce sens où le rapport de soumission entre les deux protagonistes lui fait plaisir. Il aime la violence, le lexique le démontrant : ainsi dans le paragraphe, on voit l’apparition de mots comme « cris », « farouche », « ravisseurs » ou encore « arracher ». Son amour obsessionnel est inquiétant, car il est amoureux

nièce : ce n'est pas une femme qui fera la loi et la fait placer en réclusion, là où doivent se tenir les femmes • Hémon, le fiancé de la condamnée s'enhardit à déclarer à son père qu'il va faire une faute contre la justice • Le dernier protagoniste sera Tirésias qui est venu dire au roi que les dieux n'approuvent pas son action et qu'il en pâtira pour la cité si Antigone n'est pas libérée et Polynice enterré • Créon se ravise et décide d'aller procéder aux funérailles de son neveu

souffrant et proche de la mort a cause de son cancer et de sa jambe,une épreuve malheureusement insurmontable,le lecteur prends alors ce personnage en pitié,et éprouve de la tristesse. Une tristesse attachante qui le rends intéressant. Lorsque le protagoniste de la scène d’action est le personnage principal,l’histoire est forcément centrée sur lui et, par conséquent, les actions qui ont lieu dans le déroulement du roman sont aussi centrées sur lui,tout comme Arthur Rimbaud ou Philéas Fogg. B) La naissance

a pu vivre, et dont il a tant de mal à parler. De même, Le Chercheur d'or de J.M.G. Le Clézio nous entraîne dans une "chasse au trésor" dont on ignore si elle réussira, et apportera au protagoniste le bonheur espéré. Au-delà de l'intrigue et du suspense, le beau livre suscite des questions sur ses protagonistes – la véritable personnalité de Rousseau au travers de ses Confessions, la réécriture de l'Histoire dans les Mémoires d'Outre-tombe –, sur sa nature même et son écriture : dans quelle mesure

orphan, ten years old, he is sent to live with his grandparents on their farm in the countryside, just outside the town of Black Hawk, Nebraska. Here he mets the young girl Antonia Shimerda, who becomes his great companion. Another important protagonist is mentioned in this chapter: Jake Marpole, a mountain boy who accompagnies Jim during the journey because he was one of « the hands » on his father’s old farm Under Blue Ridge. Then we can mention the Shimerdas who are important in this story

conjugué au passé simple de l'indicatif permet en outre de préciser que les deux protagonistes vont se retrouver presque– Camille ayant un rôle de faire-valoir - face à face, seuls à seuls. Conformément au topos de la rencontre amoureuse, l'échange verbal est quasiment absent dans cette scène. Le narrateur s'abstient en conséquence de préciser le contenu du bref et banal dialogue qui va s'installer entre les deux protagonistes, se contentant d'utiliser le nom commun « mot » précédé du déterminant indéfini